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Rubis confirme ses objectifs 2023

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JD1976 JD1976
15/04/2024 08:42:51
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VINCENT BOLLORÉ PRÉPARE DÉJÀ SON NOUVEAU RAID


L’homme d’affaires a pris 5% du capital de Rubis. La société pétrolière souffre d’un faible cours de Bourse et d’une gouvernance fragilisée. Deux autres actionnaires lui emboitent le pas.

Vincent Bolloré s’ennuie depuis qu’il a confié les rênes de son empire à ses enfants. Certes, il est encore aux manettes, à échafauder des meccanos qu’il affectionne tant. L’an passé, il s’est occupé en découpant Vivendi en quatre avec Canal+, Havas, Lagardère et une kyrielle de participations avec lesquelles il va jouer au banquier. Cette scission est lancée depuis janvier et déjà, il a un nouvel os à ronger.

En l'occurrence Rubis, une petite société pétrolière, discrète et sous-valorisée, qu’il connaît depuis longtemps. Vincent Bolloré s’est invité fin mars dans l'entreprise en prenant 5% de son capital. Depuis 30 ans, le groupe Bolloré est un acteur du stockage et de la distribution de pétrole en France, comme Rubis, son concurrent. Mais il n’est pas le seul à avoir flairé le bon coup.


Deux investisseurs dépassent aussi les 5%

24 heures après Vincent Bolloré, l’homme d’affaires Patrick Molis lui a emboîté le pas en dépassant à son tour les 5%. Une position qu'il avait préparée depuis plusieurs mois, comme Vincent Bolloré. Lui aussi a détenu pendant 15 ans des terminaux pétroliers, notamment au Havre, quand Rubis détenait ceux de Rouen et Dunkerque.

Rebelotte la semaine passée avec un troisième investisseur. Le canadien Ronald Sämann est lui aussi monté à 5% du capital de Rubis, alors qu’il en détenait déjà 4,8% depuis plusieurs années. Une position destinée à déclarer ses intentions. Il souhaite "un changement dans la stratégie et une évolution de la gouvernance dans une période où elle doit assurer la succession de son fondateur", a-t-il expliqué.

"Cette concordance n’est pas un hasard", veut croire un bon connaisseur du dossier.

Contactés, Rubis et le groupe Bolloré n’ont pas souhaité commenter. Un silence étonnant alors que, selon nos informations, aucun des trois investisseurs n’a été sollicité par la direction.


Succession des deux gérants de Rubis

Depuis l’arrivée de Vincent Bolloré, le cours de Bourse de Rubis a bondi de 30%. Une maigre consolation alors que l’action a été divisée par deux en cinq ans. La société ne vaut plus que 3,5 milliards d’euros en Bourse, pour sept milliards d’euros de chiffre d’affaires et 263 millions de bénéfices. L’autre grand actionnaire, la famille Dassault (5,7%), se réjouit.

"Nous ne sommes pas à la manœuvre mais nous sommes ravis que cela valorise nos parts", explique une source proche de la famille.

Les Dassault ne sont pas en terrain inconnu. Laurent Dassault est administrateur de Vivendi, aux côtés des Bolloré. Son grand-père, Marcel Dassault, avait investi dans Rubis dès sa création pour aider son fondateur Gilles Gobin.

Habitué des raids, Vincent Bolloré a repéré les mêmes failles que Patrick Molis et Ronald Sämman: la gouvernance de Rubis est très fragile. Les deux gérants, Gilles Gobin et Jacques Riou n’ont que 2,3% du capital mais contrôlent tous les pouvoirs grâce à une structure en commandite par action. Ce statut juridique est encore utilisé chez Hermes et Michelin. Jusqu’en 2021, il l’était également chez Lagardère avant qu’il n’explose sous la pression de… Vincent Bolloré.

Les gérants de Rubis sont en train de passer la main à leurs enfants. Clarisse Gobin gère la commandite avec son père, âgé de 74 ans, et Jacques Riou, 72 ans, souhaite aussi que ses deux enfants lui succèdent. "On arrive à une fin de cycle à tous les étages chez Rubis, explique Olivia Flahaut, co-fondatrice d’OFG, une société d’analyse en gouvernance. Au sein de la gérance et aussi du conseil de surveillance où six administrateurs ont plus de 70 ans."


Faire sauter le statut de commandite

Vincent Bolloré, Patrick Molis et Ronald Sämman ont le même objectif à court terme: s’imposer au conseil de surveillance. Quatre des dix sièges sont à pourvoir à l’assemblée générale du 11 juin, dont celui du président. Rubis publiera ses résolutions fin avril.

"Ils vont tous logiquement demandés à être représentés au conseil, explique une source proche du dossier. Et à eux trois, ils n’auront pas de mal à s’imposer à l’AG."

Même s’ils assurent ne pas agir ensemble, ils disposent à trois de 15%, à quoi s’ajoutent les 5,7% des Dassault et 5,8% du gestionnaire américain Blackrock. Avec 25%, ce "petit club" imposera sa loi à l’assemblée générale, où seule la moitié des actionnaires s’exprime.

"La fin de la commandite est la suite logique pour beaucoup d’investisseurs", ajoute Olivia Flahaut d’OFG. "Aucun doute que ce sera le but de Vincent Bolloré", s’amuse un de ses proches qui l’a aidé à faire sauter celle de Lagardère. "Ça fait partie des options", ajoute sobrement un actionnaire.

Le plus vocal est Ronald Sämman qui avait déjà critiqué la stratégie de Rubis lors de l’assemblée générale de 2023, notamment pour le rachat de Photosol, spécialisé dans le photovoltaïque. Il avait aussi pointé du doigt les conditions d’attribution des bonus de 2,4 millions d’euros des gérants. Les actionnaires avaient ensuite manifesté leur mécontentement vis-à-vis de la gouvernance. L’ancien président Olivier Heckenroth n’avait été renouvelé qu’à 59% des votes et avait démissionné dans la foulée en raison de cette faible majorité.


Bolloré était déjà chez Rubis il y a 30 ans

Selon nos informations, Ronald Sämman et Patrick Molis envisagent d’entrer au conseil de surveillance de Rubis. Quant aux Dassault, leur représentante Carole Fiquemont a démissionné l’an passé. Reste à savoir si Vincent Bolloré s’imposera. Peut-être une revanche de l’histoire alors qu’il en a déjà été administrateur… il y a 30 ans.

Au début des années 1990, Gilles Gobin et Jacques Riou ont repris une filiale de Suez pleine de cash qu’ils ont rebaptisé Rubis. Lorsqu’ils l’ont introduite en Bourse en 1995, ils ont nommé deux administrateurs reconnus pour les aider: un certain Vincent Bolloré donc, et Marc Ladreit de Lacharrière qui venait de créer sa société d’investissement Fimalac. Il venait aussi d’aider un autre jeune homme d’affaires, Jean-Charles Naouri, futur patron de Casino, à lancer la sienne, Euris, où avait exercé Jacques Riou.


"Tous ces crocodiles du capitalisme se connaissent parfaitement", s’amuse une source qui les connait tous.

Et ils se retrouveront tous à l’assemblée générale de Rubis le 11 juin autour de la même table.

  
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JD1976 JD1976
11/04/2024 09:08:39
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Rubis finalise son accord avec avec I Squared Capital


Rubis annonce que les négociations exclusives ouvertes avec I Squared Capital concernant la cession de sa participation de 55% dans la JV Rubis Terminal ont abouti à un accord définitif aux conditions financières annoncées le 13 mars 2024.

Cet accord fait suite à la consultation des instances représentatives du personnel et la délivrance d'un avis favorable par le comité social et économique de Rubis Terminal.


L'opération reste soumise aux autorisations réglementaires habituelles, y compris celles des autorités de la concurrence et des comités d'investissements étrangers. La clôture de l'opération est prévue pour mi-2024.


  
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Ptitchat72 Ptitchat72
06/04/2024 05:04:05
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@Photosol ... peut être :

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La France lance un "plan de bataille" pour essayer de rattraper son retard sur le solaire

La France a lancé vendredi un "plan de bataille" pour doubler le rythme de déploiement des capacités d'énergie solaire sur son territoire d'ici 2030 et soutenir la production de panneaux solaires made in Europe face à l'ultra-domination industrielle de la Chine.

"Il faut à présent accélérer, pour passer à 6 GW de capacités supplémentaires par an - c'est-à-dire le double de ce que nous faisons aujourd'hui", a déclaré le ministre de l'Economie Bruno Le Maire après une visite d'un parc photovoltaïque à Manosque, dans le sud du pays.

La France avait ajouté en 2023 3,2 GW de capacités supplémentaires, après une hausse de 2,7 GW en 2022, une progression très lente face aux besoins massifs de décarbonation du pays, pour un total de 19,3 GW de production solaire, essentiellement dans trois régions: Nouvelle-Aquitaine, Occitanie et Rhône-Alpes.
Or, dans sa feuille de route énergétique publiée fin novembre, le gouvernement a avancé à 2035 (au lieu de 2050) l'objectif de parvenir à 100 GW de production solaire.

Reste à se retrousser les manches. "Le sujet n'est pas de savoir si nous voulons oui ou non recourir massivement au photovoltaïque. Le sujet est de savoir comment nous allons le faire, à quelle vitesse, avec quelle filière industrielle", a lancé M. Le Maire en annonçant le lancement d'un "pacte solaire" avec les acteurs du système qui seront incités à acheter et produire français.

C'est la première fois que le ministre, pro-nucléaire assumé, effectuait un déplacement sur la thématique du solaire, une énergie que les Français "aiment" et sont "prêts à accueillir" près de chez eux, a-t-il dit dans un parallèle implicite avec les oppositions aux éoliennes terrestres.

L'objectif est de "produire en France d'ici 2030 40% des panneaux photovoltaïques que nous utilisons", a affirmé M. Le Maire, qui était accompagné du ministre délégué à l'Industrie et à l'Energie, Roland Lescure.
Selon son cabinet, le "pacte solaire" proposé aux acteurs du secteur - fabricants d'un côté et clients de l'autre - est basé sur "la solidarité" pour booster l'achat du "made in Europe", voire "in France", et la construction d'usines sur le territoire.
En échange d'achats en France, l'Etat s'engage à soutenir "massivement le développement du solaire en France" en renforçant dans les appels d'offres les critères sur le "contenu carbone" des panneaux - un panneau produit localement sera ainsi mieux noté.

"Nous ouvrons le bar des signatures pendant deux mois", indique-t-on au cabinet de Roland Lescure. Déjà 29 acteurs ont signé, plutôt des "développeurs agiles et motivés" comme Neoen, ou des entreprises "motivées" qui veulent transformer leurs délaissés fonciers en champs photovoltaïques, comme la SNCF.
Bruno Le Maire a demandé aux "grands donneurs d'ordres" comme TotalEnergies, Engie ou EDF de s'engager aussi dans ce "pacte solaire".
Le projet est d'autant plus sensible que le pays attend l'installation d'ici fin 2025 de deux giga-usines de panneaux solaires (Carbon à Fos-sur-mer et HoloSolis à Sarreguemines). Ils sont en train de "déposer leurs permis de construire", selon le cabinet de M. Lescure.

Par ailleurs, un décret sur l'agrivoltaïsme, très longuement négocié, pour encadrer et encourager l'installation de projets photovoltaïques sur les terres agricoles doit être publié ce week-end au Journal officiel.

  
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JD1976 JD1976
05/04/2024 18:29:24
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Un troisième investisseur fait monter la pression sur Rubis - Market Blog

Le 05 avril 2024

)--Rubis attire décidément bien des convoitises. Mais pas seulement. En moins de deux semaines, trois investisseurs distincts ont franchi à la hausse les 5% du capital du spécialiste de la distribution de produits pétroliers. Vincent Bolloré, le 21 mars, a été suivi le lendemain par Patrick Molis via sa société Compagnie Nationale de Navigation. Déjà surprenantes dans leur concomitance, ces deux montées au capital ont été suivies d'une troisième.

Le 4 avril, Ronald Sämann a annoncé détenir 5,01% des actions et des droits de vote de Rubis. Selon nos informations, ce franchissement n'est pas lié à ceux de Vincent Bolloré et Patrick Molis. L'homme d'affaires canadien est actionnaire du groupe français "depuis au moins 2006". Fils de Julius Sämann, l'inventeur des "arbres magiques" utilisés pour parfumer les voitures, l'homme d'affaires canadien est propriétaire de la société Little Trees, du groupe H Young et détient des participations dans diverses entreprises.

Contrairement à Vincent Bolloré et Patrick Molis, qui n'ont pas dévoilé leurs intentions vis-à-vis de Rubis, Ronald Sämann ne cache pas les siennes. Dans un communiqué envoyé jeudi soir, il réclame "un changement dans la stratégie et une évolution de la gouvernance de la société, dans une période où elle doit assurer la succession de son fondateur".


La commandite en ligne de mire ?

Faut-il y voir une volonté de remise en cause du statut de commandite de la société ? Cette forme juridique particulière, généralement peu appréciée des investisseurs, permet aux associés commandités de garder un contrôle quasi complet sur Rubis alors qu'ils détiennent moins de 3% du capital. "Ronald Sämann n'est pas favorable à ce mode de gouvernance et il n'est pas satisfait de la stratégie consistant en la vente d'actifs rentables, tel Rubis Terminal, et à l'achat d'autres, comme Photosol, moins rentables", confie une source proche du dossier. L'homme d'affaires aurait fait part de ces griefs lors de l'assemblée générale 2023. "Il n'a pas été écouté, ce qui l'a déçu", poursuit la même source.

Dans ce contexte, il décide donc d'enfiler les habits d'un actionnaire activiste. Le rôle est toutefois délicat à tenir face à une commandite. "L'idée est de discuter avec d'autres actionnaires afin que le débat avec les dirigeants associés commandités respecte la répartition du capital", estime le connaisseur du dossier.

Outre Vincent Bolloré et Patrick Molis, BlackRock et Groupe Industriel Marcel Dassault détiennent également plus de 5% du capital chacun. "Vincent Bolloré a déjà fait tomber la commandite de Lagardère, mais le contexte était très différent. Son investissement dans Rubis semble plus opportuniste. Il a profité de la faiblesse du cours du Bourse et connait bien les activités et les géographies dans lesquelles opère Rubis", juge Nicolas Royot, analyste chez Portzamparc. L'industriel breton n'en reste pas moins connu pour ses mouvements capitalistiques innovants.


Succession en cours

Rubis, qui n'a pas répondu aux sollicitations de L'Agefi pour le moment, se trouve en outre dans une période particulière de son histoire. En dépit de son récent rebond boursier, l'ex-pépite de la place parisienne a perdu de son éclat depuis 2020 et est engagée dans une diversification vers les énergies renouvelables. Le fondateur, Gilles Gobin, a par ailleurs engagé un processus de succession avec la nomination de sa fille, Clarisse Gobin-Swicznik, en tant que gérante en juillet dernier. Dans une interview accordée à L'Agefi en octobre 2022, Jacques Riou, gérant historique de Rubis, avait indiqué que "la montée en puissance de la nouvelle génération" se ferait "à travers les sociétés (...) représentant les deux familles fondatrices".

Reste que la commandite ne sera pas si facile à remettre en cause. "Il est indiqué dans les statuts de la société que la révocation d'un gérant nécessite 75% des actions et des droits de vote", confirme Nicolas Royot.



  
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JD1976 JD1976
04/04/2024 11:08:45
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Vincent Bolloré est connu pour avoir le nez fin. Son dernier investissement, l’entrée au capital de l’opérateur français Rubis (6,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023, 4 700 salariés) à hauteur de 5 %, soit 130 millions d’euros, selon le cabinet Oddo BHF, confirmera-t-il sa réputation ?


Une société au Luxembourg

Cette opération, qui transite via une société basée au Luxembourg (Plantation des Terres Rouges), suscite en tous les cas de nombreuses interrogations. Que vient faire le patron breton dans un groupe indépendant, inconnu du grand public, qui s’est développé dans les hydrocarbures, notamment autour de la distribution de carburants, gaz liquéfiés et bitumes ?


Pas d’OPA en vue ?

Selon certains observateurs, cet investissement surprise est d’abord une opération financière et témoigne de la confiance de Bolloré dans le potentiel de Rubis, qui affiche d’excellents résultats financiers (354 millions d’euros de résultat net) et profite d’un recentrage sur certaines activités à forte valeur ajoutée. L’homme d’affaires étant passé maître dans la création de valeur à travers des participations minoritaires, tout porte à croire que le choix d’investir dans Rubis n’est pas anodin.


Un investissement financier

Selon le cabinet Oddo BHF, « il s’agit d’un investissement essentiellement financier avec la possibilité d’accroître sa participation (et de chercher à rallier d’autres actionnaires), mais il n’a pas vocation à prendre le contrôle de Rubis à court/moyen terme ». Une prise de contrôle à moyen terme de Bolloré est en effet très improbable en raison de l’organisation de Rubis (société en commandite par actions) qui complique les OPA. L’une des autres raisons ayant pu pousser le Breton à investir est sa parfaite connaissance du secteur dans lequel évolue Rubis, son groupe possédant lui-même des actifs dans des domaines similaires (logistique pétrolière, électricité).


Bolloré, mais aussi Dassault et… BlackRock

Quels que soient les intentions de Bolloré, le fait qu’il ait misé sur Rubis a fait bondir le cours de l’action et lui a permis d’atteindre un nouveau plus haut. Les investisseurs semblent donc faire confiance au flair du magnat français. Et les actionnaires actuels de Rubis se frottent les mains. Même s’il faudra sans doute attendre le 11 juin prochain et l’assemblée générale pour connaître les réelles intentions de l’homme d’affaires français et des autres actionnaires de référence de Rubis (la famille de Patrick Molis, Dassault, BlackRock).



  
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gars d1 gars d1
02/04/2024 16:37:26
1

le Journal "Investir" donne "39 € en objectif.

  
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JD1976 JD1976
02/04/2024 16:03:08
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RUBIS : Les résistances sont proches

02/04/2024


Le MACD est positif et supérieur à sa ligne de signal. Cette configuration confirme la bonne orientation du titre. Néanmoins, le RSI se trouve dans la zone de surachat, on peut s'attendre à une correction technique à court terme. De plus, les stochastiques sont très élevés, ce qui confirme les risques en cas de retournement brutal. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.


MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 27.32 EUR, puis à 25.02 EUR et la résistance est à 36.53 EUR, puis à 38.83 EUR.

  
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gars d1 gars d1
02/04/2024 15:53:14
0

Mon graphe du 18 novembre 2023 au dessous sur cette file donnait un départ à 19,63…

: )

  
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Guy Wing Guy Wing
02/04/2024 14:34:21
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Indique le top départ, on essaiera de te suivre...

  
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gars d1 gars d1
28/03/2024 17:44:52
0

@ LeFourbe


je te le fais pas dire !

: )


  
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LeFourbe LeFourbe
28/03/2024 16:22:37
2

42.72€ suggéré par gars d'1 correspondant quasiment (à 10 centimes près) aux 50% de retracement,

C'est bien foutu quand même.

  
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gars d1 gars d1
28/03/2024 13:19:15
2

On pourrait retourner chercher la tendance haussière perdue et là, c'est encore plus haut.

Le PER 2024 serait à 9,33.

Si on monte à 12,00 de PER, ça fait du 42,72 et réintègre le rail haussier de reprise 2020.

  
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LeFourbe LeFourbe
28/03/2024 12:54:54
2

Graphiquement, à fin mars-début avril, la ROB long terme coincide avec un retracement 38.2% hebdo, soit vers 37.2€.

Ce n'est pas un conseil.

*actionnaire

  
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Gnarkh Gnarkh
28/03/2024 12:25:00
4

Nous avons encore beaucoup de marge avant d'arriver au plus haut historique. Encore 100% de hausse à attendre...

Et je ne parle même pas si nous pouvions espérer atteindre les multiples de PER de l'époque qui devaient être à plus de 20 fois les bénéfices.

J'ai entendu plusieurs fois dire que Bolloré arrive là où ne l'attend pas, je dois bien avouer que je ne l'attendais pas sur Rubis. J'imagine que je ne suis pas le seul dans ce cas-là.

  
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JD1976 JD1976
28/03/2024 11:46:00
1

Rubis, établit un nouveau record annuel à 33,2E (soit +47% depuis le 1er janvier)

Avec l'effacement 'en force' du palier de résistance des 30E, le titre s'était ouvert le chemin des 33,3E, un précédent zénith remontant au 2 septembre 2021 mais aussi un ex-support testé mi-mars puis mi-avril 2020.

... et ça monte encore 📈😃

  
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JD1976 JD1976
27/03/2024 08:36:08
0

Rubis : plus forte hausse du SBF 120 à la clôture du mardi 26 mars 2024 -

(+12,46% à 31,60 euros)


Rubis a décollé alors que Vincent Bolloré a franchi le 20 mars à la hausse le seuil de 5% du capital et des droits de vote de la société, selon un avis publié par l'autorité des marchés financiers. A la suite de cette annonce, Oddo BHF a rehaussé son opinion de Neutre à Surperformance, selon une source de marché. Selon un avis publié ce mardi par l'autorité des marchés financiers, le concert composé de Patrick Molis et de la société Compagnie Nationale de Navigation, Jade Molis, Agathe Molis et Victoire Molis et Charles Gravatte, a aussi franchi le seuil de 5% du capital du groupe.

  
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MikeBreizhou MikeBreizhou
27/03/2024 00:09:31
0

Bonne stratégie !

  
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JD1976 JD1976
26/03/2024 17:41:46
2

PRU à 29.95€ pour moi... 👍 belle opération !😁

  
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gars d1 gars d1
26/03/2024 17:25:10
4

La meilleur opération de la journée…


Je planche dur !

Vendu 30 Kering à 357,75 € (Net cession) pour acheter 358 Rubis à 29,98 de PRU.

Je vise maintenant un repli de Kering après publication du T1/2024 et détachement du dividende restant (9,50€)

ET je vise une bataille boursière sur Rallye autour du dividende pour juin puis Solde de cession pour septembre.

De quoi entretenir les cous au plus haut…


Concernant le Rachat des 30 Kering, je le ferais en repli avec les dividendes à venir : le complément de ligne de 358 Rubis générera 977,34 € de dividende en principe. Avec juste la ligne Rubis complétée, j'aurai déjà 4223,31 € pour racheter des Kering.


  
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JD1976 JD1976
26/03/2024 10:15:45
3

Rubis : Vincent Bolloré en invité surprise

26/03/2024

Entrée au capital...


Bolloré. Sans prévenir, Vincent Bolloré s'invite au tour de table de Rubis en prenant 5% du capital. L'homme d'affaires breton connaît bien l'Afrique où cette société réalise une part substantielle de son activité. Il est également proche de la famille Picciotto qui a longtemps détenu une participation dans Rubis... En 2023, les ventes de Rubis ont baissé de 7% en raison de la baisse des prix moyens de l'énergie. Cela n'a pas empêché le résultat net de progresser de 8% grâce à une bonne maîtrise des coûts. Après avoir vendu il y a quatre ans 45% des parts de sa filiale dédiée au stockage des produits pétroliers, Rubis s'apprête à céder le solde de sa participation en échange de 375 ME.


Actionnaires. Les actionnaires en profiteront avec le versement d'un dividende exceptionnel de 75 centimes. Mais le gros de la somme sera réinvesti dans les énergies renouvelables. Dans ce domaine, Rubis a racheté Photosol en 2022 pour 376 ME. Figurant parmi les 5 premiers acteurs français du solaire, Photosol compte investir 2,7 MdsE sur la période 2023-2030 pour élargir son parc. Sa capacité de production devrait passer de 0,5 GW l'an dernier à 1 GW en 2025 puis 3,5 GW à horizon 2030... Le renouvelable devrait alors représenter au moins 25% de l'Ebitda de Rubis. Ce virage à marche forcée devient presque une nécessité pour continuer d'attirer les investisseurs. Avec les contraintes ESG, les valeurs évoluant dans les énergies fossiles sont délaissées...


Spéculation. Dans les cours actuels, Rubis présente une valorisation raisonnable et un rendement élevé à 7,5%. Mais c'est surtout l'arrivée de Vincent Bolloré qui retient l'attention. Doté de plusieurs Milliards d'Euros de cash, son groupe a largement les moyens de prendre le contrôle de Rubis. Les deux gérants de la sociétés, Jacques Riou et Gilles Cobin, sont respectivement âgés de 72 ans et de 73 ans. Même si Rubis est organisé sous la forme d'une commandite, Vincent Bolloré a déjà montré son talent pour se lancer à l'assaut de forteresses soi-disant imprenables.


  
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