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MARCHÉS - Page 9



Ribo Ribo
27/12/2021 14:12:11
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Dubaï, (Reu t ers) - 27/12/2021 | 12:53 ►Nucléaire iranien : Les exportations de pétrole, sujet clé pour Téhéran

Le principal objectif de Téhéran lors des pourparlers pour sauver l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien, qui reprennent ce lundi à Vienne, sera de garantir sa capacité à exporter du pétrole sans entrave via une levée des sanctions américaines selon un processus vérifiable, a fait savoir le ministère iranien des Affaires étrangères.

"Le principal enjeu pour nous est de parvenir prioritairement à une situation dans laquelle le pétrole iranien pourra être commercialisé facilement et sans entraves", a déclaré le ministre des Affaires étrangères iranien Hossein Amirabdollahian, cité par des médias iraniens.

"Les sommes tirées des ventes de pétrole devront être déposées en devises étrangères dans des banques iraniennes, afin que nous puissions bénéficier de l'ensemble des retombées économiques prévues dans le Plan d'action global commun (PAGC, ou JCPoA, Joint Comprehensive Plan of Action)", le nom officiel de l'accord de 2015.

Les discussions pour ramener les États-Unis et l'Iran au respect de cet accord, interrompues le 17 décembre dernier, doivent reprendre ce lundi à 18h00 (17h00 GMT) à Vienne, en Autriche, selon les médias officiels iraniens.

Des représentants de l'Allemagne, de la Chine, de la France, de la Grande-Bretagne, de l'Iran et de la Russie y participent, avec une coordination de l'Union européenne.

Ces discussions avaient repris fin novembre après cinq mois d'interruption depuis l'élection de l'ultraconservateur Ebrahim Raïssi en juin dernier à la présidence iranienne, sans connaître de progrès marquants.

"Aujourd'hui (lundi-NDLR), il y a des documents communs acceptables sur la table des négociations", qui portent à la fois sur le programme nucléaire iranien et sur les sanctions américaines, a expliqué Hossein Amirabdollahian à la presse iranienne.

"A partir de ce jour, nos négociations vont commencer sur la base de ces documents communs. Les garanties et les vérifications figurent parmi les sujets au programme des discussions", a-t-il dit.

Le président Donald Trump a retiré les États-Unis du PAGC en 2018, rétablissant des sanctions contre l'Iran. La République islamique s'est en retour affranchie des conditions de cet accord, reprenant et accélérant son programme nucléaire et relevant ses niveaux d'enrichissement de l'uranium au-delà des limites fixées dans le traité de 2015.

Les exportations de pétrole - principales sources de revenus pour l'Iran - ont plongé dans le sillage de la restauration des sanctions américaines.

Téhéran ne publie pas de données à ce sujet, mais selon des estimations, les exportations pétrolières iraniennes auraient chuté d'environ 2,8 millions de barils par jour (bpj) en 2018 à environ 200.000 bpj désormais.

  
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Ribo Ribo
27/12/2021 11:49:01
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上海市, (Re ute rs) - 27/12/2021 | 10:33►Pékin renforce la surveillance des cotations des entreprises chinoises à l'international

La Chine va désormais exiger que les entreprises chinoises de certains secteurs obtiennent le feu vert des autorités avant de pouvoir s'introduire en Bourse à l'étranger.

Actuellement, beaucoup d'entreprises chinoises utilisent la structure d'entité à détenteurs de droits variables (EDDV) pour se coter à l'étranger, contournant ainsi les restrictions de Pékin sur les investissements à l'international qui concernent des secteurs tels que les médias et l'éducation.

La Commission nationale pour le développement et la réforme (CNDR) a également interdit lundi que les capitaux étrangers participent à la gestion de ces sociétés et a plafonné la prise de participation par des entités étrangères.

La déclaration de la CNDR intervient quelques jours après la publication par le régulateur boursier chinois d'un projet de règles exigeant des entreprises souhaitant s'introduire en Bourse à l'international qu'elles déposent des documents pour s'assurer qu'elles respectent la réglementation chinoise.

  
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Ribo Ribo
27/12/2021 11:10:34
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Paris, (aw p/af p) - 27/12/2021 | 07:17 ►Le pétrole sur la sellette, mais un monde toujours dépendant

Avec la crise climatique, la fin du pétrole a été au centre des discussions cette année comme jamais, mais mettre fin à la dépendance mondiale à l'égard de l'or noir va encore demander des efforts colossaux.

"En 2021, plusieurs développements ont montré clairement que cette industrie n'a pas d'avenir", se réjouit Romain Ioualalen, de l'ONG Oil Change International.

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a publié au printemps un rapport choc préconisant l'arrêt immédiat de tout nouvel investissement dans des ressources fossiles. Une révolution de la part d'une institution fondée en plein choc pétrolier, dans les années 1970, pour alors garantir la sécurité énergétique de pays riches.

Autre moment marquant cette année, la COP26 de l'ONU sur le climat à Glasgow, au cours de laquelle une coalition de pays - sans grand producteur toutefois - s'est engagée à sortir des énergies fossiles.

Ces dernières, qui représentent 80% de l'énergie aujourd'hui consommée, ont été explicitement désignées responsables du changement climatique à la COP, ce qui n'était pas le cas à l'époque de l'Accord de Paris en 2015.

"Il n'est plus tabou de parler de la fin de l'extraction des hydrocarbures lors des réunions internationales sur le climat", souligne Romain Ioualalen.

Plus récemment encore, les défenseurs de l'environnement ont remporté une victoire symbolique : le développement du champ pétrolier Cambo, au large de l'Écosse, a été suspendu après le retrait du géant Shell.

"Dépendance"◄

"On savait depuis plusieurs années que la fin du pétrole brut et des condensats (sorte de pétrole léger, ndlr) est proche", note Moez Ajmi, du cabinet EY. "Mais est-ce que le monde est prêt à vivre sans pétrole? La dépendance est encore très forte de mon point de vue."

L'AIE elle-même estime d'ailleurs que la demande pétrolière mondiale va poursuivre son rebond pour atteindre l'an prochain des niveaux pré-Covid-19, non loin de 100 millions de barils par jour.

Alors que les cours du pétrole ont nettement rebondi ces derniers mois, les pays producteurs comptent bien continuer à profiter de cette rente.

"Les discours sur un secteur qui serait relégué au passé et qui cesserait tout nouvel investissement dans le pétrole et le gaz sont erronés", a déclaré le secrétaire général de l'Opep, Mohammed Barkindo.

"La transition aura lieu, j'en suis convaincu parce qu'il y a une véritable prise de conscience, mais elle va prendre du temps", juge de son côté Patrick Pouyanné, le PDG du géant pétrolier français TotalEnergies.

Pour lui, les discussions actuelles prennent le problème à l'envers en se concentrant sur la fin de l'offre pétrolière plutôt que sur une révolution des modes de consommation. La demande en énergies fossiles "déclinera parce qu'on offrira aux consommateurs des nouveaux objets comme les véhicules électriques", selon M. Pouyanné.

Au premier semestre, les véhicules électriques représentaient 7% des ventes mondiales de voitures, selon BloombergNEF. C'est encore très minoritaire, mais la dynamique est très forte.

Moez Ajmi insiste aussi sur la nécessité de transformer la demande avec "des réelles concrétisations".

"année de transformation"◄

"Les arguments des compagnies pétrolières et des grandes nations productrices sont court-termistes et cyniques: ils cherchent tous les moyens possibles pour justifier une trajectoire qui n'est pas durable", regrette pour sa part Romain Ioualalen.

"Nous sommes bien sûr encore loin d'une économie décarbonée, mais ce sont les investissements que nous réalisons aujourd'hui dans le système énergétique qui nous y mèneront", avance-t-il.

Quel que soit l'horizon de la fin du pétrole, les grandes entreprises du secteur s'y préparent bon gré mal gré, sous une pression croissante. Longtemps réticentes, les majors américaines ExxonMobil et Chevron ont elles aussi annoncé cette année des investissements dans la transition énergétique.

"2022 a le potentiel pour être une véritable année de transformation", prédit Tom Ellacott, du cabinet Wood Mackenzie. "Rester au bord du chemin de la décarbonation n'est pas une option."

Au menu de la nouvelle année, selon les experts : toujours plus d'investissements dans l'électricité d'origine éolienne ou solaire, mais aussi dans les technologies de capture du carbone ou l'hydrogène.

  
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Ribo Ribo
27/12/2021 10:57:33
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Berne, (a wp/a ts) - 27/12/2021 | 06:26 ►Les Suisses inquiets de l'impact du Covid et de l'inflation

Comme l'an passé, la pandémie pèse sur les perspectives financières des Suisses. Une majorité s'inquiète aussi de l'inflation, selon une étude de Comparis. La part de ceux qui s'attendent à une détérioration de leur situation financière est toutefois en léger recul.

Quatre personnes interrogées sur cinq indiquent être un peu voire très inquiètes en raison du coronavirus, écrit le comparateur en ligne Comparis dans un communiqué publié dans la nuit de dimanche à lundi. Il précise que la part des personnes très inquiètes a augmenté par rapport à 2020, passant de 31% à 36%.

Huit personnes sur dix (81%) se font du souci à cause de l'inflation, dont 47% un peu et 34% beaucoup. L'inquiétude est bien plus importante (45%) chez les foyers disposant d'un revenu brut inférieur ou égal à 4000 francs.

Une majorité de sondés (58%) estiment que leur situation financière restera stable l'année prochaine, tandis qu'un peu plus d'un quart (27%) s'attendent à une amélioration. A l'inverse, 16% anticipent une détérioration, un chiffre en légère baisse par rapport à l'année passée (18%).

Parmi les raisons invoquées pour leur pessimisme figurent en premier lieu les primes maladies en hausse (37%), suivie par la perte d'emploi (29%), une baisse du taux d'occupation (15%) et une hausse des loyers et des taux hypothécaires (15%). La part des personnes qui cite une augmentation de loyer/des intérêts hypothécaires comme source d'inquiétude a triplé par rapport à 2020, souligne Comparis.

Du côté des optimistes, les raisons avancées sont un emploi mieux rémunéré pour soi ou son/sa partenaire (33%) ou une augmentation de salaire pour soi ou son/sa partenaire (31%). De plus, près d'un quart (24%) s'attendent à une appréciation de leurs placements, un chiffre sans précédent, relève Comparis.

Le sondage a été réalisé en décembre auprès de 1045 personnes issues de toute la Suisse par l'institut Innofact sur mandat de Comparis.

  
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Ribo Ribo
27/12/2021 10:52:22
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27/12/2021 | 02:32 ►Les bénéfices industriels de la Chine en novembre augmentent de 9 % en glissement annuel

Les bénéfices des entreprises industrielles chinoises ont augmenté à un rythme plus lent en novembre, a annoncé lundi le bureau des statistiques.

Les bénéfices ont augmenté de 9,0% en glissement annuel en novembre pour atteindre 805,96 milliards de yuans (126,54 milliards de dollars), selon les données officielles, contre une hausse de 24,6% en octobre.

Pour la période janvier-novembre, les bénéfices des entreprises industrielles ont augmenté de 38,0% en glissement annuel pour atteindre 7,98 trillions de yuans, soit un ralentissement par rapport à la hausse de 42,2% enregistrée au cours des 10 premiers mois de 2021.

Les données sur les bénéfices industriels couvrent les grandes entreprises dont les revenus annuels de leurs principales opérations dépassent 20 millions de yuans.

  
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Ribo Ribo
26/12/2021 13:27:47
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SUISSE (a w p/a t s) - 26/12/2021 | 07:24 ► - Revue de Presse -

Le coronavirus et en particulier les conséquences du variant Omicron sont une nouvelle fois bien présents dans la presse dominicale. Il y est également question de locataires réticents à faire valoir leurs droits et d'une initiative populaire des chauffeurs routiers. Voici les principales informations, non confirmées à K e y s t o n e - A T S:

SONNTAGSBLICK: La compagnie aérienne Swiss supprime 2900 vols de son horaire d'hiver, en raison des restrictions dues au variant Omicron et une demande réduite, rapporte le SonntagsBlick. Les annulations concernent surtout la période de mi-janvier à fin mars. Les passagers seront informés et des alternatives proposées. Quelque 1200 vols ont déjà été annulés ces dernières semaines. Avec les 1700 encore à venir, les annulations représenteront environ 8% de l'ensemble des vols normalement prévus, selon un porte-parole interrogé par le journal. Cette "suppression conservatrice" correspond en tout à près de 9% des 33'000 vols que la maison mère, le groupe Lufthansa, doit rayer de son horaire d'hiver.

NZZ AM SONNTAG: Des membres de la Task Force scientifique de la Confédération proposent de prendre des mesures supplémentaires mais limitées pour freiner la propagation du variant Omicron. La Task Force part du principe qu'Omicron va devenir le variant le plus fréquent ces prochains jours, indique sa présidente Tanja Stadler dans la NZZ am Sonntag. "Si l'objectif est de ralentir la propagation d'Omikron par des mesures, il serait alors nécessaire, d'un point de vue épidémiologique, de réduire davantage les contacts, d'augmenter la vitesse de vaccination et de procéder à un dépistage plus large que maintenant", ajoute-t-elle. Afin d'éviter un confinement partiel, la taskforce propose par exemple de fermer les boîtes de nuit ou d'annuler les fêtes du Nouvel An. Il est prévu que le Conseil fédéral se réunisse à nouveau que le 12 janvier. Le gouvernement est toutefois prêt à convoquer une séance physique et à prendre des décisions à tout moment, indique son porte-parole André Simonazzi.

SONNTAGSBLICK: L'Office fédéral de la protection de la population (OFPP) met en garde contre des pannes dans les infrastructures critiques du pays. Le risque est particulièrement élevé en cas d'absence de personnel dans l'approvisionnement en énergie et en denrées alimentaires ainsi que dans le secteur de la santé, relève dans le SonntagsBlick la porte-parole de l'OFPP Sandra Walker. Au vu des nombreuses contaminations engendrées par le variant Omikron, il faut s'attendre à ce que davantage de personnels soient absents pour cause de maladie ou de quarantaine et que l'exploitation ne puisse pas être maintenue au niveau habituel, détaille-t-elle. Plusieurs prestataires d'infrastructures critiques, comme Swisscom, La Poste ou Migros auraient déjà établi des plans prévisionnels.

Pour changer de sujet◄

SONNTAGSZEITUNG: La Suisse doit analyser les faiblesses du fédéralisme en temps de crise afin d'être mieux armée pour relever les défis futurs, estime le président de la Confédération Guy Parmelin dans une interview avec la SonntagsZeitung. Il s'agit par exemple d'optimiser l'interaction entre les différents niveaux de l'Etat. Il faut maintenant tirer les leçons de la pandémie, souligne M. Parmelin. Et d'ajouter que le fédéralisme est certes un pilier de la Suisse, mais il est parfois lourd et compliqué, surtout en cas de crise. La Suisse doit aussi se demander ce qui se passerait si deux crises se produisaient en même temps - par exemple une pandémie et une pénurie d'électricité, complète-t-il. Le risque de coupures de courant et de pénuries d'électricité existe en Suisse.

LE MATIN DIMANCHE/SONNTAGSZEITUNG: Par crainte de représailles, de nombreux locataires n'utilisent pas les instruments légaux auxquels ils ont droit, selon une enquête menée par l'Association suisse des locataires (Asloca) dont Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung se font l'écho. Ainsi, seuls 6% des personnes interrogées ont contesté leur loyer. Pourtant, celles qui l'ont fait ont eu gain de cause totalement dans 49% des cas et partiellement dans 28%. Lorsque les taux hypothécaires de référence diminuent, les locataires peuvent demander une baisse de loyer. Or, lors de la baisse de mars 2020, 42% des sondés indiquent n'avoir rien exigé. Deux personnes sur cinq craignaient qu'une telle demande ne déclenche un conflit avec le bailleur, avec qui 82% des sondés jugent important d'entretenir de bonnes relations. Parmi les revendications des locataires, neuf sur dix souhaiteraient que la baisse du taux hypothécaire soit instantanément reportée et 78% que le loyer précédent soit automatiquement communiqué. Le sondage a été réalisé du 16 août au 11 octobre auprès de 18'000 locataires par l'institut Sotomo, sur mandat de l'Asloca.

SONNTAGSBLICK: Les chauffeurs de poids lourds prévoient de lancer une initiative populaire. L'objectif principal est de "garantir l'approvisionnement " de la population et de l'économie, rapporte le SonntagsBlick. "La pandémie a montré que les chauffeurs ont une importance systémique et sont nécessaires au bon fonctionnement de la Suisse", explique David Piras, secrétaire général de l'Association des Routiers Suisses dans le journal. Pour cela, la Confédération doit veiller à ce qu'il y ait "un nombre suffisant de chauffeurs formés de manière appropriée". Selon M. Piras, le texte devrait être soumis en janvier à la Chancellerie fédérale. Il demande notamment que les conditions de travail et de rémunération des chauffeurs soient à l'avenir "comparables à celles d'autres professions artisanales". La protection contre la concurrence étrangère à bas prix est également un point important. Les chauffeurs qui effectuent des transports en Suisse devraient habiter dans le pays ou dans les pays limitrophes.

NZZ AM SONNTAG: Comme le renchérissement augmente plus fortement dans de nombreux pays qu'en Suisse, le franc devient de plus en plus une monnaie refuge. "Le franc offre actuellement la meilleure protection contre l'inflation - meilleure que l'or ou d'autres monnaies fortes comme le yen japonais", explique Michael Cahill de la banque d'investissement Goldmann Sachs dans la "NZZ am Sonntag". Goldman Sachs s'attend à ce que l'appréciation du franc se poursuive. Mais contrairement aux précédentes phases d'appréciation, la Banque nationale suisse (BNS) n'est guère intervenue pour acheter des devises étrangères. Or, l'enjeu est de taille pour la BNS : ses placements de devises ont entre-temps gonflé à 1000 milliards de francs. Si le franc s'apprécie d'un centime, la BNS subira une perte importante de 10 milliards de francs. Un tel scénario nuirait aux initiatives de l'Union syndicale suisse et de l'UDC, qui souhaitent utiliser une partie de ces réserves pour alimenter l'AVS.

NZZ AM SONNTAG: Des toilettes non genrées devraient bientôt voir le jour dans les écoles de la ville de Zurich. Les standards d'aménagement pour les bâtiments scolaires sont en cours d'adaptation. Dans ce cadre, la demande d'offrir à l'avenir des toilettes non genrées pour les élèves et le personnel est également examinée, indique le Service des bâtiments dans la NZZ am Sonntag. Le conseil communal devrait se prononcer sur le sujet à la mi-2022. S'il approuve cette demande, la ville de Zurich sera une pionnière en la matière. Plusieurs villes interrogées par la "NZZ am Sonntag" n'ont pas de tels projets au niveau de l'école obligatoire, à l'exception de Lucerne. Dans cette ville, le conseil municipal veut transformer les toilettes pour handicapés en toilettes unisexes. En novembre, l'EPFL et l'Université de Lausanne (UNIL) ont annoncé que les deux campus seront dotés de toilettes non genrées dès l'an prochain.

Note: Ces informations n'ont pas été confirmées par l'a t s.

  
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Ribo Ribo
26/12/2021 13:02:27
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Moscou, (a wp/a fp) - 26/12/2021 | 12:56 ►Gaz : Moscou critique des livraisons de l'Allemagne vers la Pologne

Gazprom a jugé peu "rationnel" la revente de gaz russe par l'Allemagne à la Pologne, en pleine flambée des prix, rejetant les accusations selon lesquelles Moscou limite volontairement ses livraisons à l'Europe.

"On observe une inversion du flux de gaz de l'Allemagne vers la Pologne et apparemment aussi vers l'Ukraine, de l'ordre de 3 à 5 millions de mètres cubes par jour", a indiqué le porte-parole du géant gazier russe, Sergueï Kouprianov.

"Ce gaz provient de réservoirs souterrains en Allemagne, des réservoirs dont le gaz a déjà été utilisé à 47%. Et l'hiver ne fait que commencer... Ce n'est pas la décision la plus rationnelle", a-t-il poursuivi, dans une vidéo diffusée samedi soir.

Selon lui, les prix de ces livraisons sont "nettement supérieurs à ceux des volumes livrés par Gazprom".

Mercredi, la représentation de la Pologne auprès de l'Union européenne a accusé Moscou d'avoir stoppé ses livraisons via le gazoduc Yamal-Europe entre la Russie, la Pologne et l'Allemagne, accusant Gazprom de "manipulation".

Le président russe Vladimir Poutine a rétorqué que Moscou n'effectuait pas de nouvelles exportations via ce gazoduc, faute de nouvelles commandes européennes.

Dimanche, le ministère allemand de l'Energie a lui affirmé que les contrats de livraison de long-terme avec Moscou étaient respectés, et qu'il n'y avait "pas de signes de blocages d'approvisionnement".

L'Europe occidentale est confrontée depuis plusieurs mois à une hausse affolante des prix du gaz due à plusieurs facteurs: un hiver 2020-2021 très froid, la reprise économique post-pandémie ou encore un apport réduit des énergies renouvelables.

Le cours du gaz en Europe a battu un nouveau record mardi, avec l'arrivée de températures hivernales. A cela s'ajoutent des tensions géopolitiques entre l'UE et Moscou, qui assure un tiers des livraisons européennes.

Les Occidentaux soupçonnent la Russie de limiter ses livraisons pour faire pression sur les Européens et obtenir gain de cause dans plusieurs dossiers, notamment le lancement du nouveau gazoduc russo-allemand Nord Stream 2.

"Les accusations contre la Russie et Gazprom disant que nous fournissons peu de gaz au marché européen sont absolument sans fondement", a réagi samedi Sergueï Kouprianov.

"Cette année, Gazprom a livré à l'Allemagne 50,2 milliards de mètres cubes, c'est 5,3 milliards de plus que l'année dernière. Gazprom a déjà livré plus de gaz que l'année dernière aux pays suivants: Italie, Turquie, Bulgarie, Serbie, Danemark, Finlande et Pologne", a-t-il énuméré.

La Russie est aussi accusée de ne pas envoyer de gaz supplémentaire à l'Europe via l'Ukraine, du fait des fortes tensions entre Moscou et Kiev, des accusations également rejetées par Moscou.

  
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Ribo Ribo
24/12/2021 11:52:27
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Il serait temps que l'Europe avance un peu plus vite pour les semi-conducteurs...


Taïpei, (R e u ters) - ) - 24/12/2021 09:50►Taïwan et le Japon envisagent une "coopération globale" dans les semi-conducteurs

Les partis au pouvoir à Taïwan et au Japon ont convenu vendredi d'une "coopération globale" dans le domaine des semi-conducteurs et se sont engagés à s'entretenir régulièrement, ont déclaré des parlementaires taïwanais après ce qui constitue des discussions de facto entre les deux gouvernements.

Si Taïwan, considérée comme une province renégate par la Chine, et le Japon n'ont pas de liens diplomatiques officiels, ils entretiennent des relations officieuses étroites et partagent tous deux des inquiétudes vis-à-vis de Pékin.

Les discussions, auxquelles ont participé deux parlementaires de haut rang du Parti démocratique progressiste de Taïwan (PDP) et du Parti libéral démocrate du Japon (PLD), se sont déroulées en visioconférence et font suite à des consultations initiales qui se sont tenues fin août.

Les puces ne sont pas seulement un problème pour l'industrie japonaise qui, comme le reste du monde, a été confrontée à une pénurie de semi-conducteurs mais elles relèvent aussi de la sécurité du pays face à la Chine, a déclaré à la presse le parlementaire du PDP, Chiu Chih-Wei.

"Les deux partis ont convenu qu'à l'avenir, il y aura plus de coopération sur les chaînes d'approvisionnement, la mise en place d'un cadre complet, le déploiement d'un système, pour avoir une coopération globale dans le domaine des semi-conducteurs et d'autres industries auxquelles les deux pays accordent de l'importance", a-t-il déclaré.

Les responsables japonais ont déclaré qu'ils avaient convenu avec la partie taïwanaise que les deux pays, ainsi que les États-Unis, devaient coopérer pour mettre en place des chaînes d'approvisionnement robustes dans des domaines tels que les semi-conducteurs.

"Nous devons faire tout notre possible pour faire face à la pénurie de semi-conducteurs pour le moment mais les domaines de coopération devraient s'étendre à mesure que nous avançons", a déclaré à la presse Akimasa Ishikawa, un parlementaire du Parti libéral démocrate qui a participé à la réunion.

"L'un des principaux défis sera de savoir comment les trois pays se soutiennent en réponse aux investissements chinois dans les hautes technologies", a-t-il ajouté.

  
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Ribo Ribo
24/12/2021 01:03:23
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Du côté du pétrole, de l'euro et du bitcoin ◄

Les cours du pétrole ont connu une troisième séance de hausse consécutive jeudi, toujours soutenus par la dissipation d'une partie des craintes associées au variant Omicron du coronavirus mais aussi des tensions sur l'offre.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, le plus échangé à Londres, a pris 2,07% pour terminer à 76,85 dollars.
A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour la même échéance, a gagné 1,41% et clôturé à 73,79 dollars.
Après un début de semaine haussier, l'euro se stabilisait (+0,02%) à 1,1328 dollar.
Le bitcoin a pris 3,52% à 50.847 dollars, repassant pour la première fois depuis dix jours au-dessus du seuil de 50.000 dollars.

  
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Ribo Ribo
24/12/2021 01:02:28
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New York, (a w p/a f p) - 23/12/2021 | 23:00 ►Wall Street termine en hausse, record pour l'indice S&P 500

La Bourse de New York a clôturé jeudi sur une troisième hausse d'affilée, avec un record pour l'indice S&P 500, soulagée par la moindre virulence du variant Omicron et satisfaite par des indicateurs américains globalement positifs.

Le Dow Jones a terminé sur un gain de 0,55% à 35.950,56 points, l'indice Nasdaq, à forte pondération technologique, a pris 0,85% à 15.653,37 points et le S&P 500 a avancé de 0,62% pour s'inscrire à 4.725,79 points, un record absolu, le 68ème de l'année pour l'indice élargi.

"La semaine dernière, on ne parlait que de la propagation rapide du variant Omicron et de l'inflation", a commenté Greg Bassuk, directeur général d'AXS Investments. "Cette semaine, on voit les nouvelles du Covid sous un jour plus favorable. Il y a beaucoup plus d'optimisme quant à la gestion de la pandémie. C'est ça qui dope le marché depuis trois séances."

L'indice VIX, qui mesure la volatilité des marchés et la nervosité des investisseurs, est tombé jeudi à son plus bas niveau depuis mi-novembre.

"Des données macroéconomiques positives ont contribué à l'humeur du marché et poussé les actions", ont souligné, dans une note, les analystes de Schwab.

Ils faisaient notamment référence aux inscriptions hebdomadaires au chômage, à un niveau toujours très bas, et aux commandes de biens durables pour novembre supérieures aux attentes.

Bien qu'inférieure au mois précédent (+1,4%), l'augmentation des dépenses des ménages en novembre est ressortie conforme aux attentes, à 0,6%.

Cette image d'une économie américaine toujours en croissance soutenue a été quelque peu ternie par l'indice PCE, indicateur d'inflation très suivi, qui a progressé de 5,7% sur un an en novembre, soit son rythme le plus élevé depuis 1982.

Dans l'enquête mensuelle de l'université du Michigan, publiée jeudi également, un ménage sur quatre a "spécifiquement cité l'impact négatif de l'inflation sur son niveau de vie".

"Même si on s'attend à ce que l'inflation se stabilise à un niveau plus élevé que dans un passé récent, (...) si les investisseurs regardent sur une longue période, on se situe toujours à un niveau bas", a fait valoir Greg Bassuk.

A la cote, la plateforme chinoise de commerce en ligne JD.com a dévissé (-6,92% à 68,65 dollars), secouée par la prochaine distribution de 460 millions de titres du groupe par le conglomérat Tencent.

Ce dernier va ainsi transférer à ses actionnaires l'essentiel de sa participation, qui va passer de 17% à 2,3% du capital de JD.com.

Le groupe de commerce en ligne Pinduoduo, dont Tencent est aussi actionnaire, a suivi (-1,25% à 57,71 dollars).

Le fabricant de camions électriques et à hydrogène Nikola a rugi (+17,98% à 11,09 dollars) après avoir annoncé que l'un des deux premiers camions acheminés par le groupe à des clients, la semaine dernière, avait effectué sa première livraison.

La start-up a aussi révélé avoir reçu une commande de 100 camions émanant d'un transporteur de l'Illinois.

Boeing est monté (+1,25% à 204,22 dollars) après la publication mercredi par le régulateur américain de l'aviation civile (FAA) de propositions de modification de certains modèles 777, cloués au sol depuis un incident de vol survenu en février.

Seule compagnie américaine à utiliser des appareils de ce modèle, United (+0,67% à 44,87 dollars) a indiqué mercredi qu'elle tablait sur une remise en service "début 2022".

Le fabricant de sabots en plastique Crocs a dérapé (-11,63% à 123,53 dollars) après avoir annoncé l'acquisition de la marque de chaussures multi-usages Hey Dude pour 2,5 milliards de dollars, soit plus d'un tiers de sa propre capitalisation.

Le repli brutal du titre s'explique, pour partie, par le fait que Crocs va émettre pour 450 millions de dollars d'actions nouvelles pour financer une partie de cette acquisition.

Le groupe de services vidéos SeaChange International a souffert (-6,63%, à 1,83 dollar) au lendemain de l'annonce de sa fusion avec la plateforme vidéo Triller, qui se positionne en concurrent de TikTok.

A l'issue de la fusion, l'ensemble sera valorisé environ 5 milliards de dollars, ont indiqué mercredi les deux sociétés, SeaChange ne pesant, en l'état, qu'environ 89 millions de dollars de capitalisation boursière.

  
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Ribo Ribo
24/12/2021 00:54:33
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WTI

New York (aw p/af p) - 23/12/2021 | 21:18 ►Troisième hausse d'affilée pour le pétrole, tensions sur l'offre

Les cours du pétrole ont enchaîné une troisième séance de hausse consécutive jeudi, toujours soutenus par la dissipation d'une partie des craintes associées au variant Omicron du coronavirus mais aussi des tensions sur l'offre.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, le plus échangé à Londres, a pris 2,07% pour terminer à 76,85 dollars.

A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour la même échéance, a lui gagné 1,41% et clôturé à 73,79 dollars.

Le marché sera fermé vendredi, veille de Noël.

Concentrés depuis un mois sur la demande et les éventuelles conséquences de la diffusion fulgurante du variant Omicron, les opérateurs ont été rassurés par des publications scientifiques, ces derniers jours, qui indiquent que cette forme du virus est moins virulente que ses devancières, Delta en particulier.

L'attention s'est davantage tournée vers l'offre cette semaine, du fait d'une série de nouvelles de nature à amputer la production d'or noir.◄

Selon des chiffres rapportés par plusieurs médias, les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs alliés de l'accord Opep+ ont produit en novembre sensiblement moins de brut que ce que prévoient les niveaux fixés officiellement.

Selon Argus Media, la production des pays de l'Opep+ a été inférieure de plus de 500.000 barils par jour à ce qui était prévu.

A cela s'est ajoutée la fermeture de force lundi de quatre champs pétroliers libyens par des hommes affiliés aux Gardes des installations pétrolières (GIP), privant le marché de plus de 300.000 barils par jour.

Mercredi, c'est la SPDC (Shell Petroleum Development Company), filiale du géant Shell, qui a annoncé l'interruption de ses livraisons de pétrole depuis le Nigeria, soit environ 200.000 barils par jour, à la suite d'un problème logistique.

Aux Etats-Unis, un incendie a touché une raffinerie ExxonMobil à Baytown (Texas) dans la nuit de mercredi à jeudi, en particulier des installations destinées à l'élaboration d'essence.

"Les risques liés à l'offre pourraient offrir un soutien conséquent au marché", ont prévenu, dans une note, les analystes de TD Securities.

Pour Edward Moya, analyste d'Oanda, le WTI "devrait s'installer autour de 70 à 75 dollars, jusqu'à ce que l'Opep+ envoie des signaux sur ce qu'ils prévoient de faire lors de leur prochaine réunion".

  
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Ribo Ribo
23/12/2021 17:10:59
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Paris, (aw p/af p) - 23/12/2021 | 16:14 ►Les marchés montent encore à l'approche de Noël

Les marchés boursiers, dont l'activité était réduite à l'approche des fêtes, évoluaient en hausse jeudi, les craintes autour du variant Omicron continuant de s'apaiser.

Wall Street a ouvert en hausse, gardant l'élan de la veille : le Dow Jones gagnait 0,57%, le S&P 500 0,45% et le Nasdaq 0,20% vers 14H55. C'est la dernière séance de la semaine pour le marché américain, fermé vendredi.

En Europe, dans le même temps, Paris prenait 0,79%, Londres 0,39%, Francfort 0,83% et Milan 0,46%, poursuivant la tendance des deux séances de progression précédentes. A Zurich, le SMI gagnait 0,41%.

Les marchés européens ont accéléré après l'annonce de l'autorisation de la pilule anti-Covid de Merck (-0,16% à 76,03 dollars) aux États-Unis, juste avant l'ouverture des marchés américains.

Les investisseurs sont plus "optimistes", après des études menées au Royaume-Uni montrant que les infections par le variant Omicron du Covid-19 sont moins susceptibles de provoquer des hospitalisations, par comparaison avec le variant Delta, note Victoria Scholar, de Interactive Investor.

Ces études préliminaires ont aussi été saluées par les experts qui appellent toutefois à la prudence, compte tenu du taux de transmission élevé qui pourrait se traduire par davantage de cas graves.

"Les marchés ne se préoccupent pas de ce genre de détails (...), si les gros titres sont en accord avec le récit qu'ils veulent entendre", note Jeffrey Halley, analyste chez Oanda.

La question est de savoir si les investisseurs vont se laisser aller au traditionnel "rally de fin d'année", alors que de nombreux gouvernements mettent en place des restrictions plus sévères pour faire face au nouveau variant et pourraient encore le faire après les fêtes de Noël.

Sur le plan des indicateurs, les données du jour ont été plutôt en ligne avec les attentes. La consommation aux États-Unis a été tirée par les services en novembre, enregistrant cependant une progression moins forte qu'en octobre, pénalisée par l'inflation.

La hausse des prix, à un niveau jamais vu depuis 40 ans aux États-Unis, peut aussi être alimentée par la pénurie de main d’œuvre dans le pays : les inscriptions hebdomadaires au chômage sont restées inchangées aux États-Unis la semaine passée, à un niveau toujours très bas.

En Europe, la croissance espagnole est ressortie à 2,6% au troisième trimestre, un chiffre supérieur à la première estimation (+2%).

Ryanair double ses pertes, l'aviation regarde l'avenir ◄

L'action de la compagnie aérienne irlandaise Ryanair montait à la Bourse de Dublin (+2,35% à 15,93 euros). Les perspectives de reprise des déplacements, avec l'atténuation des craintes sur Omicron, ont dépassé l'impact de l'annonce d'une prévision de pertes doublées en 2021 à cause de la forte réduction des réservations pour les vacances de fin d'année, en raison du variant.

Le secteur de l'aérien était bien orienté jeudi: l'action Lufthansa, qui a supprimé 10% de ses vols durant l'hiver à cause d'Omicron, prenait 1,61% à 6,33 euros, EasyJet 3,99% à 558 pence et United Airlines 1,73% à 18,57 dollars.

Pari gagnant pour Flutter ◄

A Londres, le groupe de paris en ligne Flutter montait de 2,50% à 11.540,00 pence après avoir annoncé l'acquisition de Sisal, "le principal opérateur de jeux en ligne d'Italie", racheté au fonds CVC Capital Partners pour 1,913 milliard d'euros (1,62 milliard de livres).

Le pétrole et l'euro atones ◄

Les cours du pétrole se stabilisaient après deux séances de forte hausse. Dans le même temps, les prix du gaz subissaient une nette correction après leurs records.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, le plus échangé à Londres, montait de 0,36% à 75,56 dollars. A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour la même échéance, gagnait 0,29% à 72,97 dollars.

Après un début de semaine haussier, l'euro reculait de 0,24% face au billet vert, à 1,1301 dollar.

Le bitcoin perdait 1,08% à 48.540 dollars.

  
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Ribo Ribo
23/12/2021 17:06:09
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Economie


Washington, (a wp/a fp) - 23/12/2021 | 15:34

USA : les dépenses des ménages tirées par les services en novembre (gouvernement)

La consommation aux Etats-Unis a été tirée par les services en novembre, enregistrant cependant une progression moins forte qu'en octobre et se retrouvant toujours pénalisée par l'inflation annuelle qui a continué son escalade malgré un ralentissement sur un mois.

Les dépenses des ménages ont progressé de 0,6%, comme attendu, contre 1,4% en octobre, tandis que leurs revenus ont augmenté de 0,4%, contre 0,5% le mois passé, selon les données du département du Commerce publiées jeudi.

Les dépenses avaient grimpé en octobre, les consommateurs ayant pris un peu d'avance sur leurs achats de fin d'année par peur des pénuries.

L'inflation a ralenti sur un mois, à 0,6% contre 0,7% en octobre, selon l'indice PCE, également publié jeudi. Par rapport à novembre 2020, en revanche, elle continue à accélérer pour s'établir à 5,7%, la plus forte hausse des prix depuis 1982, contre 5,1% sur un an en octobre.

Cette inflation est notamment tirée par l'énergie, dont les prix sont en hausse de 34% sur un an. En excluant les prix de l'énergie et de l'alimentation, l'inflation dite sous-jacente est de 0,5% sur un mois, stable par rapport à octobre, mais s'accélère sur un an, à 4,7% contre 4,2% le mois dernier.

L'indice PCE de l'inflation est celui qu'utilise la banque centrale américaine. Une autre mesure, l'indice CPI, a calculé 6,8% d'inflation en novembre sur un an, un plus haut depuis 1982 également.

Le président Joe Biden a mis en avant mercredi les progrès réalisés pour atténuer les problèmes logistiques, notamment la congestion dans les ports, ce qui a permis, selon lui, d'éviter une crise d'approvisionnement pendant la période des fêtes: "les marchandises sont transportées, les cadeaux sont livrés et les rayons ne sont pas vides", s'est-il félicité.

Les chauffeurs de poids lourds, en revanche, manquent toujours.

Quant à l'inflation, elle est désormais l'une des préoccupations principales de l'administration.

La banque centrale américaine a revu ses prévisions à la hausse, et table sur une inflation PCE plus forte que prévu en 2021 et 2022, à 5,3% et 2,6% respectivement. Elle va, pour tenter de l'endiguer, accélérer le rythme de réduction de ses achats d'actifs, qui ont soutenu l'économie pendant la crise, afin de pouvoir ensuite relever ses taux directeurs, ce qui aura pour effet de ralentir la demande, et donc la hausse des prix.

  
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Ribo Ribo
23/12/2021 17:01:48
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Economie


23/12/2021 | 14:56►Etats-Unis : Les inscriptions au chômage inchangées à 205.000

Washington, (R eut ers) - Les inscriptions au chômage aux États-Unis sont restées stables lors de la semaine au 18 décembre, à 205.000, au même rythme que la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 205.000 inscriptions au chômage.

Les inscriptions de la semaine au 11 décembre ont été révisées en baisse par rapport à une estimation initiale de 206.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 206.250 contre 203.500 (révisé) la semaine précédente. Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités s'est élevé à 1,859 million lors de la semaine au 11 décembre (dernière semaine pour laquelle ces chiffres sont disponibles) contre 1,867 million la semaine précédente.

  
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Ribo Ribo
23/12/2021 07:01:00
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ASIE

  
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Ribo Ribo
23/12/2021 06:53:59
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VENDREDI 24 DÉCEMBRE

Marchés fermés en Allemagne,

clôture avancée à 13h30 au Royaume-Uni,

à 14h05 sur Euronext et

à 19h00 aux États-Unis

  
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Ribo Ribo
23/12/2021 06:52:13
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Buenos Aires, (aw p/af p) - 23/12/2021 | 06:35 ►L'Argentine rembourse ses échéances au FMI, qui s'interroge sur son prêt 2018

L'Argentine a remboursé mercredi la dernière échéance 2021 de sa dette au FMI, 1,9 milliards de dollars, tandis que le Fonds s'interrogeait sur les conditions de ce prêt colossal de 57 Mds en 2018, un réexamen réclamé par Buenos Aires, qui tente en même temps de renégocier la dette.

Le versement de près de 1,9 Mds USD a été confirmé à Buenos Aires de sources officielles - mais sans communication du gouvernement - portant à environ 5,2 Mds les remboursements cette année, entre capital et intérêts.

Les réserves de la Banque centrale attestaient en fin de journée de 39,15 Mds USD, soit 1,9 Mds de moins que la veille, soit le montant dû à la date.

L'Argentine, dont la solvabilité est mise en doute de manière récurrente, a affirmé ces dernières semaines qu'elle honorerait son échéance de décembre.

Mais il y a dix jours le ministre de l'Economie Martin Guzman, a toutefois assuré que le pays ne pourrait "en aucune manière" assumer les remboursement dus en 2022 et 2023, autour de 19 Mds chaque année (et environ 4,9 Mds en 2024).

Le gouvernement d'Alberto Fernandez, élu il y a deux ans, négocie un réaménagement de cette dette contractée en 2018 par le gouvernement (centre-droit) de l'ex-président Mauricio Macri (2015-2019). Un prêt de 57 Mds USD, record pour le FMI, mais dont 44 Mds seulement ont été versés, M. Fernandez ayant renoncé aux derniers décaissements.

"Un montant historique, un prêt absurde, dont on sait bien qu'il n'a été utilisé pour rien de bien", a redit mercredi Martin Guzman dont le gouvernement demandait également au FMI d'interroger les conditions de l'octroi de ce prêt.

Le FMI a rendu mercredi une enquête interne dans lequel il reconnait la faiblesse de son prêt de 2018, dans ce qui ressemble à un mea culpa.

Le souvenir de la "Gran crisis"

La stratégie et les conditions du prêt "n'étaient pas suffisamment solides pour faire face aux problèmes structurels profondément enracinés de l'Argentine, notamment la fragilité des finances publiques, l'inflation élevée (...) et une base d'exportation étroite", selon le rapport.

Les administrateurs du Fonds regrettent que le programme 2018 avec l'Argentine "n'ait pas atteint ses objectifs de rétablir la confiance des marchés, de réduire les déséquilibres externes et budgétaires, de réduire l'inflation et protéger les plus vulnérables parmi la population".

"Pour l'avenir, les administrateurs ont souligné que les conclusions de cette évaluation devraient éclairer les discussions sur un éventuel programme de suivi avec l'Argentine", poursuit le communiqué du FMI, immédiatement salué à Buenos Aires.

Depuis deux ans, le gouvernement traîne comme un boulet - et invoque politiquement dès qu'il le peut - le prêt de 2018, alors que le pays se redresse à peine de trois ans de récession, dont deux ans d'impact Covid, avec 40% de pauvreté, et une inflation, chronique elle, autour de 50% attendus pour 2021.

Le gouvernement a vu son budget 2022, misant sur une croissance de 4% en 2022 (10% attendus en 2021) et une relative maîtrise de l'inflation (33%) retoqué à la Chambre des députés. Cristina Kirchner avait connu le même revers sur son budget 2011, ce qui ne l'avait pas empêchée d'être réélue

Sur le plan des négociations, Argentine et FMI continuent de discuter: un round de négociations s'est tenu il y a deux semaines à Washington, et une visioconférence la semaine dernière entre la directrice générale du FMI Kristalina Georgieva et M. Fernandez.

Le rapport du FMI, que le gouvernement ne devrait pas manquer de brandir ces prochains jours, intervient à une période sensible à Buenos Aires, les 20 ans de la "Gran crisis" de décembre 2001, qui vit une Argentine en faillite exploser en pillages, manifestations, répression policière (39 morts), laissant un trauma durable.

Ces derniers jours, des dizaines de milliers d'Argentins ont manifesté a plusieurs reprises dans la capitale, à l'appel d'organisations de gauche plus ou moins proches du gouvernement, pour dire que "la dette est envers le peuple, pas le FMI".

  
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Ribo Ribo
22/12/2021 18:13:16
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Lance-toi ! Mais fais ça bien, on compte sur toi !

Oublie-pas d'installer un détecteur de CO², on sait jamais kec' fois quyaurait de la fréquentation...

  
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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
22/12/2021 18:04:24
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J'ai l'impression qu'il manque une file cours du CO2.

Je pense que cette indication est primordiale, pour l'économie.

  
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Ribo Ribo
22/12/2021 17:59:43
0

USA

L'indice de confiance des consommateurs américains du Conference Board pour le mois de décembre est ressorti à 115,8, contre 110,7 de consensus et 111,9 pour sa lecture révisée de novembre.

Les reventes de logements existants aux USA pour novembre, qui viennent également d'être publiées, se sont établies en croissance de 1,9% par rapport à octobre, sur un rythme de 6,46 millions, contre 6,51 millions de consensus et 6,34 millions un mois auparavant. En glissement annuel, ces reventes augmentent de près de 14%.

  
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