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MARCHÉS - Page 5



Ribo Ribo
27/01/2022 16:20:57
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Londres, (a w p/a f p) - 27/01/2022 | 16:16 ►L'euro au plus bas en un an et demi face au dollar après la Fed

L'euro trébuchait jeudi à des niveaux pas vus depuis plus d'un an et demi face à un dollar américain galvanisé par le message de la Réserve fédérale (Fed) la veille, qui a signalé un resserrement de sa politique monétaire.

Vers 15H00 GMT (16H00 HEC), l'euro cédait 0,71% à 1,1160 dollar. La monnaie unique européenne a reculé jusqu'à un niveau plus atteint depuis mai 2020 à 1,1135 dollar et perd près de 2% de sa valeur depuis le début de l'année.

Le comité de politique monétaire de la Fed "est d'avis d'augmenter les taux des fonds fédéraux lors de la réunion de mars, en supposant que les conditions soient appropriées pour le faire", a déclaré le président de l'institution, Jerome Powell, lors d'une conférence de presse.

Il n'a par ailleurs pas exclu que cette première hausse soit suivie d'autres montées successives au fil des réunions de la Fed.

"Bien que (une hausse à chaque réunion) soit peu probable, l'affirmation que chaque réunion à partir de maintenant est +active+ (avec un possible resserrement de la politique monétaire, ndlr) est un message clair d'action contre l'inflation", commente Matthew Ryan, analyste chez Ebury.

Ce ton déterminé de la Fed profite au dollar, alors que l'euro pâtit de la prudence de la Banque centrale européenne (BCE), qui se réunira pour la première fois de l'année la semaine prochaine.

"Avec des conditions financières détériorées et de nombreuses incertitudes qui pèsent" sur la reprise économique, "nous pensons qu'un message plus agressif que prévu de la BCE le 3 février est peu probable", estime Spyros Andrepoulos, analyste chez BNP Paribas.

Dernier indice en date sur la politique monétaire à venir en zone euro : le conseil des gouverneurs de la BCE a estimé en décembre qu'un "scénario d'inflation +plus élevée pendant plus longtemps+ ne pouvait être exclu", selon le compte-rendu de leur réunion.

Mais des "inquiétudes" se sont exprimées quant à "toute réduction prématurée" des soutiens monétaires, souligne la même source.

George Saravelos, analyste chez Deutsche Bank, estime que la pression inflationniste se traduit désormais par une hausse des salaires aux États-Unis, une tendance bien moins marquée en zone euro.

"La pression et l'urgence d'agir en Europe est très différente" de celle qui pèse sur la Fed, juge-t-il.

Enfin, les tensions en Ukraine entre l'Occident et la Russie profite au dollar, valeur refuge, et menace l'économie de la zone euro.

  
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Ribo Ribo
27/01/2022 13:50:21
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Ne cherchez plus où sont passés vos sous !


27/01/2022 | 13:19►Blackstone annonce un bénéfice record pour le quatrième trimestre

Blackstone Inc. a déclaré jeudi que ses bénéfices distribuables du quatrième trimestre avaient augmenté de 55 % pour atteindre un niveau record, le plus grand gestionnaire mondial d'actifs alternatifs ayant profité de la hausse des marchés pour vendre des actifs au prix fort.

Les opérations de capital-investissement ont permis aux fusions et acquisitions mondiales d'atteindre un niveau record en 2021, grâce à l'abondance de capitaux bon marché et à l'envolée des valorisations des entreprises.

Blackstone a déclaré que son bénéfice distribuable, qui représente les liquidités utilisées pour verser des dividendes aux actionnaires, a bondi à un niveau record de 2,3 milliards de dollars, contre 1,7 milliard un an plus tôt. Il en résulte un bénéfice distribuable par action de 1,71 $, qui a dépassé l'estimation moyenne des analystes de Wall Bourse de 1,37 $, selon le fournisseur de données financières Refinitiv.

  
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Ribo Ribo
27/01/2022 05:28:39
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Séoul (Re ut ers) - 27/01/2022 | 04:28 ►La Corée du Nord a procédé à des tirs de missiles

La Corée du Nord, qui multiplie les séries de tests de missiles balistiques depuis le début de l'année, a tiré ce qui semble être deux missiles balistiques au large de sa côte Est, a déclaré jeudi l'état-major de l'armée sud-coréenne.

L'état-major interarmées sud-coréen (JCS) a indiqué avoir détecté les tirs vers 08h00 du matin heure locale (23h00 GMT).

Les missiles semblent avoir atterri en dehors de la zone économique exclusive du Japon, a déclaré le ministre japonais de la Défense, Nobuo Kishi.

Le Premier ministre japonais, Fumio Kishida, a précisé que son gouvernement rassemblait encore des informations sur les tirs, mais que tout test de missile balistique était "extrêmement regrettable" et violait les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.

La Corée du Nord a procédé depuis le début du mois à six tests de missiles, alors que le numéro un nord-coréen Kim Jong-un a appelé lors de ses vœux du Nouvel An à un renforcement des capacités militaires du pays, citant le contexte sécuritaire sur fond d'impasse dans les discussions avec les États-Unis sur la dénucléarisation de la péninsule de Corée.

Ces tests ont été condamnés par de nombreux gouvernements, dont les États-Unis et le Japon. Une série de résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies, assorties de sanctions à l'encontre de Pyongyang, interdisent tout test de missile balistique et nucléaire nord-coréen.

  
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Ribo Ribo
27/01/2022 05:24:57
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ASIE 5h25

  
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Ribo Ribo
27/01/2022 01:17:36
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Washington, (a w p/a f p) - 26/01/2022 | 21:25►Les problèmes logistiques ne seront pas résolus d'ici à la fin de l'année (Fed)

Les problèmes logistiques ne seront pas résolus d'ici à la fin de l'année, a estimé mercredi le président de la banque centrale américaine (Fed), Jerome Powell, qui pense cependant que la situation s'améliorera au second semestre.

"Je ne dirais pas que je m'attends à ce que les problèmes des chaînes d'approvisionnement soient complètement résolus d'ici à la fin de cette année, je ne m'y attends pas", mais "je m'attends à ce que des progrès soient réalisés au cours du second semestre de cette année", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse.

  
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Ribo Ribo
27/01/2022 01:15:20
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New York, (aw p/af p) - 26/01/2022 | 23:30 ►Les marchés européens relancés avant la Fed, Wall Street mitigée

Les marchés, qui connaissent de fortes variations cette semaine, ont profité de rachats à bons comptes mercredi en Europe, tandis que Wall Street a conclu en ordre dispersé après les annonces de la Réserve fédérale américaine (Fed).

Le dollar a grimpé au plus haut en deux mois face à l'euro et le baril de Brent a dépassé les 90 dollars pour la première fois depuis 2014.

Wall Street a encore fait des montagnes russes avant de terminer mitigée: le Dow Jones a lâché 0,38%, le Nasdaq, qui avait grimpé en séance jusqu'à +3%, n'a finalement grappillé que 0,02% et le S&P 500 s'est replié de 0,15%.

Les indices européens ont connu une belle séance: Paris a gagné 2,11%, Francfort 2,22%, Londres 1,33% et Milan 2,27%. A Zurich, le SMI a gagné 1,28%.

Vers 20H00 GMT, le bitcoin était stable (+0,83%) à 36.860 dollars, toujours proche de son plus bas depuis 6 mois.

Les tensions géopolitiques faisaient par ailleurs plonger la monnaie russe, qui ne valait plus que 80 roubles pour un dollar, une première depuis novembre 2020.

Les incertitudes économiques et géopolitiques ont fait trembler les marchés, qui subissent un regain de volatilité depuis plusieurs séances.

Mais les investisseurs ont eu les yeux rivés sur la Fed et la conférence de presse de son président Jerome Powell. Il a indiqué que la Banque centrale était prête à augmenter ses taux directeurs lors de sa prochaine réunion, prévue mi-mars, comme s'y attendaient les marchés.

Mais il a aussi évoqué la réduction des actifs au bilan de l'institution, créant "davantage de questions que de réponses", selon Art Hogan, stratège des marchés pour National Security, et provoquant une incertitude qui a déplu aux indices de Wall Street.

Gonflé par la crise en Ukraine, le cours du baril de Brent pour livraison en mars a dépassé la barre des 90 dollars pour la première fois depuis 2014, avant de finir à 89,96 dollars, en hausse de 1,99%.

Quant au baril de West Texas Intermediate (WTI), également pour échéance en mars, il a progressé de 2,04% pour clôturer à 87,35 dollars.

Les tensions autour de l'Ukraine se sont fortement accrues ces dernières semaines, laissant planer une menace sur l'approvisionnement en pétrole, dans un marché déjà tendu, alors que la Russie est le plus grand producteur de pétrole des partenaires de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).

Les valeurs pétrolières en profitaient: à Londres, Shell a grimpé de 5,40% à 1.909,80 pence tandis que BP a gagné 3,81% à 394,10 pence. A Paris, TotalEnergies a pris 4% à 51,07 euros.

[...]

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 21:53:55
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New York (aw p/af p) - 25/01/2022 | 21:33 ►Le pétrole repart à la hausse, soutenu par la crise ukrainienne

Les cours du pétrole ont repris de la hauteur mardi, soutenus par les derniers développements de la crise ukrainienne, qui se superposent à un marché déjà inquiet d'une offre insuffisante.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, contrat le plus échangé à Londres, à gagné 2,23% pour finir à 88,20 dollars.
A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI), également pour échéance en mars, a lui pris 2,74% pour clôturer à 85,60 dollars.

"Cette situation fait clairement peser un risque d'une réduction de l'offre", a souligné Robert Yawger, responsable des contrats à terme sur l'énergie chez Mizuho Securities.

"La Russie exporte cinq millions de barils par jour. Donc il suffit qu'on ait des sanctions ou des problèmes d'acheminement, un oléoduc qui explose ou un terminal de stockage qu'on ferme" pour que l'offre se contracte, a poursuivi l'analyste.

Le marché mondial de l'or noir "est déjà tendu, donc on ne peut pas se permettre de perdre un baril de plus", a insisté Robert Yawger.

Après la mise en alerte de 8.500 militaires américains lundi, les forces armées russes ont lancé mardi une nouvelle série de manœuvres à proximité de l'Ukraine et en Crimée annexée.

Mardi toujours, un haut responsable américain a mis en garde Moscou contre toute "instrumentalisation" de ses ventes d’hydrocarbures. "La Russie a au moins autant besoin des revenus du gaz et du pétrole que l'Europe a besoin de ses livraisons d'énergie", a déclaré le responsable.

Après avoir accompagné lundi dans le rouge les marchés actions, qui ont eux fini par se redresser, les cours du brut ont changé résolument de cap mardi alors que Wall Street évoluait en ordre dispersé.

La Russie n'est pas le seul pays producteur sur lequel les investisseurs ont les yeux braqués, a rappelé Louise Dickson, analyse du cabinet Rystad Energy.

Les Émirats arabes unis, plusieurs fois attaqués ces derniers jours par des tirs des rebelles Houthis du Yémen, ou la Libye, qui n'a toujours pas de date pour ses élections, ce qui bloque une partie de la production, sont aussi scrutés.

La publication mercredi du rapport hebdomadaire sur les stocks américains de brut pourrait pousser le marché à flirter de nouveau avec les sommets de 7 ans établis la semaine dernière, selon Robert Yawger (89,50 dollars pour le Brent).

Les analystes tablent sur une baisse de 800.000 barils, selon le consensus établi par l'agence Bloomberg, ce qui serait la huitième baisse en neuf semaines. Un recul d'au moins 600.000 barils inscrirait les réserves au plus bas depuis 2018, selon Robert Yawger.

Pour Edward Moya, analyste d'Oanda, un discours ferme de la Banque centrale américaine (Fed) mercredi à l'issue de la réunion de son comité de politique monétaire pourrait cependant "pousser le marché à fuir le risque, un mouvement auquel même les prix du pétrole ne pourraient pas se soustraire".

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 21:47:12
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25/01/2022 | 21:36 ►La Bourse US glisse de plus de 2%, la crise technologique s'aggrave et la réunion de la Fed est attendue.

Les indices boursiers américains ont glissé mardi, le S&P 500 étant en passe de confirmer une correction, la chute des valeurs technologiques avant la réunion de politique générale de la Réserve fédérale ayant éclipsé les bons résultats des sociétés de premier ordre, dont IBM et 3M.

L'indice de référence a failli confirmer une correction lundi avant de rebondir en fin de séance. Une correction est confirmée lorsqu'un indice clôture 10 % ou plus en dessous de son niveau record de clôture.

Les actions américaines ont connu un début d'année 2022 mouvementé, le S&P 500 ayant perdu 10,4 % par rapport à son record de clôture du 3 janvier, tandis que le Nasdaq, à forte composante technologique, a connu son pire début d'année depuis 1980.

La Fed tiendra plus tard dans la journée sa réunion de politique monétaire de deux jours, qui sera suivie de près pour connaître le calendrier de la banque centrale concernant le relèvement des taux d'intérêt directeurs pour lutter contre l'inflation.

Les traders des contrats à terme sur les fonds fédéraux tablent sur une hausse de 25 points de base en mars, en plus de trois autres hausses de taux d'ici la fin de l'année.

Les 11 principaux secteurs du S&P 500 ont tous reculé dans les premiers échanges, huit d'entre eux ayant perdu plus de 2 % chacun.

"Il semble simplement que le marché réagisse à la nouvelle réalité d'une politique plus stricte de la part de la Fed... vous ne verrez probablement personne prendre des paris énormes avant la réunion de mercredi", a déclaré Dan Eye, directeur des investissements chez Fort Pitt Capital Group.

Les tensions géopolitiques en Ukraine ont ajouté à l'incertitude, le ministère américain de la défense ayant déclaré qu'environ 8 500 soldats américains avaient été placés en état d'alerte renforcée.

[...]

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 20:35:31
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(CF.com) - 25/01/2022 | 19:16 ►Taux : le 'risk-off' ne fonctionne plus à 24H communiqué FED

A 24H du communiqué de la FED, les marchés obligataires ont évolué en ordre dispersé.
Les rendements des emprunts d'Etat n'ont connu qu'un bref épisode de détente la veille avant une nouvelle dégradation générale ce mardi.

Le rendement des Treasuries à 10 ans se tend de +2Pts et se stabilise autour de 1,755% après un 'pic' intraday à 1,79% contre 1,7100% lundi en fin d'après-midi.

Les T-Bonds ne bénéficient donc pas aujourd'hui d'une rotation sectorielle de type 'risk-off', les anticipations de hausse des taux US prenant le pas sur 2 indicateurs 'macro' pas très rassurants: l'indice Case/Shiller traduit une flambée de +18,5% des prix de l'immobilier en rythme annuel (dont +1,2% en novembre).
La confiance du consommateur américain s'est dégradée en janvier, selon l'indice du Conference Board qui s'est établi à 113,8 contre 115,2 pour décembre 2021 (révisé de 115,8 en estimation initiale).

Dans le détail, si la composante de la situation présente s'est améliorée d'un mois sur l'autre, passant de 144,8 à 148,2, cette amélioration a été plus que contrebalancée par le plongeon des 'attentes', passée de 95,4 à 90,8.
La crainte d'une accélération de l'inflation et d'un durcissement monétaire pourraient être confirmés par le communiqué que publiera la banque centrale demain : elle devrait dévoiler son calendrier de resserrement monétaire et confirmer le dégonflement de son 'bilan' (qui atteindra les 9.000Mds$ à fin mars, contre 900Mds$ avant la crise financière de 2008).

L'ambiance n'était pas plus favorable en Europe nos OAT se retendent de +2Pts vers 0,3300%, les Bunds affichent +2Pts à -0,082%.
Plus au sud, les Bonos finissent quasi stables (+0,5Pt à 0,64%), les BTP prennent +1Pt à 1,346%.
La plus mauvaise performance du jour revient aux Gilts UK qui se dégradent de +3,5Pts vers 1,166%.

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 20:28:45
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Washington, (a wp/a fp) - 25/01/2022 | 20:13 ►Le FMI exhorte le Salvador à retirer le bitcoin comme monnaie légale

Le Fonds monétaire international a exhorté mardi le Salvador à retirer le Bitcoin comme monnaie officielle, estimant qu'il y avait "des risques importants associés à son utilisation sur la stabilité financière, l'intégrité financière et la protection des consommateurs".

Le conseil d'administration exhorte "les autorités à réduire la portée de la loi Bitcoin en supprimant le statut légal de Bitcoin", explique l'institution dans un communiqué. "Certains administrateurs ont également exprimé leur inquiétude quant aux risques associés à l'émission d'obligations adossées au Bitcoin".

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 06:59:17
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@ZIKEL,

c'est une file d'infos, pas d'opinions, merci de t'abstenir.

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 06:42:25
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SEMI-CONDUCTEURS USA

►Quand on investi aux US c'est en dizaines de milliard de $, pas de millions comme en Europe...

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 05:17:29
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Red is raide !

https://

fr.investing.com/indices/major-indices

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 03:50:39
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Red is raide...


CBOE Volatility Index (CFD) ► +3,64% à 03:00:37

S&P 500 VIX Fév 2022 ► +4,10% à 03:49:04 (Indice de la peur)

ASIE ▼

  
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Ribo Ribo
25/01/2022 02:52:58
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Prix et disponibilités des matières plastiques : prévisions et inquiétudes pour 2022

https://

www.polyvia.fr/fr/prix-du-plastique-les-previsions-pour-2022

  
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Ribo Ribo
24/01/2022 16:20:45
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(B ours ier le 24/01/2022 à 15:46►Etats-Unis : PMI composite sans relief

L'indice PMI composite américain du mois de janvier 2022 est ressorti à 50,8 seulement, contre 56,7 de consensus de marché. L'indicateur manufacturier s'est établi à 55, contre 57 de consensus. Enfin, l'indice des services a été de 50,9, contre 55 de consensus.

Ces chiffres signalent donc un net ralentissement de l'expansion américaine au mois de janvier.

  
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Ribo Ribo
24/01/2022 16:07:49
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(B ours ier le 24/01/2022 à 10:02►Repli limité de la croissance économique dans la zone euro en janvier

La croissance économique de la zone euro a ralenti pour un deuxième mois consécutif en janvier, la propagation du variant Omicron ayant impacté de manière croissante l'économie de la région. Si une atténuation des tensions d'approvisionnement a favorisé un rebond de la production manufacturière au cours du mois, la réintroduction des restrictions sanitaires a en revanche entraîné un fort ralentissement de la croissance de l'activité dans le secteur des services.

L'indice PMI flash composite de l'activité globale dans la zone euro se replie ainsi de 53,3 à 52,4, au plus bas de 11 mois (52,6 de consensus). Dans le détail, l'indice PMI flash de l'activité de services recule de 53,1 en décembre à 51,2 (52 attendus), sur un plancher de 9 mois, alors que l'indice PMI flash de l'industrie manufacturière atteint 59,0 (58 en décembre et 57,5 de consensus), au plus haut depuis 5 mois.

Chris Williamson, Chief Business Economist à IHS Markit, commente ainsi les derniers chiffres de l'enquête : "si la propagation du variant Omicron a entraîné une nouvelle chute des dépenses de consommation en début d'année - notamment dans les secteurs d'activité impliquant un contact direct avec les clients tels que le tourisme, les voyages et les loisirs -, les répercussions globales de la nouvelle vague épidémique se sont pour l'heure révélées relativement modestes. En outre, malgré cette recrudescence de la pandémie, les tensions sur les chaînes d'approvisionnement se sont à nouveau allégées en janvier, cette tendance ayant favorisé un rebond de la production des fabricants et s'étant accompagnée d'un ralentissement de l'inflation des coûts dans le secteur manufacturier. L'impact baissier de la vague Omicron sur les perspectives d'activité des prestataires de services semble en outre moins sévère que celui des vagues épidémiques précédentes, tandis que, dans le secteur manufacturier, la confiance s'est renforcée par rapport à décembre".

  
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Ribo Ribo
24/01/2022 15:44:33
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(B ours ier le 24/01/2022 à 14:33►Etats-Unis : indice d'activité nationale de la Fed de Chicago dans le rouge

L'indice d'activité nationale de la Fed de Chicago pour le mois de décembre 2021 est ressorti négatif de -0,15, contre un consensus de 0,25 et un niveau révisé (en hausse) à 0,44 pour le mois antérieur. L'indicateur ressort donc dans le rouge, ce qui signale une expansion inférieure à la normale en fin d'année dernière.

  
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Ribo Ribo
24/01/2022 10:39:46
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HHHHHAAAAAAAAAAAA...................................

  
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Ribo Ribo
24/01/2022 02:56:29
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Washington, (aw p/a fp) - 23/01/2022 | 09:53 ►La Fed prête à relever ses taux face à l'inflation aux États-Unis

Halte à l'inflation: la banque centrale américaine (Fed) se prépare à relever ses taux directeurs pour lutter contre la flambée des prix, et décidera, lors de sa réunion mardi et mercredi, du rythme et de l'ampleur du mouvement.

La balle est dans le camp de la Réserve fédérale pour ralentir la demande et tempérer l'inflation, car ses taux directeurs donnent le ton aux banques commerciales pour fixer leurs taux d'intérêts. Or si le crédit coûte plus cher, particuliers et entreprises consomment ou investissent moins.

"Un signal" est ainsi attendu quant au "moment où la première hausse des taux aura lieu, a priori lors de la réunion (de la Fed) de mars", selon l'économiste Joel Naroff.

"Si telle est l'intention, ce serait bien que l'équipe qui a soudainement découvert l'inflation le dise clairement", a-t-il ironisé.

Car la flambée des prix l'an passé a surpris les économistes, et les responsables de la Fed ont récemment marqué un brutal revirement sur le sujet, inquiets d'une inflation qu'ils ont alors cessé de considérer comme "temporaire".

L'institution a, en décembre, accéléré le rythme de réduction de ses achats d'actifs avec l'objectif de les arrêter en mars, avec trois mois d'avance sur le calendrier initial. Ces injections de liquidités avaient permis de soutenir l'économie pendant la crise, et les ramener à zéro est un préalable pour pouvoir relever les taux directeurs.

Hausse en mars, ou dès janvier?◄

"Je pense que (les responsables de la Fed) indiqueront clairement que la réduction (des achats d'actifs) se terminera à temps pour qu'ils puissent relever les taux lors de la réunion de mars", a déclaré à l'AFP David Wessel, économiste pour la Brookings Institution.

Les taux directeurs avaient été abaissés à zéro en mars 2020 lorsque la pandémie de Covid a éclaté pour stimuler la consommation, moteur de l'économie américaine. Mais la demande est désormais très forte, et fait face à une offre qui ne suit pas, à cause des difficultés mondiales d'approvisionnement.

Résultat, les prix grimpent, et l'inflation a atteint aux États-Unis 7% en 2021, au plus haut depuis près de 40 ans.

Les acteurs sur les marchés s'attendent à une très large majorité (94,4%) à ce que la Réserve fédérale maintienne son taux au jour le jour entre 0% et 0,25%, selon l'évaluation des produits à terme de CME Group.

Quelques-uns, cependant, misent sur une hausse d'un quart de point (25 points de base) dès cette semaine, sans attendre mars.

Spéculations◄

"Le débat autour des perspectives à très court terme de la Fed s'intensifie à nouveau", relève ainsi Krishna Guha, économiste pour Evercore, société de conseil en investissements. Parmi les spéculations: "un arrêt soudain (des achats d'actifs) et peut-être même une hausse des taux" dès cette semaine.

Autre hypothèse: "une hausse démesurée de 50 points de base lors de la réunion de mars", souligne-t-il. C'est-à-dire faire passer d'un seul coup les taux directeurs, actuellement compris entre 0 et 0,25%, à une fourchette de 0,50 à 0,75%.

"Je ne vois pas une hausse de 50 points de base en mars, nous n'avons pas préparé les marchés à quelque chose d'aussi spectaculaire", avait toutefois récemment tempéré l'un des gouverneurs de la Fed, Christopher Waller, évoquant une hausse de 25 points en mars.

"Si l'inflation ne semble pas baisser, ce serait certainement dans la boîte à outils, mais il nous en faudrait beaucoup pour aller dans cette direction", avait-il ajouté.

La lutte contre l'inflation exigera un effort "de longue haleine", a prévenu Joe Biden mercredi, jugeant "approprié" pour la Fed "de recalibrer (son) soutien".

L'institution était réticente à relever trop tôt ses taux d'intérêts, pour ne pas peser sur l'emploi. Mais selon Joel Naroff, "nous sommes déjà au plein emploi".

Le taux de chômage a reculé en décembre à 3,9%, se rapprochant des 3,5% d'avant la pandémie. La croissance du PIB pour 2021 sera, elle, annoncée au lendemain de la réunion de la Fed, jeudi, et est attendue autour de 5 ou 6%.

  
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