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Renault: le gouvernement durcit le ton, le prêt n'est "pas encore sign - Page 2

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Dubaisan Dubaisan
29/05/2020 12:10:47
1

Ca n'attendra pas Octobre.

  
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Luncyan Luncyan
29/05/2020 12:04:42
0

Le pire sera octobre le summum de tout ça je pense avec les publications

  
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Dubaisan Dubaisan
29/05/2020 12:03:40
1

Voila,

On arrive au bout d'un cycle ou l'on (tout le monde : politiques/ dirigeants/ syndicats/ salaries/ consommateurs....) a refuse de voir les realites en face, recule devant les echeances, refuse de prendre a chaque difficulte les vraies mesures qui s'imposaient a chaque fois

Renault c'est la 1ere entreprise a afficher sa realite... Les autres vont suivre et rapidement.

Avec les syndicats que l'on a, les greves qui ne vont pas tarder, les japonais qui vont vite aller regarder ailleurs, c'est la mort assuree du groupe.

Juin va etre une hecatombe.


  
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gars d'ain gars d'ain
29/05/2020 11:37:46
0

On appréciera à sa juste mesure "Quoi qu'il en coute" du castor junior du bricolage sanitaire qui jette les masques, n'en recommande pas, ferme les lits d'hôpitaux et vient expliquer qu'en gros c'est pas de leur faute...

  
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Yellowsubmarine Yellowsubmarine
29/05/2020 10:48:34
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Cette situation n'est pas simplement inaudible mais cacophonique. Un jour on apprend les conditions de l'Etat, l'autre les 15 000 personnes qui devraient quitter RNO à l'échelle mondiale, dont prés de 5000 en France. Ensuite on a bien l'impression que les deux protagonistes ferraillent et maintenant ce serait le jour où toutes les conditions sont renouvelées et alourdies, alors-qu'hier il y avait adoucissement des positions de chaque bord...ça devient incompréhensible. Il ne manque que de savoir à combien on évalue le chiffre d'affaire divisé par le nombre d'ouvriers (d'ouvriers seulement, pas d'agent de maistrance ni de personnels de services, ni de cadres)

puisque c'est la nouvelle unité de compte des syndicats, et sans doute aussi de certains partis.


  
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gars d'ain gars d'ain
29/05/2020 09:56:53
1

A force de vouloir vouloir dicter ce que Renault devrait produire pour le marché et qui ne correspond pas à la demande,

A force de vouloir gouverner à la place du PDG,

A force de ne pas avoir soutenu l'ancienne direction à laquelle il a planté des couté dans le dos,`

A force de vouloir l'irréalisable en terme d'orientation de la production,

A force de vouloir du tout électrique alors que c'est plus cher, que produire de l'électricité avec du carburant abaisse le rendement,

A force de vouloir tout et son contraire,

A force d'entre incapable de comprendre comment fonctionne le monde de l'automobile,

A force de ne pas comprendre qu'un voiture produite, c'est un mois de travail à temps complet pour un salarié,


On vient de perdre le numéro un automobile mondial, et pour l'instant, vu le nombre de couteau qu'il a dans le dos, il va falloir le mettre sous assistance respiratoire, un comble pour une entreprise qui détenait 130 euros d'actifs nets par action...


Encore un très bon exemple de la pitoyable gestion de l'Etat et gouvernement.

Il y a pas si longtemps, on nous ventait les mérites des opérations en actions d'un certain Emmanuel Macron pour le compte de l'ETAT.

Vous vouliez bien maintenant estimer combien on vient de perdre et combien on va perdre en emplois, en bassin d'emploi, en activité des sous-traitant...


Comme je l'ai écrit, et je ne retranche rien : Chaque jour, le Etat et le Gouvernement font mieux dans l'excellence du pire...

  
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Bill17 Bill17
29/05/2020 08:40:26
1

ZB le 29/05/2020 à 08:11 RENAULT : envisage la suppression de 4 600 postes en France

Le Groupe Renault a présenté son projet de plan de transformation dont l'objectif est de réaliser une économie de plus de 2 milliards d'euros sur 3 ans et de constituer les bases d'une nouvelle compétitivité. En France, ce plan s'organiserait autour de pôles d'activités stratégiques d'avenir : les véhicules électriques, les véhicules utilitaires, l'économie circulaire et l'innovation à forte valeur ajoutée. A Flins et Guyancourt, le Groupe réorganiserait ses activités.

Si le Groupe Renault envisage de procéder aux ajustements d'effectifs nécessaires pour permettre un retour à une croissance rentable et durable, il s'engage à ce qu'ils soient réalisés à travers un dialogue exemplaire avec les partenaires sociaux et les collectivités locales.

Ce projet d'ajustement des effectifs s'appuierait sur des mesures de reconversion, de mobilité interne et des départs volontaires. Il s'étalerait sur 3 ans et concernerait en France près de 4 600 postes auxquels s'ajouterait la réduction de plus de 10 000 autres postes dans le reste du monde.

  
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roulenmo roulenmo
27/05/2020 16:44:46
2

Le gouvernement durcit le ton,oui mais il est incompétent.Ce n'est pas Lemaire en menaçant les constructeurs,si vous donnez des dividendes vous n'aurez pas l'aide de l'état qui va arranger l'affaire.Les investisseurs sont la pièce majeur des entreprises,pas d'argent,pas de travail.On voit beaucoup de grand patrons avec des retraites chapeau,des primes aux salariés en plus de leur salaire et rien pour les investisseurs qui risquent leur capital.C'est une grosse erreur,qui va encore investir dans une boite qui leur a fait perdre 50% de leur capital et qui en plus les trahit en supprimant sans prévenir leur dividende à la dernière minute alors qu'en 2019 ,ils ont amassé plusieurs milliards de bénéfice.

  
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roulenmo roulenmo
26/05/2020 15:47:29
1

Ce n'est pas le rôle de l'état de conserver Renault .Déjà qu'il l'on acquis en accusant louis Renault de collaboration et le laisser mourir en prison,lui qui avait sauvé la France en 1917 en produisant plus de 300 chars,les premiers au monde avec une tourelle mobile,et maintenant restant 15% d'actions,l'état voudrait encore contrôler et ne pas distribuer d'actions,qu'il s'occupe déjà de rembourser les 2300 milliards d'incompétence politicienne.

  
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jamariuscky jamariuscky
22/05/2020 17:37:50
1

Faut quand m^me pas exagérer. Je ne suis pas fan de Renault, en particulier a cause de la fiabilité, mais de là à déclarer que Renault fabrique des cercueils sur roue!!! C'est vrai pour toutes les marques...

  
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glanglois glanglois
22/05/2020 16:10:02
0

Le gros problème de Renault sa gamme qui ne correspond à rien , des voitures si peux fiables , des moteurs poussifs et un réseau qui ressemble à une organisation mafieuse ... Pour beaucoup c'est sauf qui peu ...en gros Renault fabrique des cercueils sur roues .....

  
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Yellowsubmarine Yellowsubmarine
22/05/2020 14:31:30
0

Ce qui me retient d'investir dans RNO et dans son Alliance c'est que Nissan raconte n'importe-quoi, ses CR sont insincères, les agissements de son précédent DG puis Président Japonais (le successeur de CG) ont été franchement délictueux et là il a seulement été poussé à la retraite. Il semble n'y avoir aucune action en justice pour récupérer les sommes détournées pour son usage personnel.Qu'un grand actionnaire,l'Etat, soit si tolérant que cette histoire n'a pas avancé depuis bientôt un an, est inadmissible.

  
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zamzamprod zamzamprod
22/05/2020 14:29:52
0

pourquoi ce serait la France qui devrait soutenir une entreprise mondiale ?

  
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millo millo
22/05/2020 13:57:25
1

Belle démonstration d'un état qui se dit libéral et qui refuse a l'une des plus grosses entreprises françaises dont il est actionnaire, de fermer un site qui perd de l'argent!
Un peu comme si le gouvernement établissait la politique du pays au quai max gallo...
Une entreprise en D.C.P.devrait attendre un peu mieux de son actionnaire de réfèrence!
Mais bien sur,la france n'est pas un pays libéral marxiste léniniste dans son mode d'ingérence.

  
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millo millo
22/05/2020 13:57:25
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Une chaîne d'assemblage de l'usine Renault à Flins, le 6 mai 2020 (AFP/Archives/Martin BUREAU)

Une aide de l'Etat à Renault sous conditions ? Le gouvernement a durci le ton face au constructeur automobile en détresse, réclamant des garanties sur le maintien de son activité en France et rappelant qu'il n'avait pas encore donné son feu vert à un prêt de 5 milliards d'euros crucial pour sa survie.

Les informations du Canard Enchaîné, selon lesquelles le constructeur envisagerait de fermer quatre sites en France - dont l'emblématique usine de Flins - dans le cadre d'un vaste plan d'économies, ont suscité une levée de boucliers jusqu'au sein du gouvernement.

"Flins ne doit pas fermer", a martelé vendredi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur Europe 1. "Nous attendons maintenant les propositions globales du président Jean-Dominique Senard sur son plan pour l'alliance (Renault-Nissan) et son plan pour Renault".

Mercredi, devant le Sénat, le Premier ministre Edouard Philippe avait déjà insisté: "Nous serons extrêmement attachés, voire intransigeants, à la préservation des sites en France". Et d'observer: si Renault "est une entreprise mondiale", "sa marque française est évidente".

Renault, avec ses alliés nippons Nissan et Mitsubishi, doit annoncer le 27 mai un plan stratégique pour l'alliance franco-japonaise, et le groupe français doit ensuite dévoiler le 29 mai les contours d'un plan d'économies de 2 milliards d'euros, annoncé en février.


Usines Renault en France (AFP/Vincent LEFAI)

Le groupe au losange traverse une mauvaise passe: après avoir enregistré en 2019 sa première perte nette en dix ans, Renault s'est vu encore fragilisé par la crise du coronavirus qui a paralysé ses usines et son réseau. Ses livraisons européennes ont chuté de 79% en avril.

- "Stratégie de long terme" -

Certes, l'État français, premier actionnaire de Renault avec 15% du capital, a volé à son secours en garantissant un prêt bancaire d'environ 5 milliards d'euros, approuvé par l'Union européenne. Mais il faut encore qu'il soit validé par Bruno Le Maire et un décret publié au Journal Officiel.


Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, le 19 mai 2020 à Paris (AFP/Archives/BERTRAND GUAY)

"Ce prêt, je ne l'ai pas encore signé", a insisté M. Le Maire dans un entretien au Figaro publié jeudi soir, avertissant que "Renault joue sa survie".

La directrice générale par intérim de Renault Clotilde Delbos avait indiqué fin avril que ce prêt ne remettait pas en cause le plan d'économies de Renault, ni d'éventuelles suppressions d'emplois, la seule condition fixée par le gouvernement étant le renoncement aux dividendes versés aux actionnaires cette année.

Le constructeur n'a pas commenté les informations du Canard Enchaîné. Selon une source proche du dossier, il ne s'agirait toutefois pas à Flins d'une fermeture mais de l'arrêt de la production automobile pour consacrer le site à une autre activité.

L'usine de Flins dans les Yvelines emploie 2.600 salariés et assemble les citadines Zoé (électrique) et la Micra de Nissan. Trois autres sites plus petits seraient également menacés selon l'hebdomadaire (Choisy-le-Roi, Dieppe et la fonderie de Bretagne à Caudan).

"Ce qui nous paraît important, c'est de savoir quelle est la stratégie de long terme de Renault. (...) Comment est-ce qu'ils nous garantissent que demain, les véhicules électriques seront localisés en France?", s'est interrogé Bruno Le Maire sur Europe 1.

- Technologies en France -

Dans le même temps, son partenaire Nissan prévoit de supprimer plusieurs milliers de suppressions d'emplois supplémentaires dans le monde, a affirmé vendredi l'agence de presse japonaise Kyodo News.

Après avoir déjà annoncé l'été dernier son intention de supprimer 12.500 emplois d'ici mars 2023, un nouveau plan de redressement porterait ces coupes à 20.000 emplois, soit 15% des effectifs mondiaux.


L'entrée de l'usine Renault de Flins en février 2017 (AFP/Archives/ERIC PIERMONT)

Alors que la déflagration de la pandémie menace l'industrie automobile mondiale, Paris planche sur un plan de soutien spécifique au secteur: ce plan, attendu par la filière entière, sera annoncé la semaine prochaine par le président Emmanuel Macron.

Mais des contreparties sont attendues, a prévenu M. Le Maire dans le Figaro: "nous demandons aux constructeurs de prendre des engagements dans trois directions: le véhicule électrique, le respect de leurs sous-traitants et la localisation en France de leurs activités technologiquement les plus avancées".

"Toutes les aides que nous apportons aux entreprises doivent être orientées dans ces deux directions: la décarbonation de l'économie française et l'amélioration de sa compétitivité", a-t-il ajouté.

Selon le quotidien Les Echos, le gouvernement devrait arbitrer "ce weekend" sur d'éventuelles aides en faveur de véhicules thermiques en plus du soutien affiché aux voitures électriques et hybrides.

© 2020 AFP

  
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