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MARCHÉS - Page 4



Ribo Ribo
02/02/2022 06:24:20
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ASIE

Les marchés se présentent bien pour les bourses ouvertes !

  
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Ribo Ribo
02/02/2022 03:06:10
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USA

(Re ute rs) - 01/02/2022 | 23:25 ►Wall Street en hausse à l'issue d'une séance en dents de scie

par David F r e n c h et Bansari M a y u r K a m d a r

La Bourse de New York a fini en hausse mardi, l'indice de l'énergie s'établissant à un pic de plusieurs années, à l'issue d'une séance en dents de scie qui a illustré les incertitudes des investisseurs sur la position à adopter face au marché, en amont des hausses des taux d'intérêt que devrait opérer la Fed.

L'indice Dow Jones a gagné 0,78%, ou 273,38 points, à 35.405,24 points.
Le S&P-500, plus large, a pris 30,99 points, soit 0,69%, à 4.546,54 points.
Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 106,12 points (0,75%) à 14.346,00 points.

La perspective du relèvement des taux d'intérêt par la Réserve fédérale américaine, attendu en mars, de même que la fin des achats d'obligations de la banque centrale, a rendu le marché volatile.

Les investisseurs tentent de se positionner de manière adéquate, une démarche compliquée par l'impact économique persistant de la pandémie de coronavirus et par les tensions géopolitiques à propos de l'Ukraine.

Dans la foulée de la publication de données montrant une décélération de la croissance de l'activité manufacturière en janvier aux États-Unis, les principaux indices de Wall Street ont passé l'essentiel de la matinée dans le rouge, avant de rebondir au fil de la séance pour terminer dans le vert, comme la veille.

"Nous commençons à constater qu'il y a beaucoup d'investisseurs préoccupés par les valorisations, mais d'autres sont préoccupés par la croissance, donc il semble que le mur des préoccupations continue de croître alors que l'économie se remet de cette pandémie", a commenté Ed Moya, analyste chez OANDA.

Le président de la Réserve fédérale de Philadelphie, Patrick Harker, a déclaré dans la journée qu'il pourrait être approprié pour la Fed de relever les taux d'intérêt à quatre reprises cette année, tandis que son homologue d'Atlanta, Raphael Bostic, a souligné que la banque centrale devait agir "bientôt" pour contrôler l'inflation.

Secteur du S&P-500 le plus performant depuis le début de l'année, l'énergie a progressé de 3,5% et bouclé la séance à un record depuis plusieurs années, alors que le prix du brut américain avoisine un plus haut de près de sept ans.

Les prix de l'énergie ont contribué aux excellents résultats d'Exxon Mobil, qui a fait état mardi d'un bénéfice trimestriel record en sept ans et vu son titre grimper de 6,4% à Wall Street pour dépasser pour la première fois depuis avril 2019 le seuil des 80 dollars par action.

Alphabet publiait après la clôture ses résultats trimestriels. Ceux des autres géants technologiques, Amazon et Meta Platforms, sont aussi attendus cette semaine.

AT&T a reculé de 4,2% après avoir annoncé qu'il allait scinder sa filiale WarnerMedia pour 43 milliards de dollars et réduire son dividende de près de moitié.

  
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Ribo Ribo
01/02/2022 13:47:05
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MI SÉANCE


(MT N e ws wires) -01/02/2022 | 12:39

Les bourses européennes sont en solide hausse à la mi-journée ; les émissions bancaires progressent

Les bourses européennes ont progressé mardi à la mi-journée dans le cadre d'un vaste rallye mené par les valeurs bancaires, après que la banque suisse UBS (UBS) a publié un rapport sur ses résultats et un plan de rachat. Les valeurs de consommation ont également progressé.

Les acteurs du marché ont également tenu compte d'un marché à terme de Wall Bourse terne avant la cloche, mais des clôtures plus élevées pendant la nuit dans les échanges asiatiques, marqués par les vacances.

L'indice des directeurs d'achat (PMI) de l'industrie manufacturière de la zone euro a atteint un niveau final de 58,7 en janvier, contre 58,0 en décembre, et bien au-dessus du seuil de 50 qui sépare la croissance de la contraction, selon IHS Markit.

L'indice pan-continental Stoxx Europe 600 a progressé de 1,1 % à la mi-session.
L'indice Stoxx Europe 600 Technology a progressé de 1,3 % et l'indice Stoxx 600 Banks de 1,6 %.
L'indice Stoxx Europe Oil and Gas a augmenté de 0,3 % et l'indice Stoxx Europe Food and Beverage de 1,5 %.
L'indice REITE, un indice REIT européen, a augmenté de 0,6 %, tandis que l'indice Stoxx Europe 600 Insurance a augmenté de 0,5 %.

En ce qui concerne les indices des marchés nationaux, le DAX allemand a progressé de 1,1 %, l'indice FTSE 100 à Londres de 1,0 % et le CAC 40 à Paris de 1,1 %. L'IBEX 35 espagnol a également progressé de 1,1 %.

Les rendements des obligations allemandes de référence à 10 ans sont restés pratiquement inchangés.

Les contrats à terme sur le pétrole brut Brent à un mois étaient légèrement inférieurs à 89,22 dollars le baril.

L'indice de volatilité Euro Stoxx 50 a baissé de 10 % à 24,31, mais indique toujours une volatilité supérieure à la moyenne pour les marchés boursiers européens dans les 30 prochains jours, ce qui constitue un signal négatif. Une lecture supérieure à 20 indique des marchés plus agités, tandis qu'une lecture inférieure à 20 suggère des attentes de marchés plus calmes.

  
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Ribo Ribo
01/02/2022 12:22:08
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1956 - La France, premier pays bénéficiaire des financements de la BEI en 2021
01/02/2022 | 12:02 Copier lien

Paris, le 31 janvier 2022

N°1956

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

La France, premier pays bénéficiaire des financements de la BEI en 2021

Bruno Le Maire, ministre de l'Economie, des Finances et de la Relance, se félicite des résultats annuels du Groupe BEI en 2021, qui s'élèvent au total à 95 milliards d'euros de financements.

Ces chiffres, en augmentation de 23 % par rapport à 2020 (77 milliards d'euros de financements), illustrent la réactivité exemplaire dont a fait preuve le Groupe BEI en réponse à la pandémie afin de préserver les capacités d'investissement des entreprises, et consolider ainsi la reprise économique au sortir de la crise. Ils montrent également l'engagement du Groupe BEI en faveur d'une croissance inclusive et durable, fondée sur l'innovation et le soutien aux petites et moyennes entreprises, qui constituent le cœur du tissu productif à l'échelle européenne. Le Groupe BEI a ainsi consacré 43 % de ses financements en faveur de l'action pour le climat et la durabilité environnementale, en cohérence avec son engagement de porter cette part à plus de 50 % d'ici 2025.

Bruno Le Maire salue tout particulièrement les résultats du Groupe BEI en France, qui est le premier pays bénéficiaire en 2021 des financements du Groupe, avec 13,9 milliards d'euros de financements. Parmi les 9,2 milliards d'euros issus de la Banque européenne d'investissement, plus des deux tiers sont venus en appui à des actions de lutte contre le réchauffement climatique ou d'atténuation de ses effets et un tiers en soutien à l'innovation.

Ces financements ont notamment permis d'accompagner la politique de recherche et de développement d'entreprises dans les secteurs de la santé (Ose Immunotherapeutics, Théa), des transports (Valeo, Safran) et de l'agroalimentaire (Euralis) mais également le déploiement de nombreux projets de rénovation énergétique de logements sociaux et d'investissements portés par les collectivités territoriales, ainsi que des projets industriels européens tel que le programme de lanceurs Ariane 6.

Bruno Le Maire déclare : « Le Groupe BEI s'est pleinement mobilisé pour répondre à l'urgence de la crise et soutenir l'économie. Il est maintenant engagé dans la relance et la transformation de l'économie européenne, en investissant massivement dans la transition écologique et numérique dans nos territoires. Ces excellents résultats nous montrent que l'Europe sort de cette crise plus forte. Nous bâtissons un nouveau modèle de croissance, plus durable, juste et innovant ».

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Contexte:

Le Groupe BEI est composé de la Banque européenne d'investissement et de sa filiale, le Fonds européen d'investissement (FEI), dédié au soutien des PME et des ETI. En 2021, le Groupe a mis en œuvre le Fonds paneuropéen de garantie, un dispositif temporaire visant à soutenir la liquidité des entreprises de l'Union européenne touchées par la crise, et doté de 24,4 milliards d'euros.

En tant que banque de l'Union européenne, la Banque européenne d'investissement met en œuvre sa transformation en banque européenne du climat depuis la fin d'année 2019 avec comme objectif de consacrer plus de 50 % de ses financements annuels à des actions en faveur du climat et de la durabilité environnementale d'ici 2025. La BEI vise également, dans le cadre du Pacte vert pour l'Europe, un objectif de 1 000 milliards d'euros de financements mobilisés en faveur du climat sur la décennie 2021-2030.

En 2021, la Banque européenne d'investissement a financé 9,2 milliards d'euros de projets en France et le Fonds européen d'investissement a apporté 4,7 milliards d'euros de financements.

Contact presse:

Cabinet de Bruno Le Maire 01 53 18 41 13 presse.mineco@cabinets.finances.gouv.fr

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Attachments (DOC en PDF) : https://docs.publicnow.com/4B008753B44ED631B4CC6E71D704613CDBAE2EFE

Disclaimer

Ministry of Economy, Finance and Recovery of the French Republic published this content on 31 January 2022 and is solely responsible for the information contained therein. Distributed by Public, unedited and unaltered, on 01 February 2022 11:01:02 UTC.

  
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Ribo Ribo
01/02/2022 03:28:33
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PETROLE


New York, (a w p/a f p) - 31/01/2022 | 23:38 ►Le pétrole profite de facteurs techniques pour continuer à grimper

Les cours du pétrole se sont offert une nouvelle hausse lundi, grâce à des facteurs techniques liés à l'expiration de contrats à terme, à quelques heures d'une réunion de l'Opep dont le marché attend peu.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, dont c'était le dernier jour de cotation, a gagné 1,31%, pour finir à 91,21 dollars.
A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI), également avec échéance en mars, a lui pris 1,53%, pour clôturer à 88,15 dollars.

L'échéance sur le contrat de mars du Brent, ainsi que ceux de février pour le diesel et l'essence ont provoqué des mouvements sur le marché, a expliqué Stephen Schork, analyste et auteur du Schork Report.

Des opérateurs qui avaient parié à la baisse sur le pétrole, en promettant de vendre des quantités à un prix donné, ont dû racheter en hâte des contrats pour pouvoir annuler leurs positions, ce qui a fait monter les cours.

"Les gens ont peur de se retrouver vendeurs à découvert sur ce marché", a commenté Stephen Schork.

Produit dopant de l'envolée des cours ces dernières semaines, la crise ukrainienne n'a connu aucune avancée notable lundi, le Conseil de sécurité étant le théâtre d'un échange vif entre ambassadeurs américain et russe sur le dossier.

Les opérateurs pensaient davantage à la réunion, mercredi, des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de leurs alliés de l'accord Opep+, dont la Russie.

Beaucoup d'analystes s'attendent à ce que le groupe s'en tienne au calendrier établi en juillet dernier et qui prévoit une série de hausses mensuelles de la production de 400.000 barils par jour.

La portée de la réunion de mercredi est déjà relativisée par le fait que les objectifs chiffrés annoncés lors des précédents rassemblements n'ont pas été tenus, loin s'en faut, plusieurs pays membres ne parvenant pas à assurer leur quota.

Pour Louise Dickson, analyste du cabinet Rystad Energy, l'Arabie saoudite pourrait décider d'ajouter des barils en plus de son quota, le royaume étant l'un des seuls membres à pouvoir accélérer sa production si nécessaire.

"Je ne vois pas autre chose qu'un maintien du statu quo et un respect du calendrier" pré-établi, a tempéré Stephen Schork.

En pareil cas, l'offre devrait demeurer, à court terme, inférieure à la demande.

Aux États-Unis, le nombre de puits de pétrole en activité a augmenté de 4 unités durant la semaine achevée le 28 janvier, mais demeure inférieur de plus de 27% à son niveau de début mars 2020, aux premiers jours de la pandémie de coronavirus, selon les données du cabinet Baker Hughes.

  
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Ribo Ribo
01/02/2022 03:20:34
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MARCHES fin de journée, fin de mois


New York, (a wp/a f p) - 31/01/2022 | 22:55 ►Les Bourses mondiales rebondissent pour finir un mois de janvier turbulent

Les marchés boursiers ont sauvé la mise pour la dernière séance de janvier, un mois qui aura été morose et turbulent, avant une semaine chargée en résultats d'entreprises et en décisions monétaires.

Les Bourses européennes ont connu un petit rebond pour clôturer le mois : Francfort a pris 0,99%, Milan 0,94%, Paris 0,48% et Londres a fini à l'équilibre (-0,02%). A Zurich, le SMI a gagné 1,01%.

A la Bourse de New York, le Dow Jones a gagné 1,17%. Le Nasdaq, à dominante technologique, a bondi de 3,41% et le S&P 500 a avancé de 1,89%.

Mais sur l'ensemble du mois de janvier, seuls les indices de Londres et Hong Kong affichent des gains.

L'indice Eurostoxx 50 a reculé de 2,88% et les pertes du Nasdaq approchent les 10%.

Les marchés ont été secoués par les différents signaux émis par la Réserve fédérale américaine (Fed), qui envisage de durcir sérieusement sa politique monétaire pour endiguer la hausse des prix. Les chiffres de l'inflation et la remontée des taux d'intérêt sur le marché obligataire ont aussi contribué à la nervosité des investisseurs.

Sur le marché obligataire, les taux européens se sont nettement tendus, de 5 à 6 points de base en moyenne. Le Bund allemand à 10 ans, qui fait référence, est repassé en positif à 0,01%, deux semaines après sa première incursion au-dessus de zéro depuis mai 2019. Le taux français à même échéance est monté à 0,42%, contre 0,37% à la clôture de vendredi.

L'inflation en Allemagne a ralenti en janvier (4,9% sur un an), après son pic de décembre, mais est ressortie supérieure aux prévisions des analystes (4,6%).

Un chiffre qui rend les investisseurs nerveux à l'approche de la réunion de la Banque centrale européenne (BCE) jeudi.

"Alors que la BCE pourrait commencer à hausser le ton quant au futur resserrement monétaire, sans toutefois modifier à court terme sa politique, la BoE (Banque d'Angleterre) devrait, elle, augmenter à nouveau son taux directeur", prévoit Vincent Boy, analyste marchés chez IG France.

►Le pétrole toujours sous tension ◄

Les prix du pétrole ont terminé en hausse, profitant de crises géopolitiques et d'une offre limitée, avant la réunion mercredi de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses partenaires (Opep+).

Le prix du baril de Brent de mer du Nord pour livraison en mars a gagné 1,31% à 91,26 dollars, se rapprochant de son pic de la semaine passée (91,70 dollars), un plus haut depuis 2014.

Celui du WTI à même échéance a avancé de 1,53% à 88,15 dollars.

►La grande distribution souffre ◄

A Paris, l'action du groupe de distribution Casino a plongé de 13,81% à 19,59 euros à la suite d'un avertissement sur ses prochains résultats, selon lequel les enseignes du groupe en France ne verront pas leur excédent brut d'exploitation (Ebitda) croître en 2021. Carrefour a suivi, chutant de 5,32% à 16,92 euros.

A Londres, les chaînes Sainsbury's (-2,81% à 290,70 pence) et Tesco (-2,11% à 297 pence) ont également reculé.

►Boeing s'envole ◄

Boeing a été recherché (+5,07% à 200,24 dollars) après l'annonce que l'avionneur américain a reçu une méga-commande de la part de Qatar Airways pour des versions cargo de son nouveau gros-porteur 777x.

La compagnie s'est engagée à acheter 34 777-8 Freighter et a posé une option sur 16 appareils supplémentaires. Le contrat vaut plus de 20 milliards de dollars au prix catalogue.

►La tech se reprend ◄

"Après un mauvais début d'année, les valeurs technologiques parviennent enfin à se redresser un peu, soutenues notamment par les impressionnants résultats trimestriels des poids lourds, comme Microsoft et Apple", constate Konstantin Oldenburger, de CMC Market.

A New York, Amazon a bondi de 3,89%, Meta Platforms (maison-mère de Facebook) de 3,83%, Apple de 2,61%.

L'action Spotify a pris 13,46%. Accusé de laisser le champ libre à la désinformation sur le Covid-19 dans ses podcasts, le géant du streaming audio a annoncé des mesures dimanche, dont l'introduction de liens vers des informations factuelles et scientifiquement sourcées.

A Paris, Dassault Systèmes a pris 3,28%, STMicroelectronics 3,02%, et à Francfort Delivery Hero a gagné 7,65%.

►Du côté de l'euro et du bitcoin ◄

Vers 19H30 GMT, l'euro s'échangeait à 1,1236 dollar (+0,76%).

La livre britannique montait face au dollar (+0,38% à 1,3452 dollar) et à l'euro (+0,36% à 83,53 pence), atteignant un plus haut face à la devise européenne depuis février 2020, galvanisée par la perspective d'une nouvelle hausse des taux de la Banque d'Angleterre jeudi.

Le bitcoin a pris 2,40% à 38.661 dollars.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 14:06:53
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MARCHES - Point mi-journée

Paris, (a w p/a fp) - 31/01/2022 | 13:59 ►Marchés : le rebond européen s'essouffle, Wall Street est mal orientée

Les marchés européens perdaient en milieu de séance une partie de leurs gains de l'ouverture lundi, la prudence prenant le pas à l'aune d'une semaine chargée en résultats d'entreprises et en décisions monétaires.

Les Bourses européennes évoluaient en ordre dispersé après leurs nets gains à l'ouverture : Francfort (+0,28%) et Milan (+0,53%) continuaient de progresser mais Londres était à l'équilibre et Paris cédait 0,19% vers 12H35 GMT. A Zurich, le SMI gagnait 0,81%.

Dans le même temps, les indices américains se préparaient à une ouverture dans le rouge, de -0,10% sur le Nasdaq à -0,75 pour le Dow Jones, selon les contrats à terme.

En Asie, Tokyo et Hong Kong ont gagné chacun 1,07%. L'indice chinois sera fermé pour les trois prochains jours, en raison du Nouvel an lunaire, comme les autres places de Chine continentale.

Un agenda encore chargé attend les investisseurs cette semaine, entre les nombreux résultats d'entreprises, la réunion de la Banque centrale européenne et de la Banque d'Angleterre jeudi, ou encore le rapport mensuel sur l'emploi aux États-Unis vendredi.

La volatilité est toujours nourrie par les ajustements des investisseurs quant à la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, dont la réunion la semaine dernière a laissé la porte ouverte à des mesures strictes pour endiguer l'inflation.

Un responsable de l'institution Raphael Bostic, a indiqué qu'une hausse des taux directeurs d'un demi-point de pourcentage n'était pas écartée, dans une interview au Financial Times samedi. Les investisseurs prévoyaient jusque-là une hausse moitié moindre.

"Le marché n'a pas encore évalué si la Fed augmentera son taux d'intérêt trois ou huit fois cette année", illustre Neil Wilson, analyste de Markets.com. "Tout est possible à chaque réunion", souligne-t-il, en rappelant que sur les marchés, les tensions sont plus vives au moment des "menaces, et non pour la mise en œuvre des actions".

Sur le marché obligataire, le Bund allemand à 10 ans, qui fait référence, repassait légèrement en positif, avec un pic à +0,0063%, deux semaines après sa première incursion depuis mai 2019. Le taux français à même échéance montait vers 0,41%, celui américain restait stable autour de 1,79%.

►Le pétrole toujours sous tension◄

Les prix du pétrole étaient en hausse lundi, profitant de crises géopolitiques et d'une offre limitée, avant la réunion mercredi de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses partenaires (Opep+).

Le prix du baril de Brent de mer du Nord pour livraison mars gagnait 0,97% à 90,90 dollars vers 12H30 GMT, se rapprochant de son pic de la semaine passée (91,70 dollars), un plus haut depuis 2014.

Celui du WTI à même échéance avançait de 0,56% à 87,31 dollars.

Le marché se focalise désormais sur les fortes tensions géopolitiques qui impliquent des mastodontes de la production et de l'exportation d'or noir - la Russie, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit lundi sur la situation en Ukraine.

►La grande distribution souffre◄

A Paris, l'action du groupe de distribution Casino plongeait de 14,80% à 19,37 euros lundi matin à la suite d'un avertissement sur ses prochains résultats, selon lequel les enseignes du groupe en France ne verront pas leur excédent brut d'exploitation (Ebitda) croître sur l'année 2021. Carrefour suivait, chutant de 5,04% à 16,97 euros.

A Londres, les chaînes Sainsbury's (-3,61% à 288,30 pence) et Tesco (-2,08% à 297,10 pence) étaient aussi en queue de peloton.

Aux États-Unis, l'action Walmart perdait un peu moins de 1% dans les échanges d'avant-séance.

►Du côté de l'euro et du bitcoin◄

L'euro s'échangeait à 1,1154 dollars (+0,03%) après avoir connu sa pire semaine depuis juin 2021 (-1,70%) avec le resserrement monétaire en vue aux Etats-Unis.

Le bitcoin se repliait de 1,88% à 37.050 dollars.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 07:24:40
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ECO EU


Francfort, (a wp/a fp) - 31/01/2022 | 07:18 ►La crise ukrainienne, nouveau risque d'inflation pour la BCE

La Banque centrale européenne (BCE) se réunit jeudi sous pression d'une inflation toujours très élevée et qui risque de s'envoler encore plus si le conflit russo-ukrainien devait déboucher sur une guerre dans les jours ou semaines à venir.

Sa principale mission consiste à limiter la hausse des prix en zone euro, qui a bondi à 5% l'an dernier, tirée par les prix d'énergie et l'impact des pénuries de produits et matières premières.
C'est plus de deux fois l'objectif d'inflation qu'elle s'est elle-même fixé de 2% maximum à moyen terme.


En outre, les dirigeants de l'institut monétaire se retrouvent à Francfort alors que La Réserve fédérale américaine (Fed) vient, elle, de franchir le Rubicon en annonçant un prochain relèvement des taux directeurs.

Les chiffres de janvier, attendus mercredi, devraient certes montrer un fléchissement de cette tendance, mais pas autant qu'espéré.

►Pas de hausse◄

Dans l'immédiat, de l'avis de la plupart des experts, les gardiens de l'euro devraient maintenir le statu quo.

Les économistes s'attendent jeudi au maintien des taux à leur plus bas niveau et pensent que les gardiens de l'euro s'abstiendront d'ouvrir la voie d'ores et déjà à un relèvement des taux directeurs, qui, par ricochet, ralentirait l'activité économique et donc le rythme de hausse des prix.

"Le principal défi de la BCE sera au niveau de la communication", en "évitant tout passage apparent de la patience à la panique", juge Carsten Brzeski, économiste de la banque ING.

L'institut devra à la fois "confirmer sa position plus ferme sur l'inflation" tout en tenant "à distance toute spéculation sur des hausses de taux prématurées", argue-t-il.

La BCE ne veut pas refaire l'erreur historique de 2011. Elle avait relevé ses taux face à un rebond des prix de l'énergie, intensifiant ainsi la crise de la dette d’État en zone euro.

"L'inflation dans la zone euro est entraînée dans une large mesure par un manque d'offre et non par une demande excessive ou une économie en surchauffe", explique à l'AFP Elga Bartsch, cheffe économiste à BlackRock.

En d'autres termes, tout resserrement monétaire "ne ferait pas grand-chose pour expédier plus rapidement des conteneurs d'Asie vers l'Europe ou pour réduire les prix de l'énergie", abonde M. Brzeski.

►Nuages◄

Il n'empêche : les risques d'emballement des prix sont réels pour la BCE.

En cas d'invasion de l'Ukraine par les troupes russes, les prix de l'énergie reprendraient leur course folle vers le haut.

La Russie est en effet le principal fournisseur de gaz de l'Union européenne. Il passe pour partie via l'Ukraine et le nouveau gazoduc russo-germanique Nord Stream II pourrait ne jamais être mis en service en cas de conflit armé.

En parallèle, dans tous les pays européens, la grogne des salariés monte face au recul du pouvoir d'achat, un thème parvenu au cœur de la campagne présidentielle française.

De quoi contribuer à l'inflation "si les revendications salariales augmentaient et si l'évolution des salaires redevenait le principal facteur influençant l'inflation", selon Edgar Walk, économiste de Metzler Asset Management.

En Allemagne, certains médias tirent à boulets rouges sur la BCE et sa présidente Christine Lagarde, affublée du sobriquet de "Madame Inflation", qui "appauvrit les épargnants et les retraités".

Les craintes sont différentes en Italie. Le pays redoute lui des "augmentations substantielles de taux avec des répercussions immédiates sur l'écart entre les taux d'emprunts allemands et ceux du trésor italien", ce qui accentuerait la pression sur ce pays très endetté, selon le quotidien italien Il Sole 24 Ore.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 07:19:19
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GAZ


Paris, (a wp/af p) - 31/01/2022 | 07:08 ►Gaz : l'AIE anticipe un recul de la demande en Europe cette année

Après un fort rebond de la demande en gaz en 2021, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) anticipe une croissance plus faible cette année à cause des cours à des niveaux historiquement élevés, et même un recul en Europe.

"La consommation mondiale de gaz naturel a rebondi de 4,6% en 2021, plus du double du déclin constaté en 2020", note l'AIE dans un rapport publié lundi.

Ce fort rebond a été porté par la reprise économique, après une année marquée par des mesures restrictives pour lutter contre la pandémie de Covid-19, ainsi que par la météo, avec le froid hivernal.

L'offre n'avait d'ailleurs pas pu suivre le rythme de la reprise et des difficultés techniques chez certains producteurs ont mené à des tensions sur le marché, où les cours se sont envolés.

Pour l'avenir, "l'évolution de la demande à court terme dépendra de la météo pendant ce qui reste de la saison de chauffage dans l'hémisphère nord", note l'agence basée à Paris.

"En supposant des températures normales, la croissance du marché du gaz naturel devrait être ralentie par les cours plus élevés du gaz et une croissance économique plus faible, tandis que les tensions sur l'offre pourraient diminuer avec le retour graduel de capacités qui étaient à l'arrêt", poursuivent les auteurs.

L'AIE prédit ainsi pour 2022 une demande mondiale de gaz de 4.148 milliards de mètres cubes (mmc), en modeste progression de 0,9% sur 2021. La production mondiale est pour sa part attendue à 4.191 mmc (+1,6%).

Du côté de l'Europe, l'agence attend un déclin marqué de 4% de la demande gazière cette année, du fait d'une plus faible utilisation pour la production d'électricité. Pour cette dernière, les renouvelables progressent en effet fortement, tandis que le charbon - très polluant - est rendu plus compétitif par les prix élevés du gaz.

La demande européenne totale de gaz est ainsi attendue à 527 mmc cette année après 552 mmc en 2021.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 07:10:13
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(R e ute rs) - 31/01/2022 | 07:06 ►Tokyo finit en hausse de 1,07%

La Bourse de Tokyo a fini en hausse lundi, tirée par les bons résultats des poids lourds de la technologie dans le sillage de la clôture positive enregistrée vendredi à Wall Street.

L'indice Nikkei a gagné 1,07% à 27.001,98 points et le Topix, plus large, a pris 1,01% à 1.895,93.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 06:57:36
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JAPON


Tokyo, (a w p/ a fp) - 31/01/2022 | 06:31 ►Japon : la production industrielle a rechuté en décembre

La production industrielle au Japon a rechuté de 1% en décembre sur un mois selon des chiffres officiels publiés lundi, mais cela ne devrait pas peser outre mesure sur la croissance au quatrième trimestre 2021, estiment les analystes.

Les économistes du consensus de l'agence Bloomberg s'attendaient à un repli moins important (-0,6%) après le bond de 7% enregistré en novembre, un record absolu depuis la création de statistiques comparables en 1978.

Les expéditions de biens manufacturés nippons ont stagné (-0,1%) en décembre un mois, tandis que les stocks ont progressé de 0,5%, selon les chiffres préliminaires du ministère de l’Économie, du Commerce et de l'Industrie (Meti).

Les secteurs ayant le plus contribué à la diminution de la production en décembre sont les machines-outils d'usage général et pour les entreprises, les machines industrielles et les équipements dédiés au transport (excluant les véhicules).

Les ventes au détail au Japon, un indicateur clé de la consommation, ont également baissé de 1% en décembre, selon d'autres statistiques publiées lundi par le Meti, signe supplémentaire que "le rebond post-Delta était déjà en train de s'affaiblir avant même que le variant Omicron ne commence à se répandre au Japon", a estimé Tom Learmouth dans une note de Capital Economics.

Si les données de production devraient rester solides sur le dernier trimestre 2021 après les hausses d'octobre et novembre, "nous pensons que l'économie va faire du sur-place" au premier trimestre 2022 à cause des perturbations liées à Omicron, a ajouté M. Learmouth.

Les industriels sondés chaque mois par le Meti s'attendent à un rebond de leur production en janvier (+5,2% sur un mois), suivi d'un ralentissement en février.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 06:54:47
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PETROLE


Londres, (a wp/ af p) - 31/01/2022 | 06:26 ►Pétrole : l'Opep+ face à des prix records, sur fond de crises géopolitiques

Le cartel de l'Opep+ se réunit mercredi pour discuter d'une nouvelle hausse de la production de pétrole, au moment où les prix sont au plus haut en sept ans, dopés par des crises géopolitiques en cascade.

Comme presque chaque début de mois depuis l'éclosion de la pandémie de Covid-19, les treize membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), menés par l'Arabie saoudite, et leurs dix alliés chapeautés par la Russie se retrouvent par visioconférence pour faire d'éventuels ajustements.

De nombreux analystes s'attendent pour le mois de mars à une nouvelle augmentation du volume total de production de 400.000 barils par jour.

Il s'agirait ainsi de la continuité de la stratégie de réouverture prudente des vannes, amorcée en mai 2021 par l'Opep+ dans un contexte de reprise, après des coupes drastiques pour surmonter le choc de la pandémie.

"Cela dit, nous n'excluons pas complètement une hausse plus importante, compte tenu des prix élevés du pétrole et de la récente sous-production de l'Opep+", souligne Capital Economics.

Le cours du baril de Brent de la mer du Nord, le contrat de référence en Europe, a ainsi dépassé la barre symbolique des 90 dollars en janvier, son plus haut depuis octobre 2014. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) a atteint lui aussi des sommets pluriannuels.

Oubliées les craintes suscitées fin 2021 par le variant Omicron, le marché se focalise désormais sur les fortes tensions géopolitiques qui impliquent des mastodontes de la production et de l'exportation d'or noir - la Russie, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis. Et font planer des menaces sur l'approvisionnement.

►De l'Ukraine au Yémen◄

Les tensions sont au plus haut entre Moscou et les Occidentaux au sujet de l'Ukraine, près de laquelle la Russie a massé des dizaines de milliers de soldats et des armements lourds.

"L'invasion russe de l'Ukraine entraînerait des sanctions très dures", ce qui ferait encore grimper les prix, explique à l'AFP Bjarne Schieldrop, analyste chez Seb.

Parmi les mesures envisagées, la réduction des achats de gaz et de pétrole venus de Moscou, qui représentent respectivement 43% et 20% de l'approvisionnement de l'Union européenne.

Au Moyen-Orient, les hostilités régionales liées à la guerre au Yémen ont également franchi un cran.

Les Houthis, des insurgés appuyés par l'Iran, ont mené mi-janvier leur première attaque meurtrière sur le sol émirati et ont tiré des missiles contre l'Arabie saoudite.

L'attaque, condamnée à l'étranger, a été suivie de raids de représailles.

Outre ces éléments géopolitiques, les analystes blâment la lenteur de l'Opep+ à rétablir sa production pré-pandémie du fait de sa stratégie prudente. Mais aussi parce que certains pays producteurs peinent à faire repartir les volumes d'extraction en raison de problèmes d'infrastructures et d'investissements.

"La sous-performance et l'inaction de l'Opep+ ont soutenu la hausse des prix du pétrole, car le groupe n'a pas atteint ses objectifs de production déclarés, soit des centaines de milliers de barils", insiste Louise Dickson, analyste pour Rystad Energy.

Et "les Saoudiens ont clairement fait savoir qu'ils ne voleraient pas au secours des autres membres, en dépassant leur quota pour compenser les moindres volumes" de leurs partenaires, ajoute Bjarne Schieldrop.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 06:46:27
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Hong Kong

(a wp /af p) - 31/01/2022 | 06:03 ►Hong Kong clôture en forte hausse

La Bourse de Hong Kong a terminé lundi en forte hausse, les investisseurs ayant suivi la tendance de Wall Street en fin d'après-midi, avec les entreprises technologiques parmi les plus grands gagnants.

L'indice Hang Seng a bondi de 1,07%, soit 252,18 points à 23.802,26, lors d'une séance raccourcie avant trois jours de fermeture pour cause de Nouvel an lunaire.

Les Bourses de Chine continentale sont fermées cette semaine pour cette même raison.

  
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Ribo Ribo
31/01/2022 06:43:47
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GB

Londres, (Re ute rs) - 31/01/2022 | 01:51 ►Brexit - La GB va faciliter l'abrogation ou la modification des lois transposées de l'UE

Le Premier ministre britannique Boris Johnson annoncera lundi un projet de loi appelé "Brexit Freedoms Bill" qui facilitera la suppression ou la modification des réglementations de l'Union européenne qui ont été transposées dans le droit national britannique avant que le Royaume-Uni ne quitte l'UE.

Pour éviter l'incertitude et la confusion au moment de sa sortie de l'UE, le gouvernement britannique a automatiquement autorisé des milliers de lois et de règlements européens à s'appliquer en Grande-Bretagne après le Brexit.

Selon les règles actuelles, la réforme et l'abrogation de la législation européenne prendraient plusieurs années, a déclaré le gouvernement, ajoutant qu'une nouvelle législation faciliterait les changements pour que les réglementations en vigueur soient plus adaptées à la Grande-Bretagne.

"Notre nouveau projet de loi, le 'Brexit Freedoms Bill', mettra fin au statut spécial du droit européen dans notre cadre juridique et fera en sorte que nous puissions plus facilement modifier ou supprimer les lois européennes obsolètes à l'avenir", a déclaré Boris Johnson dans un communiqué.

Le gouvernement britannique a indiqué qu'il publierait également un document détaillant la façon dont il prévoit d'utiliser l'opportunité offerte par sa sortie de l'UE pour apporter des changements à son cadre réglementaire et réduire les formalités administratives.

  
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Ribo Ribo
30/01/2022 04:37:33
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Pékin, (Reu ters) - 30/01/2022 | 03:20 ►Chine - L'activité manufacturière s'est contractée en janvier (Caixin)

L'activité manufacturière en Chine s'est contractée en janvier à son rythme le plus important en 23 mois, ce qui souligne le coût économique de la stratégie "zéro COVID" mise en place dans le pays, les mesures de confinement strictes et la hausse des cas de contamination ayant pesé sur la production et sur la demande, montrent les résultats publiés dimanche d'une enquête privée.

L'indice PMI manufacturier calculé par Caixin/Markit s'est établi le mois dernier à 49,1, son plus bas niveau depuis février 2020, lorsque l'économie chinoise était sous le coup des mesures de confinement instaurées au tout début de la pandémie de coronavirus.
Le consensus ressortait à 50,4, contre 50,9 en décembre. La barre des 50 sépare la croissance de la contraction.
Cette baisse inattendue devrait renforcer les attentes du marché, qui estime que Pékin doit déployer davantage de mesures de soutien pour stabiliser l'économie.

La banque centrale chinoise a déjà commencé à assouplir sa politique monétaire en abaissant ses principaux taux d'intérêts ainsi que son taux de facilité de crédit à moyen terme, alors que d'autres mesures sont attendues dans les semaines à venir.

La demande a également accusé une forte baisse, les nouvelles commandes ayant chuté à leur rythme le plus rapide depuis le mois d'août, et les commandes à l'exportation ayant connu leur plus forte baisse depuis le mois de mai 2020.

  
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Ribo Ribo
28/01/2022 07:39:49
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FRANCE

La croissance à 0,7% au quatrième trimestre et 7,0% en 2021
La consommation des ménages ralentit à 0,2% en décembre
L'économie a crû de 7% en 2021, après une chute de 8% en 2020

  
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Ribo Ribo
28/01/2022 06:22:11
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marchés ASIE 6h20

  
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Ribo Ribo
28/01/2022 06:16:27
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28/01/2022 | 05:29 ►Les actions indiennes progressent grâce à l'énergie et au secteur bancaire

Les actions indiennes ont augmenté vendredi, soutenues par les valeurs énergétiques et bancaires dans un contexte de bénéfices importants, tandis qu'un léger rebond des marchés mondiaux a également contribué au sentiment des investisseurs.

Les actions asiatiques ont récupéré une partie de leurs pertes importantes de la session précédente après que les marchés américains aient limité la poursuite de leur baisse suite aux commentaires belliqueux de la Fed, soutenus par une économie ferme et de bons résultats chez Apple Inc.

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Ribo Ribo
28/01/2022 04:13:43
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WTI Cours Temps Différé - 28/01 03:57:05 ►87.168USD ► -0.20% / BRENT ►89.78€ ► -0.29%

EUR / USD Cours Temps Différé - 28/01 03:59:38 ► 1.11516USD ► +0.07%


New York, (awp/afp) - 27/01/2022 | 23:22

►Les marchés boursiers mitigés entre vigueur économique et durcissement monétaire

Les marchés européens et américains ont, une nouvelle fois, terminé jeudi sur des notes différentes, tiraillés entre le durcissement à venir de la politique monétaire américaine et la santé de l'économie aux États-Unis.

L'Europe, après un net recul à l'ouverture, a clôturé dans le vert: Londres a gagné 1,13%, Paris 0,60%, Francfort 0,42% et Milan 0,99%. A Zurich, le SMI a gagné 0,65%.

A Wall Street, le Dow Jones a abandonné 0,02%, l'indice Nasdaq, au fort parfum technologique, a lâché 1,40%, et l'indice élargi S&P 500, 0,54%.

En repli de 9,2% depuis fin décembre, le S&P 500 menace d'enregistrer le pire mois de janvier de son histoire, le record actuel (-8,6%) datant de 2009.

La Bourse de New York avait ouvert dans le vert après la publication d'un Produit intérieur brut (PIB) américain ayant affiché en 2021 la plus forte hausse (+5,7%) depuis 1984. Sur le seul quatrième trimestre, il a progressé de 6,9%, bien plus qu'attendu (5,6%).

Pour Alexandre Baradez, analyste à IG France, ces chiffres sont cependant "passés et déjà intégrés dans les prix" des actions.

Mais les investisseurs ont été rattrapés par le spectre de la Banque centrale américaine, dont la trajectoire fait débat et alimente les fantasmes.

Mercredi, le président de la Fed Jerome Powell a confirmé que l'institution prévoyait un relèvement des taux directeurs en mars sans précision sur l'ampleur de la hausse envisagée.

Le ton "a été plus ferme que ce qu'attendaient certains", a expliqué Tom Cahill, de Ventura Wealth Management.

"Donc le marché se fait à l'idée que la Réserve fédérale ne va pas être aussi prompte à soutenir le marché qu'elle l'a été par le passé", a-t-il ajouté, la priorité étant clairement à la jugulation de l'inflation.

►Tesla encore perturbé, la Tech contrastée ◄

Tesla a prévenu que des perturbations sur les chaînes d'approvisionnement pourraient persister tout au long de l'année. Le groupe d'Elon Musk a néanmoins dégagé un profit record de 5,5 milliards de dollars en 2021. L'action a reculait de 11,55%.

A Francfort, le géant allemand des logiciels SAP a plongé de 6,72%, après avoir annoncé ses résultats et le rachat de la fintech américaine Taulia.

Du côté des semi-conducteurs, Intel (-7,04%) a réalisé les meilleurs chiffres d'affaires trimestriel et annuel de son histoire l'an passé mais ses prévisions ont déçu. STMicroelectronics a mieux résisté (+2,02%), profitant de résultats meilleurs qu'attendu.

Netflix a bondi de 7,51% après l'acquisition de 1% des actions en circulation du groupe par la société d'investissement Pershing Square.

►Pétrole et dollar se renforcent encore ◄


Les cours du pétrole sont redescendus de leurs sommets jeudi, affectés comme le reste des matières premières par la montée du dollar.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars a terminé en baisse de 0,68% à 89,34 dollars.
A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison le même mois a perdu 0,84% à 86,61 dollars.
L'euro fléchissait encore, valant 1,1144 dollar (-0,85%) vers 21H55 GMT, proche de son plus bas depuis début juin 2020.
Le bitcoin perdait 0,88% à 36.181 dollars.

  
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Ribo Ribo
28/01/2022 04:04:44
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New York, (awp/afp) - 27/01/2022 | 21:36 ►Le dollar au plus haut depuis 20 mois face à l'euro

Le dollar américain a enregistré jeudi un sommet depuis 20 mois face à l'euro, propulsé par les annonces de la Banque centrale américaine (Fed), prête à relever ses taux dès mars, tandis la Banque centrale européenne ne donne aucun signal d'inflexion.

Vers 20H10 GMT, le dollar s'affichait à 0,8971 euro, ou 1,1147 dollar pour un euro, en hausse de 0,84%. Plus tôt, il était monté jusqu'à 0,8983 euro, ou 1,1132 dollar pour un euro.

Mercredi, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a ouvert la porte à une première hausse de taux dès mars, à l'issue de la prochaine réunion du comité de politique monétaire de la Banque centrale américaine.

Mais ce n'est pas tant l'annonce de ce relèvement probable qui a fait décoller le billet vert, que les propos de Jerome Powell sur la suite de la séquence, selon les analystes.

"Le marché a interprété le fait que la Fed garde toutes les options sur la table comme plus ferme" (hawkish) que le ton adopté jusqu'ici par l'institution, a réagi Marc Chandler, chef de la stratégie marchés pour le courtier Bannockburn Global Forex.

D'après le modèle de la Bourse américaine CME, plus de 60% des opérateurs tablent désormais sur un minimum de 5 hausses de taux en 2022, alors qu'ils n'étaient que 12% il y a un mois.

"Les marchés ont ajouté une hausse cette année" dans leur scénario central, pour arriver à cinq, résume Juan Manuel Herrera, spécialiste des devises chez Scotiabank. "Et il y a encore la place pour en ajouter une, voire deux, ce qui serait plus conforme à ce que la Fed doit faire pour contrer une inflation élevée."

Cet accès de fièvre contraste avec la situation en zone euro, ce qui explique la poussée du dollar face à la monnaie unique.

Mercredi prochain, la veille de la réunion du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), sera publié l'indice des prix à la consommation CPI en zone euro pour janvier.

Pour Marc Chandler, "il sera probablement moins élevé" qu'en décembre, "ce qui calmera sans doute" les membres du conseil partisans d'une politique monétaire plus ferme.

Dès lors, "la BCE ne pourra rien faire", annonce l'analyste.

Ce prolongement du statu quo monétaire sera l'occasion pour les cambistes de réviser leurs anticipations, le marché tablant pour l'instant sur deux hausses de taux par la BCE dès 2022.

Les économistes, eux, estiment que la Banque centrale européenne ne modifiera pas ses taux avant fin 2023, rappelle Juan Manuel Herrera.

"Donc, pour nous, l'euro va descendre à 1,10" dollar, "puis en-dessous, probablement vers 1,08 d'ici la fin de l'année", prévient l'analyste.

  
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