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CARREFOUR - News - Reco - Page 2

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Ptitchat72 Ptitchat72
17/02/2022 16:05:35
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le 17/02/2022 à 14h41
Carrefour fait sensation à la Bourse de Paris. Sur le podium des plus fortes hausses du SBF120, le géant de la distribution, qui a dernièrement fait l’objet d’informations sur un éventuel rachat par Auchan à plus de 23 euros par action, a délivré des résultats 2021 “robustes”, de l’avis de plusieurs analystes.


La société de gestion Clartan Associés, qui juge l’action décotée de 35%, estime que l'exercice 2021 “confirme la pertinence de la stratégie mise en place par Alexandre Bompard, aux manettes depuis le 18 juillet 2017, et place Carrefour pour être au centre de la recomposition (fusions et acquisitions attendues, NDLR) du paysage de la grande distribution en Europe”. A cet égard, en cas d’offre de reprise de Carrefour, "les dirigeants et actionnaires chercheraient à obtenir un prix élevé", estime HSBC.

Clartan Associés souligne la génération record de free cash-flow (flux de trésorerie opérationnel généré, après investissements) à 1,228 milliard d’euros, “dépassant les objectifs fixés récemment et les attentes du marché”. Clartan apprécie, outre le désendettement, les gains de parts de marché dans toutes les régions importantes.

Pour HSBC, "tout va dans le bon sens" pour Carrefour, qui a réalisé "de remarquables progrès depuis quatre ans", avec l’abaissement de la base de coûts fixes. Le distributeur profite du recours accru au télétravail (qui tend à s’installer, même en cas de sortie de crise sanitaire), qui dope la consommation à domicile.

Enfin, la direction de Carrefour a affiché sa confiance sur les perspectives de croissance. Alors que Carrefour ne se paie que 10 fois les profits attendus pour 2022, pour un rendement des dividendes supérieur à 3%, l’action reste décotée, selon nous. Pour autant, si l’analyse financière et l’attrait spéculatif militent en faveur d’un achat de l’action Carrefour.

L’analyse technique milite-t-elle également en faveur de la hausse ?

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* Heu faut payer pour la réponse.. donc j'ai pas.

de toute façon, j'ai la mienne et elle me suffit amplement !

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
17/02/2022 13:25:16
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Petit joueur avec leur objectif.. mais au moins c'est raisonnable

le 17/02/22 11:03
(CercleFinance.com) - Invest Securities confirme son conseil à l'achat sur le titre et ajuste son objectif de cours à 20,10 E (contre 20,30 E) après l'annonce des résultats 2021.

' Etant partout en Europe comme au Brésil, en alimentaire comme en non alimentaire, l'inflation pourrait favoriser un regain de momentum pour ce qui demeure le coeur de métier du groupe, l'hypermarché, dans une logique de reconquête de trafic intégrant le non alimentaire ' indique l'analyste.
' Dans ce cadre, nous attachons une importante relative à la publication des chiffres 2021 qui sont tout juste satisfaisants mais qui préparent bien le terrain pour accélérer en 2022 avec l'appui des relais de croissance du Brésil (intégration Grupo Big, activités financières) dans un contexte monétaire plus favorable ' rajoute Invest Securities.

  
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Ribo Ribo
17/02/2022 12:45:32
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JP Morgan a maintenu sa recommandation sur le titre et le conseille à l'achat.

L'objectif de cours est toujours fixé à 22 EUR.

  
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Ribo Ribo
04/02/2022 15:58:14
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Jefferies revalorise Carrefour de 20 à 21,75 euros ('achat').

  
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Ribo Ribo
01/02/2022 13:21:32
0

JP Morgan était déjà précédemment à l'achat et l'objectif de cours n'est pas modifié à 22 EUR.

  
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Ribo Ribo
30/01/2022 04:19:14
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Langueux (a wp/af p) - 29/01/2022 | 19:50 ►Côtes-d'Armor : des éleveurs bloquent des hypermarchés contre les "prix injustes"

Des éleveurs bretons ont bloqué samedi l'accès de plusieurs hypermarchés des Côtes-d'Armor pour réclamer une hausse des prix payés à la production, dans le cadre des négociations commerciales annuelles entre la grande distribution et ses fournisseurs, a constaté un photographe de l'AFP.

Des dizaines de tracteurs positionnés sur des ronds-points et sur la quatre-voies de Saint-Brieuc, où une déviation a été mise en place, empêchaient samedi l'accès au magasin Carrefour de Langueux.

Une petite centaine d'éleveurs étaient présents et des palettes ont été brûlées sur le parking. "L'installation, un rêve de gosse qui s'envole", pouvait-on lire sur une banderole. Dans l'enceinte du magasin, les manifestants ont vidé certains rayons de produits contenant du porc "d'origine UE", remplissant de nombreux charriots.

"On a contrôlé des prix et on a trouvé du lait à 62 centimes le litre ce qui veut dire que l'éleveur ne peut pas être rémunéré. Les GMS (grandes et moyennes surfaces, ndlr) sont les fossoyeurs de l'élevage", a déclaré à l'AFP Fabienne Garel, présidente de la FDSEA des Côtes-d'Armor.

"On ne se laissera pas faire, on va peser pour que les négociations acceptent nos hausses de charges, on ne se laissera pas enterrer. Rien que le coût de production d'un kilo de porc, c'est 1,80 euro, l'éleveur est payé 1,25 euro et c'est vendu 1,65", a-t-elle ajouté.

"L'objectif, c'est zéro chiffre d'affaires car ils sont en train de nous écraser avec des prix comme ça. On nous dit que tous les prix augmentent dans les magasins, mais nous, nos prix n'augmentent pas, voire baissent, alors que nos charges explosent", a abondé Tristan Delisle, secrétaire général des Jeunes agriculteurs.

Dans l'après-midi, le directeur des achats de viande de Carrefour, qui s'est rendu sur place, a signé une charte d'engagement.

Les éleveurs ont poursuivi leur action devant le Leclerc de Lamballe, où les gendarmes sont brièvement intervenus, faisant usage de gaz lacrymogènes.

Le préfet des Côtes-d'Armor, qui est venu à la rencontre des manifestants à Lamballe, a indiqué qu'un plan pour la filière porcine sera annoncé lundi, prévoyant notamment une aide d'urgence et une aide structurelle.

D'autres actions ont visé le Leclerc de Plérin, qui a été fermé. Entre 200 et 300 personnes ont participé à cette action.

  
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Berna427 Berna427
07/01/2022 14:10:31
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Carrefour avec des resus en amélioration constante et un solide bilan est convoité c'est une certitude.. Aucun soucis, suffit de patienter

  
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Ribo Ribo
06/01/2022 16:32:35
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(CF) - 06/01/2022 | 16:20 ►Carrefour : Auchan intéressé, Stifel confirme son conseil

Stifel maintient sa note d'achat sur le titre Carrefour avec un objectif de cours de 20 euros.

Hier, le titre Carrefour gagnait 5% à la clôture, après que Bloomberg eut évoqué une nouvelle tentative de rapprochement de la part d'Auchan. En octobre, une première négociation entre les deux entités n'avait pas porté ses fruits.

' Nous pensons que les principaux actionnaires de Carrefour et la direction du groupe soutiendraient probablement une offre au comptant à un prix décent ', note Stifel.

Les investisseurs ne sont pas insensibles à la situation : le titre s'arroge à nouveau 5% à Paris aujourd'hui.

Pour rappel, il y a tout juste un an, les autorités françaises avaient mis un coup d'arrêt aux négociations avec la canadien Couche-Tard, estimant qu'un accord pourrait porter atteinte à la sécurité alimentaire du pays, notamment dans un contexte de crise sanitaire.

Au regard de ces arguments, il semble aujourd'hui peu probable que les autorités françaises soient hostiles à un rapprochement entre deux acteurs nationaux de la grande distribution - à condition d'être rassurées sur le volet social.

A l'époque, les négociations avec Couche-Tard avaient été entamées à un prix de 20 euros/action pour une offre 100% en cash. Stifel croit savoir que les négociations avec Auchan en octobre avaient échoué car l'accord n'était pas à 100% en cash. Le prix évoqué était alors de 21.5 euros, rapporte l'analyste.

A moins de 100 jours de l'élection présidentielle, ce dossier pourrait potentiellement s'inviter dans l'actualité de la campagne. Il n'est pas non plus impossible que d'autres acteurs se manifestent dans le but de se rapprocher du géant de la distribution tricolore.

Message complété le 07/01/2022 03:01:30 par son auteur.

Carrefour (+6,29% à 18,33 euros). A contre-courant du marché parisien, le groupe de distribution reste soutenu par les rumeurs de rachat par Auchan. 'B l o o m b e r g' affirmait, hier, que le groupe nordiste avait relancé les travaux en vue d'un accord potentiel avec le roi des hypermarchés, après l'échec des négociations précédentes à l'automne.

Aujourd'hui, le journal 'Les Echos' confirme cette information, ajoutant même qu'un accord entre les deux parties pourrait être trouvé avec une "offre 100% en numéraire et, tant qu'à faire, avec une prime sur la précédente offre, à savoir un prix proposé de 23,50 euros"

  
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Ribo Ribo
04/12/2021 12:10:28
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(a w p / a f p) - 04/12/2021 | 08:01 ►La livraison rapide à domicile fait la course à la rentabilité

Une botte de carottes ou du papier toilette livrés en moins de quinze minutes...

La livraison rapide de courses à domicile ou "quick commerce" s'impose sur le marché français, malgré la difficulté à rendre le service rentable.

Gorillas, Flink, Cajoo, Getir, Dija... les start-up se multiplient, surtout depuis les confinements, et ont attiré depuis le début de l'année quelque six milliards d'euros de levées de fonds, d'après la banque d'affaires Bryan, Garnier and Co.

"On est submergé de demandes de locaux pour des +dark stores+", les petits entrepôts utilisés par les start-up pour préparer les commandes, indique à l'AFP Emmanuel Cloërec, directeur de la branche Commerce d'EOL, société de conseil en immobilier d'entreprise.

Dans ce secteur comme pour la livraison de repas par exemple, les entreprises comptent sur le principe du "winner takes all": comme les consommateurs n'installent en général qu'une ou deux applications pour la même utilisation, celle qui réussira à s'imposer sur le plus de téléphones raflera toute la mise. Elles multiplient donc les offres de réductions pour conquérir les clients, à grand renfort de publicités aux couleurs vives dans les transports en commun.

Mais même si le nombre de commandes augmente, les entreprises peinent à trouver la rentabilité. La société turque Getir par exemple, valorisée à plus d'un milliard de dollars, assure qu'elle réussit à dégager des bénéfices en Turquie et dans certaines régions du Royaume-Uni, mais pas encore en France.

Un petit marché qui attire les grands groupes

La livraison rapide de courses à domicile est en effet utilisée essentiellement dans de grandes agglomérations pour des courses de dépannage. Le panier moyen se situe autour de 23 euros d'après Fox Intelligence, éditeur de logiciel spécialisé dans l'analyse des données d'e-commerce, contre 74,5 euros pour les commandes en ligne auprès des grandes surfaces traditionnelles.

La grande distribution a tout de même bien compris qu'il y avait une tendance à saisir: ces derniers mois, les Français Carrefour et Casino ont ainsi annoncé des partenariats avec Cajoo et Gorillas, tout comme le britannique Tesco, lui aussi avec Gorillas, et l'allemand Rewe avec Flink. Pour l'heure en France, seul Auchan s'est lancé seul dans un service de livraison express sous la forme d'une expérimentation à Bordeaux.

Pour les entreprises de livraison, ces partenariats permettent de s'approvisionner en produits et de profiter parfois d'un espace dans les réserves des magasins existants pour préparer les commandes. "On n'a pas à construire des entrepôts, ce qui nous fait économiser pas mal", indique Henri Capoul, PDG de Cajoo, associé avec Carrefour.

Pour les grandes surfaces, c'est une manière de tremper un orteil dans le marché du "quick commerce", sans trop se mouiller. Mais à terme, "il est clair que les distributeurs alimentaires ne peuvent pas se contenter d'un rôle de grossiste", soutient Clément Genelot, spécialiste de la distribution pour Bryan, Garnier & Co.

Cette solution risque en effet d'obliger les applications à relever les prix pour conserver une commission et donc à perdre des clients.

Les parts de marché à conquérir ne sont pas phénoménales : selon Clément Genelot, la livraison rapide à domicile pourrait représenter au maximum "2 à 4%" des ventes de produits alimentaires en France d'ici quelques années.

Mais l'enjeu reste important car elle séduit surtout le marché urbain, qui représente une part importante de la marge de la grande distribution. Le "quick commerce" entre ainsi en concurrence directe avec les magasins de proximité et pourrait pousser certains à fermer.

  
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Ribo Ribo
04/12/2021 12:05:34
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(a w p/af p) - 04/12/2021 | 07:01 ►Les données des consommateurs, nouvelle mine d'or de la grande distribution

Au passage en caisse ou sur les applications de courses, la grande distribution collecte des données sur ses clients, qui constituent désormais une précieuse source de revenus.

Le phénomène n'est pas nouveau: les distributeurs ont toujours examiné les tickets de caisse pour adapter leur offre. Lorsqu'un client souscrit à une carte de fidélité, ils peuvent en plus relier ses achats à son nom, son âge ou encore son adresse.

Mais depuis l'avènement de l'e-commerce et d'outils de traitement de la donnée, votre supermarché ne sait plus seulement quelle marque de lait vous achetez et dans quel magasin, mais aussi combien de temps vous avez passé à hésiter sur les chips et si vous avez été exposé à une publicité avant de choisir vos yaourts bio.

Il suffit d'avoir coché quelques cases lors de votre inscription et d'avoir accepté les "cookies", petits traceurs informatiques présents sur tous les sites.

Les distributeurs disposent ainsi d'énormes bases de données de millions de profils clients et de milliards de transactions. "Ils ont un volume et une diversité d'informations plus importants que d'autres très gros acteurs comme Amazon par exemple", indique à l'AFP Olivier Salomon, spécialiste de la distribution chez AlixPartners.

Ces données sont utilisées pour s'adapter aux tendances du marché mais aussi et surtout pour présenter à chaque client des offres et des promotions personnalisées.

Sur le site en ligne du supermarché que vous avez l'habitude de fréquenter, les produits achetés fréquemment sont automatiquement mis en avant et il est possible de bénéficier d'une réduction sur ces produits que les autres consommateurs ne verront pas.

"Cela nous permet d'avoir des clients beaucoup plus fidèles", assure Elodie Perthuisot, directrice exécutive e-commerce, data et transformation digitale chez Carrefour.

"Un outil stratégique"

Ce service intéresse aussi les marques. Les distributeurs ont donc créé des régies publicitaires qui leur vendent des mots-clés et des espaces sur leurs sites d'e-commerce pour mettre en avant certains produits de manière personnalisée : c'est ce qu'on appelle le "retail media".

En faisant une recherche de papier-toilette par exemple, on trouvera sa marque préférée mise en avant mais aussi des recommandations d'autres marques similaires en bonne place, qui ont payé pour y être. Comme la publicité est directement sur le site d'achat, la carte bleue n'est jamais loin...

"Tout l'enjeu est de faire en sorte que le produit soit bien adapté à la recherche", indique Cyril Bourgois, directeur de la transformation digitale de Casino et directeur général de RelevanC, la filiale "retail data" du groupe.

La régie publicitaire peut aussi organiser des campagnes ciblées sur les réseaux sociaux et en mesurer directement l'impact en magasin.

"Notre objectif est de pouvoir réorienter les budgets marketing des marques", qui sont traditionnellement plutôt utilisés pour des campagnes à la télévision ou auprès de géants de la publicité en ligne comme Google, Facebook et Amazon, indique Elodie Perthuisot.

Au premier semestre 2021, le "retail media" a généré près de 300 millions d'euros de recettes en France, +41% par rapport à l'an dernier. Les distributeurs tentent désormais de s'imposer sur ce secteur, en s'alliant avec d'autres sociétés ou en éditant leurs propres logiciels, comme Casino avec sa société RelevanC.

"C'est un outil stratégique pour le groupe [...] et une activité à part entière", souligne Cyril Bourgois. RelevanC, qui a réalisé 55 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2020, vend désormais ses solutions à d'autres distributeurs sous marque blanche.

Une difficulté demeure pour ces entreprises selon Olivier Salomon: mesurer jusqu'où la personnalisation doit aller sans paraître intrusive pour le client. Toutes insistent en tout cas sur leur respect du règlement général de protection des données personnelles (RGPD) : les consommateurs peuvent demander à tout moment à consulter les données recueillies et revenir sur leur consentement à les partager.

  
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JD1976 JD1976
01/10/2021 10:28:00
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Le journal le Monde rapporte qu’Alexandre Bompard, PDG de Carrefour, étudie plusieurs scénarios de consolidation et que des discussions auraient été engagées au printemps avec la famille Mulliez, propriétaire d’Auchan. Donnant corps à l’une des nombreuses rumeurs qui court sur le secteur depuis cet été.

Alexandre Bompard, le PDG du groupe Carrefour, "étudie plusieurs scénarios de consolidation" selon un article du Monde publié ce jeudi 30 septembre. Le quotidien ajoutant que "selon plusieurs sources des discussions ont été engagées au printemps 2021 avec la famille Mulliez en vue de rapprocher Carrefour et Auchan". Le Monde précise que "selon certains les négociations auraient achoppé avant l'été faute d'un accord sur les parités mais, selon un banquier d'affaires, le dialogue ne serait pas rompu".

Contactés par LSA, les deux groupes ne souhaitent pas faire de commentaires. Ces rumeurs (ainsi que d'autres autour de la concentration de la disitrbution française) courent en fait depuis plusieurs semaines. Déjà fin juillet, la revue brésilienne Valor Economico faisait état d’un possible rapprochement entre les deux groupes citant "des sources internes". L’info n’est donc pas nouvelle. Quant au fait qu’un PDG cherche des voies de consolidation pour son entreprise et donc travaille à de multiples hypothèses, là aussi rien de plus normal, d’autant plus que le patron de Carrefour ne cache pas qu’il travaille à un nouveau plan stratégique qu’il devrait présenter avant la fin de l’année. De là à penser que ces rumeurs récurrentes peuvent avoir un impact sur le cours de l’action Carrefour -pas spécialement dynamique à l’exception d’une envolée vite retombée lors de l’épisode avorté du rachat par le canadien Couche Tard (un scénario vite écarté par le ministre de l’Economie début 2021)- il n’y a qu’un pas qu’on est tenté de franchir.


Un nouveau scénario hypothétique qui en suit beaucoup d'autres

Signe du peu de perspectives de relance du cours, Bernard Arnault, présent au capital de Carrefour depuis 14 ans, a jeté l’éponge fin août et cédé le solde de sa participation (5,7%), encaissant une importante moins-value (entré à 47 euros, il est reparti en cédant ses actions à 16 euros pièce). Cette sortie faisant craindre que les actions ainsi mises sur le marché ne soient raflées par des fonds activistes ou spéculatifs, ce qu’on ne sait pas encore évaluer.

Les hypothèses de rapprochement que l'on prête ou que l’on a prêté à Carrefour ne manquent d’ailleurs pas. En 2018 déjà un épisode ubuesque avait eu lieu avec des rumeurs de discussions avec Casino et une rencontre entre Alexandre Bompard et Jean-Charles Naouri orchestrée par Alain Minc. Sans suite apparente, Carrefour démentant officiellement une tentative de rapprochement avec le groupe Casino. Cora, autre cible potentielle pour Carrefour, revient aussi souvent dans les scénarios de consolidation qui bruissent dans les milieux autorisés.

Sur le papier, et en réalité, un rapprochement avec Auchan semble très compliqué à réaliser, du moins en France. Sur un plan commercial, Carrefour (près de 20% de parts de marché en France) et Auchan (près de 10%) pourraient difficilement se rapprocher sans attirer l’attention de l’Autorité de la concurrence, particulièrement active et vigilante en matière de distribution depuis quelques années. Et quel intérêt pour Carrefour de reprendre des hypermarchés, ou même des supermarchés ? Sans parler des répercussions sociales qui s’ensuivraient. A moins que les discussions ne portent sur des participations croisées ou des filiales à l’étranger (Carrefour et Auchan sont tous les deux présents en Pologne et en Roumanie par exemple) ce qui serait plus crédible et correspond aux premières. La bourse semble en tout cas très dubitative devant ces hypothèses : Carrefour affichant l'une des plus fortes baisses du CAC 40 ce jeudi 30 septembre à 16h20, avec un recul de 2,57%.



  
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Piup73 Piup73
01/09/2021 16:52:16
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Enorme un broker a l achat et boum-4%!!!

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
31/08/2021 18:18:45
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Publié le 31/08/2021 à 18h04
(AOF) - Agache, holding de l'homme d'affaires Bernard Arnault, a annoncé lancer la cession de sa participation dans Carrefour, soit environ 5,7% du capital du groupe de grande distribution, révèle Reuters qui cite un communiqué qui n'est pas encore disponible sur le site Internet de la Financière Agache. Cette cession sera réalisée dans le cadre d'un placement par voie de construction accélérée d'un livre d'ordres réservé aux investisseurs institutionnels, précise l'agence de presse.

  
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Piup73 Piup73
23/08/2021 20:32:23
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Avec leur bon résultat et leur ambition elle devrait etre a 20!!!

  
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JD1976 JD1976
23/08/2021 08:52:00
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📢

Carrefour vient de prendre une participation dans une start-up française, la société Cajoo. Cette jeune entreprise (elle a été créée en février 2021) est déjà présente dans dix villes en France. Elle livre (2.000 références) en 15 minutes via son application, qui a déjà séduit plus de 100.000 personnes. Cette route digitale est aussi empruntée par Casino qui profite de ses magasins de proximité Franprix et Monoprix pour livrer grâce à un accord avec Deliveroo.

La pandémie a accéléré la transformation du secteur de la distribution et les acteurs traditionnels doivent faire face à une concurrence nouvelle. A moins qu’ils n’avalent les jeunes pousses, afin d’avancer plus vite sur l’autoroute de l’e-commerce.

  
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JD1976 JD1976
12/08/2021 09:08:24
0

A suivre à nouveau Carrefour qui a gagné 2,5% hier alors que plusieurs sources évoquent une cession pour 1,6 milliard d’euros des activités du groupe à Taiwan.

🔎

  
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Ribo Ribo
06/08/2021 03:54:43
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Bernstein conseille ses clients de rester à l'écart du dossier et maintient son conseil à vendre.

L'objectif de cours est légèrement modifié et passe de 14.75 à 14.90 EUR.

  
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Invectus Invectus
02/08/2021 20:14:38
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La vad est présente, sa sortie libérera le cours…

  
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Piup73 Piup73
02/08/2021 19:58:17
0

Je ne comprend pas elle devrait exploser a la hausse avec les résultats !

  
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Ribo Ribo
06/07/2021 17:07:11
0

JP Morgan considère le titre attrayant et le recommande à l'achat. L'objectif de cours est toujours fixé à 21 EUR.

  
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