Le directeur général du projet international Iter de recherche sur la fusion nucléaire , le français Bernard Bigot , est décédé samedi à 72 ans, «emporté par la maladie», a annoncé Iter Organization.
«Acteur majeur du monde de la science et de l'énergie pendant plus de quatre décennies, il a imprimé une marque durable au programme de recherche international Iter, dont il avait pris la direction en 2015»
Alors que la viabilité du programme de réacteur expérimental de fusion nucléaire était remise en question , certains des pays envisageant alors de remettre en cause leur participation , Bernard Bigot l'avait remis sur les rails .
Aujourd'hui, «chacun des partenaires du programme - la Chine, l'Europe, l'Inde, le Japon, la Corée, la Russie et les États-Unis - a produit sa part de pièces de très haute technologie destinées à la machine et aux systèmes industriels de l'installation» , et les trois quarts des «tâches indispensables à la production d'un premier plasma sont désormais réalisées», selon Iter.
Basé à Cadarache (Bouches-du-Rhône), Iter vise à maîtriser la production d'énergie à partir de la fusion de l'hydrogène , comme au cœur du Soleil. La fusion nucléaire est considérée par ses défenseurs comme l'énergie de demain car elle pourrait être quasiment illimitée et non polluante.
La première production de plasma devrait intervenir en 2026 et le réacteur devrait atteindre sa pleine puissance en 2035.
Bernard Bigot s'était également illustré dans les ministères et avait procuré une aide pertinente aux différents programmes scientifiques français
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Un visage connu du petit écran et des seconds rôles s'en va...
L’actrice Hélène de Saint-Père (Profilage, Alex Hugo...) est décédée à l’âge de 58 ans
07/05/2022 - 09h35
Le monde du cinéma est en deuil. La comédienne Hélène de Saint-Père, vue dans les séries Profilage et Alex Hugo, est décédée à l’âge de 58 ans.
Mercredi 4 mai 2022, l’actrice Hélène de Saint-Père s’est éteinte à l’âge de 58 ans. Si son nom ne vous dit rien, elle a pourtant connu une carrière riche et variée.
Formée au fameux Cours Florent, celle qui est née à Brazzaville au Congo, a multiplié les expériences au théâtre, au cinéma et plus récemment à la télévision.
Sa carrière a en effet démarré sur les planches, au théâtre des Amandiers, alors dirigé par Pierre Romans et le grand réalisateur Patrice Chéreau. Sous la direction des deux metteurs en scène, elle joue dans Penthésilée et La Petite Catherine de Heilbronn de Heinrich von Kleist et Platonov d'Anton Tchekhov au Festival d'Avignon.
Pour l’une de ses premières expériences cinématographique, elle tourne dans Hôtel de France de Patrice Chéreau avec toute la troupe des Amandiers : Agnès Jaoui, Vincent Pérez, Marianne Denicourt, Valeria Bruni Tedeschi, Thibault de Montalembert, Bruno Todeschini, Marc Citti, Laurent Grésil…
"À cette époque le théâtre des Amandiers était en pleine ébullition, nous étions quotidiennement en contact avec la réalité du métier, ce n'était pas du tout une école classique", confiait-elle alors.
Hélène de Saint-Père tourne ensuite dans Le bal du gouverneur de Marie-France Pisier, Miss Missouri d'Élie Chouraqui, Vendredi soir de Claire Denis, Il est plus facile pour un chameau... de Valeria Bruni Tedeschi, Peindre ou faire l'amour d'Arnaud et Jean-Marie Larrieu…
Puis dans le milieu des années 90, la comédienne se dirige vers la télévision, et participe à de nombreux téléfilms et séries. Les téléspectateurs peuvent en effet l’apercevoir dans Le juge est une femme, Joséphine, ange gardien, Les Petits Meurtres d'Agatha Christie, Profilage, Caïn, Alex Hugo, Mongeville, Commissaire Magellan ou encore Jacqueline Sauvage : C'était lui ou moi.
En 1995, son talent est récompensé et Hélène de Saint-Père reçoit une nymphe d'argent pour la meilleure interprétation féminine pour son rôle dans Le cauchemar d'une mère, un téléfilm diffusé à l'époque sur M6.
En 2019, elle décide de mettre son expérience au service des apprentis comédiens et devient enseignante au Cours Florent.
Quels rôles de Télévision : une habitué des seconds rôles
2019
MOLOCH - Arnaud MALHERBE
2018
LES MYSTÈRES DU BOIS GALANT - Lorenzo GABRIELE
JACQUELINE SAUVAGE, C'ÉTAIT LUI OU MOI - Yves RENIER
Festival de la Fiction de La Rochelle 2018 - Hors compétition
2017
ENNEMI PUBLIC - Matthieu FRANCES & Gary SEGHERS
2016
ALEX HUGO " SUR LA ROUTE " - Philippe BERENGER
COMMISSAIRE MAGELLAN " POUR MA FILLE " - Lionel CHATON
MONGEVILLE " FAUTE DE GOÛT " - Stéphane MALHURET
2015
LES LIENS DU COEUR - Régis MUSSET
BÉBÉS VOLÉS - Alain BERLINER
LA STAGIAIRE " BIEN D' EXCEPTION " - Christophe CAMPOS
UNE CHANCE DE TROP - François VELLE
2013
LA CROISIÈRE - Pascal LAHMANI
2012
DANGEREUSES RETROUVAILLES - Jérôme DEBUSSCHERE
LE SANG DE LA VIGNE " QUESTION D'EAU, DE VIE ...OU DE MORT" - Aruna VILLIERS
ENQUÊTES RÉSERVÉES - Christophe BARBIER
2011
L'INFILTRÉ - Giacomo BATTIATO
RANI - Arnaud SELIGNAC
FAMILLE D'ACCUEIL - Bertrand ARTOIS
2010
PROFILAGE - Pascal LAHMANI
2009
LA VÉNITIENNE - Saara SAARELA
JE, FRANÇOIS VILLON, VIOLEUR , ASSSASSIN,POÈTE.. - Serge MEYNARD
2008
ENTRE DEUX EAUX - Michaëla WATTEAUX
2007
LES FRILEUX - Jacques FANSTEN
AM STRAM GRAM - Stéphane KAPPES
...
https://www.astalents.fr/talent/comediennes/helene_de-saint-pere.htm
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actrice vue dans "Les bronzés font du ski"
Heu pas par tout le monde..
suffit d'une fermeture de paupières et c'est mort.
à côté d'elle, le cochon à un meilleur rôle !
Surnommée à l'époque "Coquillette", elle a été vue dans le film Les Bronzés font du ski, de Patrice Leconte, dans lequel elle jouait l'infirmière de Jérôme, incarné par Christian Clavier.
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Bien dégouté, c'est passé totalement inaperçu avec les merdes des élections...
Je vais y aller de mon petit hommage car il a fait vraiment de très bons albums de Kraft rock et de Progressive Rock.
Merci pour avoir dorloté mes oreilles !...
Je vous ai mis des liens pour écouter une partie de ses oeuvres.
Klaus Schulze, pionnier de la musique électro allemande, est mort le 26 avril 2022
Par Le Parisien avec AFP | Le 28 avril 2022
Dans les années 1970, il s’est essayé à de nombreux styles différents : musique de film, interprétation détournée de thèmes du répertoire classique et même à la production de vedettes de variétés.
Il était considéré comme l’un des pères fondateurs de la musique électronique allemande et a inspiré de nombreux musiciens de tout genre de Damon Albarn à Kanye West. L’Allemand Klaus Schulze est mort à l’âge de 74 ans, a annoncé ce jeudi son fils sur Facebook. Il s’est éteint mardi, de façon « soudaine et inattendue » bien qu’il luttait contre une maladie, a écrit Maximilian Schulze sur Facebook.
Né le 4 août 1947 à Berlin, Schulze est considéré comme le pionnier de la musique électronique allemande, dont l’influence peut être décelée sur quantité d’enregistrements contemporains. Dans les années 1970, ce colosse de deux mètres a été l’un des principaux ambassadeurs du rock planant, partageant la scène avec Mike Oldfield ou encore le groupe anglais Pink Floyd. Il est un temps membre du groupe de krautrock allemand Tangerine Dream.
Guitariste puis batteur, il s’est frotté à tous les exercices : musique de film, interprétation détournée de thèmes du répertoire classique et même à la production de vedettes de variétés (le groupe allemand Alphaville). Ses morceaux, qui pouvaient dépasser les 30 minutes, sont devenus des classiques de la musique électronique. De nombreux artistes, de Brian Eno à David Bowie en passant par Damon Albarn et Kanye West, se sont réclamés de son héritage.
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Klaus Schulze commence sa carrière solo au printemps 1971, et produit en avril 1972 son premier album Irrlicht dans une atmosphère évoquant des vagues de sons électroniques. Irrlicht n'est cependant pas à proprement parler un album de musique électronique. Des sons d'orchestre classique ont été manipulés et incorporés dans cet album qui est sous le signe de la rupture d'une certaine forme de classicisme. Avec d'importants avant-gardistes allemands, il participe à l'album Tarot de Walter Wegmüller, puis grave avec Manuel Göttsching le Join Inn d'Ash Ra Tempel. Ce n'est qu'à partir de 1973 qu'il monte seul sur scène. Il enregistre alors le double 33 tours Cyborg, très électronique, et essentiellement composé avec le synthétiseur EMS VCS3, puis Picture Music (sorti en 1975), albums contenant toujours de longues plages électroniques. Il participe à des improvisations débridées avec différents musiciens, qui seront éditées dans trois des cinq albums des Cosmic Jokers, ainsi qu'à une foule d'autres disques, joue à nouveau avec un Tangerine Dream désormais converti à l’électronique, et signe un contrat avec le label Virgin. Il devient aussitôt l'un des artistes phares de Virgin Records.
Avec Blackdance (1974), Klaus Schulze trouve ce qui restera désormais son véritable style. Avec une boîte à rythme et une prolifération de sons électroniques hypnotiques, il crée le « space rock » à une époque très propice pour ces sons évocateurs d'évasion et d'images cosmiques. Le monde entier à cette époque tourne les yeux vers les étoiles et reçoit les premières images extraordinaires des sondes spatiales lancées par la NASA. La surprenante pochette de Urs Amann contribue à ce dépaysement.
Timewind en 1975 est sa première œuvre majeure, récompensée par le Grand Prix International du Disque en France, pays où il tourne en concert pour la première fois. Au moment d'enregistrer cet album, Klaus Schulze fait l'acquisition de son premier séquenceur, le Synthanorma2, instrument qui sera également utilisé par Tangerine Dream et Kraftwerk. Il s'en sert alors pour piloter l'ARP 2600 et élaborer la longue séquence du fameux morceau Bayreuth Return.
En décembre 1975, il rachète à son confrère musicien Florian Fricke le « Big Moog » modèle III p, synthétiseur modulaire aux vastes possibilités produit à un nombre limité d'exemplaires. Cet instrument devenu légendaire accompagnera Schulze sur scène et fera son effet notamment de par ses dimensions imposantes. Les synthétiseurs Moog (modulaire et Minimoog) viennent ainsi donc étoffer son arsenal instrumental auprès des EMS Synthi A et VCS3, des ARP (Odyssey et 2600) et des claviers électroniques Farfisa, ce qui lui permet de multiplier les expériences et les recherches sonores. Sa vision musicale est d'une remarquable originalité, hypnotique et cosmique, évoquant des images de l'Univers, des visions d'étoiles, de nébuleuses et de mondes fantastiques. À l'instar de Tangerine Dream, Klaus Schulze est au cœur de la vague « space rock » (ou rock planant électronique).
En 1976, il signe Moondawn, qui sera à nouveau un grand succès. Floating, sur la face A de l'album, commence par une litanie du Notre père catholique en arabe :
« Abana L Lazi fi samawat, Li yatakadass Ismouka, Li ya’ti malakoutouka, Litakon Machi’atouka, Kama fil sama’i, kazalika a3la L ard, A3tina khobzana, kafafa yawmina, Wa ghfér lana zounoubana wa khatayana, Kama nahnou nagfér liman assa’a Ilayna, la todkhilna fi tajareb, Lakin najjina mina L sherrir, Amin. »
Le parti pris d'insérer cette prière au début de cette longue odyssée de l'esprit privilégie l'appel à la méditation plutôt qu'un quelconque prosélytisme religieux. Klaus Schulze soulignera l'importance de la sonorité des mots dans cette ouverture. Harald Grosskopf joue de la batterie sur l'album.
Schulze forme également le groupe GO avec les multi-instrumentistes Steve Winwood et Stomu Yamashta et le percussionniste Michael Shrieve (qui fut le premier batteur de Carlos Santana), musiciens avec lesquels il enregistre un album, puis le double Go Live From Paris.
1976 et 1977 sont des années phares de Klaus Schulze, notamment marquées par le concert donné à Bruxelles, à la cathédrale Saint-Michel, le 17 octobre 1977. En 1977, il réalise la bande son Body Love du film érotique de même nom (un succès américain, suivi de Body Love II) et de plusieurs autres films. Puis c'est le second album de Go sous le titre Go Too. Entre les tournées, il enregistre Mirage en 1977 (l'album de Klaus Schulze le plus vendu à ce jour) puis le double album X en 1978.
Avec Mirage et ses deux morceaux élaborés retraçant des voyages sonores envoutants (Velvet Voyage et Cristal Lake) , il signe l'un de ses meilleurs albums. On pourrait rapprocher cette œuvre majeure des travaux réalisés par ailleurs par Jean-Claude Éloy, grand compositeur de musique électroacoustique (Gaku-no-michi). La « marque de fabrique » du travail de Schulze est notamment l'utilisation de séquences et la transposition de celles-ci en diverses tonalités, tout cela en direct, donnant la particularité du son Schulz.
Il quitte Berlin et achète un domicile dans le village de Hambühren près de Hanovre, qu'il équipe de studios, d'ateliers vidéo, de bureaux, d'une scène, etc. Il installe son studio géant personnel chez lui, en pleine forêt.
Après Dune en 1979, il se consacre à diverses et nombreuses productions de sa nouvelle marque IC. Voulant réaliser des albums plus grand public, il décide de se choisir un nom d’artiste alternatif afin de garder une distinction avec ses œuvres personnelles. C’est ainsi que sort le premier album signé Richard Wahnfried. Ce nouveau pseudonyme montre directement son admiration pour Wagner, car Richard est le prénom de Wagner, et Wahnfried est le nom de la maison que fit construire Wagner pour lui et sa famille à Bayreuth. La même année, il ouvre une école de création et d'interprétation au synthétiseur dans son domicile.
En 1980 c'est le double ...Live... puis Dig It qui est le premier disque où il fait usage de synthétiseurs et technologies numériques. Au cours des années 1980, il continue de produire des musiques de film et publie un CD par an sous son nom de Klaus Schulze (en plus de trois autres sous le nom de Richard Wahnfried). Il devient producteur de différents groupes (dont Alphaville en 1988). Inépuisable, il collabore à des dizaines de projets (dont l'album Babel avec Andreas Grosser en 1987) tout en continuant ses tournées dans toute l’Europe, y compris en Pologne, où il devient extrêmement populaire. Il crée début 1984 son label Inteam sous lequel il sort notamment la musique du film Angst. Ce label est pour lui un naufrage financier et personnel qui l’entraîne dans l’alcoolisme, au point qu’il doit arrêter ses tournées en 1985.
Klaus Schulze se désintoxique, vend IC et ferme Inteam, et se consacre désormais entièrement à ses projets musicaux. Il est redécouvert aux États-Unis avec son Pioneer of Space diffusé sur soixante radios. Il se produit à Dresde quelques semaines avant la chute du mur de Berlin en novembre 1989. L’événement est immortalisé l’année suivante par un double CD en public, et il réutilise ce concept avec trois disques enregistrés lors de concerts exceptionnels à Londres et à la cathédrale de Cologne.
Après déjà pas moins de vingt-six albums solo sous son nom, sort un coffret de dix CD en édition limitée Silver Edition, très bien accueilli par le public. Après des années d'absence en France, il réalise la bande originale du film Le Moulin de Daudet et produit deux concerts à l'ambiance exceptionnelle avant d’être accueilli par le président François Mitterrand puis par le roi Albert II.
Courtisé par des musiciens anglais de la vague techno qui veulent enregistrer avec lui, il publie Trancelation (suivi de Trance Appeal en 96), dans un style « dance music », mais sous le nom de Richard Wahnfried. Puis il enregistre Klaus Schulze Goes Classic. C'est ensuite Totentag, de l'opéra, puis Das Wagner Desaster en public à Paris et Rome. Après In Blue en 1995, il publie une rétrospective d'enregistrements inédits, un nouveau coffret de dix CD en édition limitée, Historic Edition. Ces disques sont particulièrement bien accueillis par le public, et sont encore suivis par la publication de six albums de morceaux enregistrés lors des débuts d’Ash Ra Tempel . Après Are You Sequenced?, il publie en 1997, pour son cinquantième anniversaire, un coffret de vingt-cinq CD sous le titre de Jubilee Edition, très vite épuisé (comme les deux coffrets précédents) et particulièrement recherché par les collectionneurs. En 1997, sort également Dosburg Online.
Klaus Schulze est aussi productif à lui seul que ses pairs de Tangerine Dream, publiant à ce jour[Quand ?] 78 albums sous son nom, et participant comme musicien à un total de 137 disques.
Dans la foulée, il publie deux nouveaux coffrets (respectivement dix et six CD) de listening music sous le titre de Contemporary Works, plus un triple live en 2001 sous le titre de Live @ Klangart.
Au cours de première moitié des années 2000, il est atteint d’une pancréatite, conséquence de l’ère Inteam, qui l’oblige à se soigner activement au détriment de sa carrière.
En 2006, il reçoit le Qwartz d’honneur au Cirque d'Hiver lors de la cérémonie des Qwartz 2.
En 2005 et 2007 sortent Moonlake puis Kontinuum, deux albums en solo.
En juin 2008, il s’associe avec la chanteuse Lisa Gerrard du groupe Dead Can Dance, Klaus Schulze pour sortir l'album Farscape3, et donne quelques concerts avec elle en Europe (Allemagne, Pologne, Pays Bas, France et Belgique) jusqu’en 2009.
Les 20 et 21 mars 2010, il donne à Tokyo ses deux derniers concerts (édités en coffret CD Big In Japan : Live in Tokyo 2010) : il a en effet annoncé qu’il ne se produirait plus en public.
En 2015, bien qu'il ait dit ne plus donner de concerts, il annonce pour 2016 un concert d'adieu en Pologne4, pays qui lui est resté cher. Ce projet ne verra pas le jour, car sa pancréatite fait une rechute et il est obligé de l'annuler.
Cet artiste singulier et sincère, inoubliable créateur de Timewind, laisse une empreinte majeure dans la musique électronique. Sa silhouette blanche assise en tailleur dos à son public, face à un mur de Moogs dans des concerts souvent tenus dans des églises ou des cathédrales, demeure une image marquante pour ceux qui en ont été témoins dans les années 1970.
Il meurt le 26 avril 2022, à l'âge de 74 ans.
• Klaus Schulze - Timewind (1975)
https://www.youtube.com/watch?v=qBn0Jnf7_3M
• Klaus Schulze - Kontinuum (2007)
https://www.youtube.com/watch?v=UkXeOMSwdZQ
• KLAUS SCHULZE - TIME TO GO - LA VIE ELECTRONIQUE - Durée : 3:17:07
https://www.youtube.com/watch?v=B0ohpe56T3k
• Klaus Schulze - My Ty She
https://www.youtube.com/watch?v=o0nZbt1Txsk
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Décès de Véronique Barrault, actrice vue dans "Les bronzés font du ski", à l'âge de 64 ans
Publié aujourd'hui à 10h55
Source : JT 20h Semaine
La comédienne est morte ce mardi à 64 ans dans un tragique accident de moto.
Elle faisait partie de la célèbre troupe du Splendid, aux côtés de Thierry Lhermitte et Josiane Balasko.
On l'a vue notamment dans "Les Bronzés font du ski", "Gazon Maudit" ou encore Joséphine "s'arrondit".
Elle faisait partie de la famille du Splendid. La comédienne Véronique Barrault est décédée ce mardi 3 mai dans un tragique accident de moto.
Comme le révèle Sud Ouest, l'actrice âgée de 64 ans a été victime d'une collision mortelle alors qu'elle était à l'arrière d'une moto. Le deux roues a percuté une voiture dans la commune de Camblanes-et-Meynac, au sud de Bordeaux. Le conducteur de la moto, âgé de 60 ans, a été transporté à l'hôpital dans un état grave. Quant à la conductrice de la voiture, en état de choc, elle n'a pas eu besoin d'être évacuée.
Née en 1958, Véronique Barrault avait démarré sa carrière sur les planches en rejoignant la célèbre troupe du Splendid aux côtés de Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Gérard Jugnot, Josiane Balasko ou encore Michel Blanc. Surnommée à l'époque "Coquillette", elle a été vue dans le film Les Bronzés font du ski, de Patrice Leconte, dans lequel elle jouait l'infirmière de Jérôme, incarné par Christian Clavier.
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« La reine de la nuit », « la Grande Zoa », « la Fréhel de Montparnasse », elle avait mille surnoms, mais on ne l’on n’appelait que par son prénom : après des décennies à illuminer la nuit, Régine s’est éteinte hier, nous léguant des airs à fredonner et un certain art de vivre.
Conçue en Argentine, née en Belgique, cette fille de juifs polonais avait grandi en France, ballottée de pensions en pensions, après que son père eut perdu la boulangerie familiale au poker. Durant la Seconde guerre mondiale, elle se cache à Aix-en-Provence puis Lyon, doit changer de nom et de religion, tombe amoureuse de Claude, le neveu du grand rabbin qui lui offrait un refuge. Mais alors que le jeune homme vient de la demander en mariage, il est arrêté par la Gestapo et assassiné en déportation.
Alors au lendemain de la guerre, comme pour prendre sa revanche sur cette jeunesse douloureuse, Régine va faire de sa vie une longue fête. Elle prête main forte à son père dans son bar de Belleville, devient une créature noctambule, s’étourdit de danse et de musique jusqu’au bout de la nuit, régnant bientôt sur un club du Palais-Royal, Whisky à gogo, en femme-orchestre, tout à la fois serveuse et chauffeuse de salle, videuse et dame pipi. Elle crée des soirées bien à elle, faisant place à la danse en aménageant une piste au sol ciré où se reflètent des boules à facettes, troquant les juke-box pour les tourne-disques, disc-jockey avant l’heure, inventant ce qu’on appellera quelques années plus tard les discothèques. Françoise Sagan scelle peut-être son destin en la sacrant alors « reine noire de nos nuits blanches ».
En 1956, dans l’effervescence du Saint-Germain-des-Prés, elle ouvre sa propre boite de nuit, Chez Régine. Puis le New Jimmy’s à Montparnasse où le tout-Paris, vedettes, gens de lettres, hommes d’affaires ou oiseaux de nuit viennent boire, manger, et danser sur des airs venus d’Amérique, le twist ou le cha-cha-cha. Elle essaime en France et dans le monde une vingtaine d’autres haut-lieux de la nuit, reprend le Palace, ouvre des restaurants, lance des parfums, étendant son empire dans les capitales du monde, de Paris à New York, de Monte-Carlo à Rio, du Caire à Buenos Aires.
La nuit était son royaume : elle aimait sa temporalité suspendue, quand « le temps », disait Française Sagan, « pouvait s’échapper des horloges ». Dans ses palais nocturnes, on croise Maurice Chevalier, Maria Callas, Charles Aznavour, Yves Saint Laurent, Rudolph Noureev ou Sacha Distel, tous ceux qui, après la longue nuit de l’Occupation, n’ont plus sommeil. Ses soirées prennent parfois de faux airs de salons littéraires : Françoise Sagan, Jean Cocteau, Truman Capote, Henry Miller y refont le monde en rivalisant de traits d’esprit.
Sa gouaille parisienne et son énergie de feu inspirent les plus grands compositeurs qui lui écrivent des textes sur mesure : Nounours de Charles Aznavour, Les P’tits Papiers, de Serge Gainsbourg, La Grande Zoa, de Frédéric Botton, Gueule de nuit de Barbara ou encore L’aspire-à-cœur de Modiano, qu’elle chantait avec la verve des chanteuses réalistes mais avec un panache qui n’appartenait qu’à elle, avec son grand boa en écharpe et sa chevelure incandescente.
Elle était partout où brillaient les lumières, dans ses clubs, sur les scènes de l’Olympia, de Bobino, des Folies Bergère ou du Carnegie Hall, et jusque sur nos écrans, dans Mazel Tov de Claude Berri, Le Train de Pierre Granier-Deferre ou Les Ripoux de Claude Zidi.
Régine, enfin, qui se targuait de ne dormir que trois heures par jour, fermait rarement les yeux, mais tendait toujours la main, s’engageant avec générosité, fondant SOS Drogue International et présidant SOS Habitat et Soins.
Cette grande figure de la nuit parisienne et de la chanson française n'est plus.
Condoléances 💐
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La reine des nuits parisiennes Régine est décédée à 92 ans
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Décès Bernard Pons, ancien ministre et secrétaire général du RPR
Par La Provence (avec AFP)
L'ancien ministre et secrétaire général du RPR (ex-UMP) Bernard Pons, figure de la droite et député pendant plusieurs mandats, est décédé à l'âge de 95 ans, a annoncé sa famille mercredi à l'AFP. Né en 1926 à Béziers (Hérault), ce fidèle de Jacques Chirac avait été plusieurs fois secrétaire d'Etat et ministre, notamment des Dom-Tom puis des Transports.
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L'ancien capitaine des Springboks Dawie De Villiers est mort
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Suicides ou meurtres déguisés ? Une vague de décès dans les rangs des oligarques russes interroge
le 27 avril 2022
Depuis la fin février, six oligarques russes ont disparu dans de troublantes circonstances. Ils sont quasiment tous de hauts responsables de l'entreprise Gazprom.
C'est une étrange loi des séries. Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, une vague de suicides semble toucher les oligarques russes. Six d'entre eux ont disparu dans d'étranges circonstances. À chaque fois, le même scénario : l'homme est retrouvé pendu par son jardinier ou par un ami. Près de lui une lettre d'explication, un couteau, et à quelques mètres, les corps d'une épouse et d'enfants lacérés de coups de couteaux. Une telle succession de suicides, aussi rapprochés dans le temps, dans des conditions quasi similaires, "c'est d'emblée suspect", précise un bon connaisseur de la galaxie Poutine. Qui n’hésite pas à évoquer l'hypothèse de meurtres déguisés.
Tous ou presque sont des hauts responsables de Gazprom
Car toutes les victimes ont un point commun, au-delà d’être de riches hommes liés de près ou de loin au pouvoir russe. Ils sont tous ou presque des haut-placés de l'entreprise Gazprom, géant russe de l'énergie en lien étroit avec le Kremlin. Et cette société n'hésite pas à interférer dans les enquêtes policières menées sur ces suicides à répétition. Le 25 février notamment, au lendemain de la déclaration de guerre, l'enquête commence à peine au domicile d'Alexander Tyulyakov. Il vient d’être découvert pendu dans le garage de son chalet, près de Saint-Pétersbourg. Les légistes font leurs constations : c'est le moment choisi par une poignée d’agents qui se présentent comme une équipe de sécurité de Gazprom, venue boucler la scène de crime. Médecins et policiers sont alors poliment mis à l'écart.
Des oligarques retrouvés morts en Espagne ou au Royaume-Uni
Cette vague de suicides ne touche pas que des oligarques basés en Russie. Comme le raconte Nesweek, certains sont retrouvés morts en Espagne ou au Royaume-Uni. Le 22 avril, le corps de Sergeï Protosenya, ancien cadre d’un autre géant de l’énergie, Novatek, est retrouvé dans le jardin d’une villa en Catalogne. Vivant en France, il se trouvait à Lloret del Mar pour les vacances de Pâques avec sa femme et sa fille. La police locale évoque deux pistes possibles. La première : l'homme aurait tué sa famille à l'aide de la hache et du couteau retrouvés près de lui. La seconde : tous ont été assassinés, et la scène disposée de sorte à faire croire à un suicide.
Comme Sergeï Protosenya une partie de ces oligarques s’étaient exilés. Certains redoutaient depuis quelques semaines de se trouver en situation de faillite. C’est là une autre piste pour expliquer le geste de ces hommes, affaiblis financièrement par les sanctions internationales. Privés des devises étrangères qui leur permettaient d'assurer leur train de vie.
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Le chanteur belge Arno est mort à l'âge de 72 ans, annonce son agent
franceinfo
France Télévisions
Publié le 23/04/2022 17:59
Le chanteur belge Arno, connu notamment pour son morceau Les filles du bord de mer, est mort à l'âge de 72 ans, a annoncé samedi 23 avril son agent Filip De Groote, cité par la télévision flamande VRT et Le Soir.
Le chanteur, qui luttait contre un cancer du pancréas depuis 2019, avait dû annuler en juillet dernier tous ses concerts prévus en France, Belgique, Suisse et Pays-Bas jusqu'à la fin 2021, ses médecins lui ayant prescrit "du repos".
"Il va nous manquer à tous, à sa famille, à ses amis et à ses musiciens. Il sera toujours avec nous grâce à la musique qui l’a maintenu en vie jusqu’à la fin", a déclaré dans un communiqué Filip De Groote.
Un album posthume à paraître
Selon VRT, le chanteur à la voix rocailleuse, parfois décrit comme "le Tom Waits belge", travaillait dans les dernières semaines de sa vie à un nouvel album, qui sortira à titre posthume. "Le disque n'est pas encore terminé", a précisé Filip De Groote. "Nous préférons le finir tranquillement plutôt que de le sortir rapidement."
Né le 21 mai 1949 à Ostende, ville côtière flamande à laquelle il est resté très attaché et qu'il évoque dans ses chansons, Arno Hintjens avait débuté sa carrière au sein du groupe rock TC Matic dans les années 80, avec notamment la chanson "Putain, putain" ("Putain, putain, c'est vachement bien, nous sommes quand même tous des Européens"), un titre repris récemment en duo avec un autre Belge, Stromae.
C'est en solo qu'il s'est ensuite révélé à un plus large public, grâce à des chansons comme Les yeux de ma mère ou ses reprises dont il s'était fait une spécialité, en particulier Les Filles du bord de mer d'Adamo, mais aussi Le Bon Dieu de Jacques Brel ou Elisa de Serge Gainsbourg.
Chanteur inclassable, mélangeant blues, rock'n'roll, punk et bal musette, poète du plat pays, amoureux des mots, des femmes et de la liberté, Arno ne s'est jamais arrêté de créer, de chanter et de raconter ses histoires et ses peines de coeur noyées dans l'alcool. Son titre Santé raconte les déboires de tous les cocus du monde entier.
Parolier insatiable, travailleur acharné, il a écrit au total plus d'un millier de titres en anglais, français ou flamand et laisse une quinzaine d'albums en solo. Dans le dernier, un disque bouleversant baptisé Vivre, paru en 2021, il reprenait nombre de ses succès en version piano-voix en compagnie du jeune pianiste lillois Sofiane Pamart.
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Guy Lafleur, la légende des Canadiens de Montréal, s'est éteint à 70 ans. Il avait remporté 5 fois la Coupe Stanley.
RIP
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... mais sous la peau craquelée, verdâtre et vieille du crapaud
de ses jeunes années, folâtre et veille encore un coeur beau
Libre adaptation, revue et corrigée, des Stances à Marquise
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@hellforthem
Exact, la Compagnie n’était que Section et le poète n’est que crapaud…
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Bel hommage, si ce n'est que la compagnie n'était en réalité qu'une section
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C’est PAS MA FAUTE mais c’est LA VÉRITÉ Jacques Perrin est parti pour L’OMBRE. Il n’était pas UN HOMME À MOITIÉ et encore moins UN HOMME DE TROP lui qui écrivait dans son JOURNAL INTIME qu’il n’aimait pas LA CORRUPTION.
LE CRABE-TAMBOUR a pris LA FUITE AU PARADIS même si SATAN CONDUIT LE BAL.
LE CHEVALIER À LA ROSE toujours avec LE SOLEIL DANS L’OEIL à définitivement franchi LA LIGNE DE DÉMARCATION abandonnant son étrange PEAU D’ANE dans LES EAUX DORMANTES de L’ÉCUME DES JOURS.
LES PORTES DE LA NUIT se sont fermées et bien sûr LA FILLE A LA VALISE à LA PETITE VERTU fait LA GRIMACE en repensant À LA VIE ARDENTE passée avec le beau lieutenant de LA 317ème COMPAGNIE.
Voilà c’est fini et place AU LONG SILENCE.
Merci à cet acteur pour les bons moments qu’il nous a offert.
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Pour saluer sa mémoire, France 5 a décidé de diffuser ce vendredi, à 21h, Le Crabe-Tambour, dans lequel l’acteur interprète le rôle-titre, un lieutenant de vaisseau surnommé ainsi. Ce film de Pierre Schoendorffer, sorti en 1977, est aussi porté par Jean Rochefort.
Le long-métrage Breakfast Club que France 5 avait prévu de diffuser au départ sera reprogrammé ultérieurement.
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Jacques PERRIN, le sous-lieutenant TORRENS de la 317e section, aujourd'hui à 80 ans.
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Nicholas Angelich, pianiste virtuose américain, est mort à l’âge de 51 ans
Angelich était un grand interprète des œuvres pour piano de Beethoven, Brahms et Liszt, mais aussi des compositeurs du XXe siècle, parmi lesquels Messiaen, Stockhausen, Boulez ou Bruno Mantovani.
Le Monde avec AFP | 19 Avril 2022
Le pianiste américain Nicholas Angelich, qui excellait autant dans le répertoire romantique que contemporain, est mort lundi à l’âge de 51 ans, a annoncé son agent mardi 19 avril, provoquant une pluie d’hommages dans le monde de la musique classique.
« Comme ta sonorité, tu étais lumineux et tendre à la fois (…) Je ne jouerai plus jamais une note de Brahms sans être près de toi », a réagi sur Twitter le violoniste français Renaud Capuçon, en saluant la mémoire d’un « pianiste hors norme » et d’un « ami sensible, fidèle, généreux ».
« Américain de naissance, mais installé à Paris, Nicholas souffrait d’une maladie respiratoire », a expliqué dans un communiqué l’agence artistique Jacques Thelen, en rappelant que Nicholas Angelich ne s’était plus produit sur scène depuis juin 2021.
Né aux États-Unis, il a notamment étudié au Conservatoire national supérieur de musique de Paris avec Aldo Ciccolini, Yvonne Loriod, Michel Béroff, et plus tard, il fut aussi l’élève de Leon Fleischer et de Maria João Pires.
La nouvelle de son décès a été confirmée un peu plus tôt aujourd’hui par son agence artistique.
Au cours de sa carrière, il a joué sous la direction de nombreux grands chefs tels que Charles Dutoit, Louis Langrée, Kurt Masur et Valery Gergiev. Sa discographie, assez abondante, incluait, entre autres, les Variations Goldberg (Virgin Classics), et plusieurs enregistrements de Brahms, dont les deux concertos.
Nicholas Angelich était le soliste en résidence de la saison 2021-2022 de l’Orchestre Métropolitain.
Victoire du soliste instrumental de l’année en 2019
Angelich était un grand interprète des œuvres pour piano de Beethoven, Brahms et Liszt, mais aussi des compositeurs du XXe siècle, parmi lesquels Messiaen, Stockhausen, Boulez ou Bruno Mantovani. Il s’était produit avec de nombreux orchestres internationaux prestigieux, sous la direction de grands chefs, comme Charles Dutoit, sir Colin Davis, Kurt Masur ou Myung-whun Chung.
Sur disque, il avait notamment enregistré l’intégrale des Années de pèlerinage, de Liszt. Sa dernière parution date de septembre 2018, un enregistrement des concertos 4 & 5 de Beethoven avec l’Insula Orchestra et la cheffe d’orchestre Laurence Equilbey.
Aux Victoires de la musique classique, Nicholas Angelich avait reçu la Victoire du soliste instrumental de l’année en 2013 et en 2019. Né aux Etats-Unis en 1970, il avait donné son premier concert à 7 ans et était entré à 13 ans au Conservatoire national supérieur de Paris.
Une disparition qui faisait suite aux décès du grand pianiste roumain Radu Lupu dimanche dernier et celui du compositeur britannique de musique contemporaine Harrison Birtwistle le lendemain… Une période sombre pour le monde de la musique classique.
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C’est une bien triste nouvelle dont Laurence Ferrari a fait part… Mardi 19 avril 2022, la journaliste qui officie sur CNEWS a annoncé qu’elle était en deuil via un message posté sur Twitter. En effet, la femme de 55 ans pleure la mort d’un ami cher, le pianiste américain Nicolas Angelich.
Un mois seulement après le décès de son confrère Jean-Pierre Pernaut, Laurence Ferrari fait face à un nouveau drame. Lundi 18 avril, son ami Nicholas Angelich est décédé à 51 ans des suites d’une maladie respiratoire.
« Immense tristesse après cette disparition car Nicholas Angelich était un seigneur du piano. Souverain dans Brahms, frôlant le sublime dans tout ce qu’il faisait. Nous perdons un ami cher et un musicien extraordinaire », a écrit l’ex-femme de Thomas Hugues sur son compte Twitter.
Quatuor Ébène, Renaud Capuçon, Nicholas Angelich – Chausson: Violin, Piano & String Quartet Concerto
https://www.youtube.com/watch?v=lKDiuTKBIOY&t=7s
"Entretien Nicholas Angelich" par Frédéric Gaussin
https://www.jejouedupiano.com/le-mag-du-piano/interview-de-Nicholas-Angelich.html
Nicholas Angelich - Victoires de la Musique Classique 2019 - Beethoven Piano Concerto 5
https://www.youtube.com/watch?v=x9cqtGLoUVo
Nicholas Angelich et l'Orchestre de Paris
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"L'éternelle adolescente du cinéma italien", Catherine Spaak est décédée. RIP
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