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MARCHÉS - Page 6



Ribo Ribo
24/01/2022 02:41:58
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Vienne, (Reu ters) - 23/01/2022 | 15:10 ►Grande incertitude en matière d'inflation, dit Holzmann (BCE)

Il existe "une grande incertitude" quant à la durée pendant laquelle l'inflation restera bien au-dessus de l'objectif de la Banque centrale européenne (BCE) d'environ 2%, a déclaré Robert Holzmann, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE, lors d'un entretien au journal Die Presse publié dimanche.

La BCE a longtemps estimé que l'inflation baisserait cette année par rapport à son niveau record actuel, une perspective que sa présidente Christine Lagarde a réaffirmée vendredi.

L'inflation de la zone euro a atteint 5% en décembre, soit plus du double de l'objectif de la BCE, mais la banque la voit repasser sous la barre des 2% d'ici au quatrième trimestre.

"Il n'est pas encore exclu que cela se produise. Cependant, nous ne savons pas non plus si l'inflation restera finalement à un niveau plus élevé", a déclaré Robert Holzmann, gouverneur de la Banque nationale d'Autriche.

"L'inflation est-elle donc une montagne ou est-elle en train de devenir un haut plateau ? Il y a beaucoup d'incertitude là-dessus car elle ne peut pas non plus être très bien reproduite par nos modèles", a-t-il également souligné auprès du journal autrichien Die Presse.

Des effets secondaires comme des augmentations de salaires seraient majeurs, a-t-il ajouté tout en soulignant, comme Christine Lagarde, qu'il n'y avait pour l'instant aucun signe d'une spirale prix-salaires, mais que beaucoup dépendrait des négociations salariales cette année.

"Fondamentalement, il y a donc le danger d'une spirale salaires-prix. Je pense cependant que les représentants des travailleurs et des employeurs agissent ici de manière très rationnelle et réfléchie."

  
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Ribo Ribo
22/01/2022 01:55:39
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21/01/2022►L'importance des goulets d'étranglement au niveau de l'offre en France (Banque de France)

https://blocnotesdeleco.banque-france.fr/sites/default/files/billet_252_vf_def.pdf

  
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Ribo Ribo
20/01/2022 03:23:53
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Aujourd'hui ▼

  
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Ribo Ribo
18/01/2022 08:11:12
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Les immatriculations de voitures neuves en UE ont ont chuté de 23%...
Les immatriculations de Hyundai ont fléchi de 1,6%...
Les immatriculations de Toyota ont baissé de 22% en décembre...
Les immatriculations de BMW ont reculé de 24%...
Les immatriculations de Volkswagen ont chuté de 32% en...
Les immatriculations de Daimler ont diminué de 20%...
Les immatriculations de Renault ont baissé de 13%...
Les immatriculations de Stellantis ont reculé de 25% en décembre...
Les immatriculations de voitures neuves en Grande-Bretagne chutent de 18,2 %...

  
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Ribo Ribo
18/01/2022 07:03:22
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(a wp/a fp) - 18/01/2022 | 06:26 ►Pétrole : le Brent au plus haut depuis 2014, dopé par des tensions sur l'offre

Le prix du pétrole de Brent a atteint mardi un plus haut en sept ans, dopé par les perturbations de l'offre en Libye et au Nigeria entre autres, et par une remontée de la demande, malgré le variant Omicron.

Le cours du baril de Brent de la mer du Nord évoluait à 87,28 dollars vers 06h00 mardi (+0,94%), dépassant ainsi son record d'octobre 2014 (86,74 dollars). Il avait déjà rattrapé la veille son sommet d'octobre 2018.

Le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en février montait pour sa part de 0,68% à 84,86 dollars.

Plusieurs facteurs contribuent à ce rebond, notamment les interruptions de production "en Libye, au Nigeria, en Angola, en Equateur et, plus récemment, au Canada en raison du froid extrême", selon Hussein Sayed, analyste chez Exinity.

"Les marchés restent concentrés sur l'équilibre délicat entre l'offre et la demande, qui semble avoir un impact assez important sur les fluctuations de prix tout au long de la reprise économique post-pandémie", remarque Walid Koudmani, analyste chez XTB.

Le Nigeria produit par exemple 0,5 million de barils par jour en moins depuis la mi-2020, soit 1,4 million de bpj, selon les chiffres de SEB. L'offre de l'Angola recule également depuis 2016, pour atteindre 1,2 million de barils par jour désormais.

Le risque géopolitique s'ajoute également à l'équation. Si le conflit entre la Russie et l'Ukraine s'intensifie et entraîne de nouvelles perturbations de l'approvisionnement en gaz russe de l'Europe, les prix de l'énergie, et donc du brut, pourraient encore augmenter, selon certains analystes.

Vendredi, les États-Unis avaient accusé la Russie d'avoir dépêché en Ukraine des agents chargés de mener des opérations de "sabotage" afin de créer un "prétexte" pour une invasion du pays voisin. De quoi renforcer encore les tensions entre les deux pays au moment où une cyberattaque d'ampleur touchait l'Ukraine.

Les prix du gaz naturel, toujours très élevés, contribuent à la hausse des cours du pétrole. Il en résulte "une augmentation de la demande de diesel et de fioul en remplacement du gaz naturel, partout où cela est possible", souligne Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB.

Et le variant Omicron du Covid-19, d'abord perçu comme une menace pour les achats de brut, s'avère moins grave pour la demande que ses prédécesseurs, n'impactant pas les consommateurs de carburant.

L'Opep en position de force◄

"Seuls les membres de l'Opep et leurs alliés peuvent faire baisser les prix à ce stade en pompant davantage de brut", relève M. Sayed.

"Au lieu de cela, les pays de l'Opep+ vont probablement s'en tenir à leur stratégie d'assouplissement progressif des réductions de production, car ils profitent des prix élevés actuels", poursuit-il.

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses partenaires (Opep+) annoncent en effet mois après mois des augmentations marginales de leurs objectifs d'extractions, et peinent à les atteindre, ce qui ne devrait pas permettre de répondre aux besoins.

L'Arabie saoudite avait affirmé au début de l'année que le respect de l'accord et des plafonds était essentiel. En d'autres termes, les membres disposant d'une capacité de réserve ne peuvent pas et ne doivent pas intervenir pour compenser le manque de production des membres qui ne sont pas en mesure de respecter leurs plafonds.

"Les écarts de production de l'Opep+ devraient se creuser, la Russie étant le prochain grand facteur de déficit", prévoit Joel Hancock pour Natixis. Selon lui, la croissance de l'offre de pétrole hors Opep+ et hors États-Unis étant "relativement faible", il faudra "faire appel au pétrole de schiste américain pour répondre à la croissance prévue de la consommation".

Pendant la pandémie, le plongeon des cours du brut avait fait basculer dans l'insolvabilité des entreprises de forage de pétrole de schiste, dont le coût de production est bien plus élevé que le pétrole léger foré par exemple en Arabie saoudite.

De nombreux analystes s'attendent désormais à voir les prix du brut dépasser les 90 dollars le baril, voire la barre des 100 dollars. Selon Hussein Sayed, "ce qui semblait impossible il y a quelques mois a maintenant de fortes chances de se produire".

  
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Ribo Ribo
17/01/2022 20:02:20
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Paris, (a w p/a f p) - 17/01/2022 | 18:59 ►Les bourses européennes rebondissent grâce à la Chine, sans Wall Street

Les Bourses européennes sont reparties à la hausse lundi, retrouvant un peu d'optimisme après des éléments positifs concernant l'économie chinoise. Les indices européens ont progressé de 0,82% à Paris, de 0,32% à Francfort, de 0,91% à Londres et de 0,52% à Milan. A Zurich, le SMI a gagné 0,86%.

Wall Street est restée fermée pour le jour férié du Martin Luther King Day.

"Les bonnes nouvelles proviennent du PIB chinois", affirme Yann Azuelos, gestionnaire de portefeuille au sein de Mirabaud France: la Chine a rapporté un Produit intérieur brut (PIB) en hausse de 8,1% en 2021, au plus haut depuis une décennie.
Toutefois, au quatrième trimestre, la croissance s'est essoufflée (+4% sur un an, après 4,9% au précédent).
Donnée inquiétante pour la demande intérieure, les ventes au détail, principal indicateur de la consommation, ont augmenté le mois dernier de 1,7% seulement sur un an, leur plus faible progression depuis l'été 2020.

Sur le plan sanitaire, le nombre de cas quotidiens de Covid-19 en Chine a atteint lundi son plus haut niveau depuis mars 2020, alors que Pékin tente d'éradiquer le variant Omicron à trois semaines des Jeux olympiques d'hiver.
"La politique du zéro Covid amène certaines régions à remettre en place un confinement, mais nous sommes dans la période des grandes vacances en Chine, le moment où il y a l'activité la moins élevée", rassure Yann Azuelos.

Néanmoins, "comme il y a un risque de ralentissement de l'économie, l'État relance des mesures de soutien", complète-t-il.
La Banque centrale chinoise a, en effet, abaissé un taux directeur clé pour la première fois depuis avril 2020 afin de soutenir l'économie. Le taux auquel elle prête aux banques du pays a été réduit de 10 points de base, une mesure qui vise à faciliter les prêts aux entreprises.

Les investisseurs suivront cette semaine les publications de résultats des entreprises, qui pourraient se révéler être "des leviers pour les valeurs peu sensibles à la hausse des taux d'intérêt ou celle qui en bénéficient" anticipe M. Azuelos.

Sur le marché obligataire, les taux d'intérêt européens ont légèrement progressé, celui de la dette allemande à 10 ans atteignant 0,029%, tout proche de zéro pour la première fois depuis avril 2019.

Le luxe rebondit◄

Après avoir nettement reculé en fin de semaine dernière, les valeurs du luxe ont repris des couleurs lundi.

A Paris, Hermès a pris 3,58%, en tête du CAC 40.Kering a gagné 2,37%, LVMH 1,63% et L'Oréal de 1,54%. A Londres, Burberry a progressé de 1,98% et à Milan Tod's a grimpé de 2,47%.

Bel horizon pour l'énergie britannique◄

A Londres, BP (+1,30% à 393,75 pence), Shell (+1,25% à 1.845,40 pence) et SSE (+0,41% à 1.583 pence) ont progressé. Ils font partie des candidats ayant remporté les 17 concessions d'éoliennes en mer accordées lundi par les autorités écossaises à l'issue de méga-enchères.

Unilever résolu à acheter la branche grand public de GSK◄

Unilever a dévissé de 6,97% à 3.662 pence à Londres, après avoir confirmé son offre de rachat d'une unité de GSK, à 50 milliards de livres. GSK, qui a rejeté l'offre, s'est quant à lui envolé de 4,07% à 1.707,80 pence.

Démission du président de Credit Suisse◄

Le président de Credit Suisse Antonio Horta-Osório, éclaboussé par des révélations autour des règles de quarantaine qu'il a enfreintes, a démissionné de ses fonctions, a annoncé la banque, qui a choisi Axel Lehmann pour lui succéder. L'action Credit Suisse a perdu 2,26% à 9,33 francs suisses.

Du côté du pétrole, de l'euro et du bitcoin◄

Les cours du pétrole prolongeaient leurs gains, vers 17H30 GMT. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour échéance en mars montait de 0,41% à 86,41 dollars après avoir atteint plus tôt 86,71 dollars le baril, au plus haut depuis octobre 2018.
À New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en février prenait 0,36% à 84,12 dollars.

La monnaie européenne était stable (-0,01%) à 1,1411 dollar.
Le bitcoin cédait 1,94% à 42.135 dollars.

  
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Ribo Ribo
17/01/2022 07:32:05
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Salut Dubé, non, plutôt noctanbule...

  
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Dubaisan Dubaisan
17/01/2022 06:41:45
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Salut Ribo,

Tu es particulierement matinal.... !!

  
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Ribo Ribo
17/01/2022 04:23:33
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Marchés asiatiques à 4h18min

  
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Ribo Ribo
14/01/2022 21:07:39
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14/01/22 18:51►Le vaccin de Novavax le NUVAXOVID est autorisé en France, quand et pour qui ? (Julie M a l o)

La Haute autorité de santé a donné son feu vert, ce vendredi, au vaccin anti-Covid de Novavax, le Nuvaxovid.

Pour l'exécutif, le sérum de Novavax cristallise l'espoir de pousser à la vaccination les 9,2% toujours récalcitrants.

C'est fin janvier que sont attendues les livraisons des premières doses du vaccin Nuvaxovid.


https://

www.linternaute.com/actualite/guide-vie-quotidienne/2582620-vaccin-novavax-autorise-en-france-quand-et-pour-qui/

  
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Ribo Ribo
14/01/2022 20:46:50
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C'est une zone laïque ici, merci !

  
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Invectus Invectus
14/01/2022 19:54:07
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Allah Ho Akbar!

  
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Luncyan Luncyan
14/01/2022 14:59:40
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Inchallah

  
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Ribo Ribo
14/01/2022 14:58:36
1

Francfort, (Reu ters) - 14/01/2022 | 14:29►La BCE prendra toutes les mesures pour garantir une inflation à 2%

La Banque centrale européenne (BCE) reste confiante dans le fait que l'inflation s'atténuera cette année mais se tient prête à ajuster sa politique pour parvenir à cet objectif, a déclaré vendredi la présidente de l'institution Christine Lagarde.

Message complété le 14/01/2022 15:00:00 par son auteur.

"Nous comprenons que la hausse des prix soit une préoccupation pour de nombreuses personnes et nous prenons très au sérieux cette préoccupation", a-t-elle dit alors que l'inflation dans la zone euro a atteint 5% en rythme annuel le mois dernier, plus du double de l'objectif de 2% de la BCE.

"Notre détermination à maintenir la stabilité des prix reste entière", a-t-elle dit dans un discours. "Nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour garantir le respect de notre objectif d'inflation de 2% sur le moyen terme."

  
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Ribo Ribo
14/01/2022 04:16:49
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Washington, (a w p/a f p) - 13/01/2022 | 23:36 ►L'inflation, préoccupation numéro une et cible à abattre aux États-Unis

L'inflation a bondi parmi les principales préoccupations des chefs d'entreprise américains, selon une enquête publiée jeudi, tandis que la future numéro 2 de la banque centrale a confirmé que l'institution était en train de fourbir ses armes, prête à agir.

"Je suis très préoccupée par le niveau élevé de l'inflation", a souligné jeudi Lael Brainard, la future vice-présidente de la banque centrale américaine (Fed), lors d'une audition devant la commission bancaire du Sénat.

"Nous entendons des familles de travailleurs à travers le pays parler d'inflation (...). Nous avons un outil puissant et nous allons l'utiliser", a-t-elle assuré.

Face à des prix qui ont grimpé de 7% en 2021, leur plus forte hausse en près de 40 ans, la puissante Réserve fédérale est donc sur le pied de guerre. Son arme : des taux directeurs, qu'elle s'apprête à relever plus tôt et plus fort que prévu, sans doute dès mars. L'objectif: renchérir le coût du crédit, et, par ricochet, faire reculer la consommation.

"Nous avons un outil qui agit sur la demande, qui est le taux directeur", a souligné la future numéro 2 de la Fed, qui, si sa nomination est confirmée par le Sénat, prendra ses fonctions en février.

Offre et demande◄

Mais l'exercice est délicat, car il faut éviter de frapper trop fort, ce qui pèserait sur l'emploi.

Mme Brainard s'est dite convaincue que les mesures que prendra la Fed "réduiront l'inflation tout en continuant à permettre au marché du travail de retrouver sa pleine vigueur au fil du temps. Nous allons donc retrouver le plein emploi tout en ramenant l'inflation à 2%".

L'inflation est aussi devenue une préoccupation majeure pour les dirigeants d'entreprises, qui s'inquiètent de la voir persister au-delà de 2022, selon une enquête publiée jeudi par le centre de recherche économique Conference Board.

Un marché du travail tendu, une demande qui reste forte et une trajectoire du Covid incertaine pourraient cependant contribuer à faire encore grimper les prix, a alerté jeudi Jason Furman, ancien conseiller économique du président Barack Obama et professeur à Harvard, dans une tribune publiée par le Wall Street Journal.

"Je m'attends à ce que l'inflation reste élevée cette année, peut-être même plus qu'en 2021", a-t-il alerté.

Mais les économistes restent divisés: "je continue à croire que (...) la poussée indésirable de l'inflation en 2021 (...) se montrera au final largement transitoire avec une politique monétaire appropriée", a ainsi commenté l'actuel vice-président de la Fed, Richard Clarida, dans un document de recherche publié jeudi.

"Bidenflation"◄

Si la banque centrale peut agir sur la demande des consommateurs, elle n'a en revanche pas de levier d'action sur l'autre origine de la hausse des prix : l'offre, c'est-à-dire les perturbations sur la chaîne mondiale d'approvisionnement.

Elles ne se sont pas résorbées comme le prévoyaient de nombreux analystes, et pourraient même être accrues par le variant Omicron.

Aux États-Unis, ce phénomène est renforcé par les pénuries de main d’œuvre qui ralentissent la production et les livraisons, limitant encore plus l'offre.

En face, la demande est, elle, très forte, grâce aux aides financières du gouvernement face à la pandémie, mais aussi aux fortunes des propriétaires immobiliers et détenteurs de portefeuilles d'actions qui ont grossi, avec la hausse des prix de ces actifs.

Cette flambée du coût de la vie est une des nombreuses épines dans le pied de Joe Biden, et l'opposition républicaine ne manque pas de lui en attribuer les torts, surnommant désormais la hausse des prix, la "Bidenflation".

Pour agir sur l'offre, la Maison Blanche doit annoncer de nouvelles mesures afin de résorber l'engorgement dans les ports américains.

Une brève éclaircie est toutefois venue des prix de gros, qui ont, en décembre, augmenté de 0,2%, bien moins vite qu'au cours des mois précédents, selon l'indice PPI, une mesure de l'inflation côté fabricants et vendeurs, publié jeudi par le département du Travail.

  
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Ribo Ribo
14/01/2022 04:01:49
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14/01/2022 | 02:59 ►Des pirates nord-coréens ont volé 400 millions de dollars en cryptomonnaies en 2021 - rapport

La Corée du Nord a lancé au moins sept attaques contre des plateformes de cryptomonnaies qui ont permis d'extraire près de 400 millions de dollars d'actifs numériques l'année dernière, l'une des années les plus fructueuses qu'elle ait connues, a indiqué la société d'analyse de blockchain Chainalysis dans un nouveau rapport.

"De 2020 à 2021, le nombre de hacks liés à la Corée du Nord a bondi de quatre à sept, et la valeur extraite de ces hacks a augmenté de 40%", indique le rapport publié jeudi.

"Une fois que la Corée du Nord a obtenu la garde des fonds, elle a commencé un processus de blanchiment minutieux pour couvrir et encaisser", ajoute le rapport.

Un groupe d'experts des Nations unies chargé de surveiller les sanctions contre la Corée du Nord a accusé Pyongyang d'utiliser les fonds volés pour soutenir ses programmes nucléaire et balistique afin de contourner les sanctions.

La Corée du Nord ne répond pas aux demandes des médias, mais a déjà publié des déclarations niant les allégations de piratage.

L'année dernière, les États-Unis ont inculpé trois programmeurs informatiques nord-coréens travaillant pour les services de renseignement du pays pour un piratage massif, qui a duré des années, visant à voler plus de 1,3 milliard de dollars en argent et en cryptomonnaies, affectant des entreprises allant des banques aux studios de cinéma d'Hollywood.

Chainalysis n'a pas identifié toutes les cibles des piratages, mais a déclaré qu'il s'agissait principalement de sociétés d'investissement et d'échanges centralisés, notamment Liquid.com, qui a annoncé en août qu'un utilisateur non autorisé avait eu accès à certains des portefeuilles de cryptomonnaies qu'elle gérait.

Les attaquants ont utilisé des leurres de phishing, des exploits de code, des logiciels malveillants et une ingénierie sociale avancée pour siphonner les fonds des portefeuilles "chauds" connectés à Internet de ces organisations vers des adresses contrôlées par la Corée du Nord, selon le rapport.

Bon nombre des attaques de l'année dernière ont probablement été menées par le Lazarus Group, un groupe de pirates informatiques sanctionné par les États-Unis, qui affirme être contrôlé par le Reconnaissance General Bureau, le principal bureau de renseignement de la Corée du Nord.

Le groupe a été accusé d'être impliqué dans les attaques par ransomware "WannaCry", le piratage de banques internationales et de comptes clients, et les cyberattaques de 2014 contre Sony Pictures Entertainment.

La Corée du Nord a également semblé intensifier ses efforts pour blanchir les cryptomonnaies volées, en augmentant de manière significative son utilisation de mixeurs, ou d'outils logiciels qui mettent en commun et brouillent les cryptomonnaies de milliers d'adresses, selon Chainalysis.

Le rapport indique que les chercheurs ont identifié 170 millions de dollars en cryptomonnaies anciennes et non blanchies provenant de 49 piratages distincts s'étendant de 2017 à 2021.

Le rapport indique que la raison pour laquelle les pirates conservent ces fonds n'est pas claire, mais qu'ils pourraient espérer déjouer les intérêts des forces de l'ordre avant d'encaisser.

"Quelle que soit la raison, la durée pendant laquelle (la Corée du Nord) est disposée à conserver ces fonds est éclairante, car elle suggère un plan prudent, et non un plan désespéré et précipité", conclut Chainalysis.

  
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Dubaisan Dubaisan
13/01/2022 17:13:13
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"Les actions de Hong Kong, de la Chine et de la Corée du Sud étaient les moins chères de la région,..."

Les actions d'HK, Chine et Corée sont elles vraiment les moins chères? ou les actions des autres pays (USA en tête) ne seraient elles pas très, voire trop, chères?

  
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Ribo Ribo
07/01/2022 04:59:54
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Cours en Asie

  
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Ribo Ribo
07/01/2022 02:36:50
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New York (a w p/a f p) - 06/01/2022 | 21:27 ►Sur un marché bouillant, le pétrole profite de la crise au Kazakhstan

Les cours du pétrole ont poursuivi leur escalade jeudi et signé leur quatrième séance consécutive de hausse, la crise sociale au Kazakhstan, membre de l'Opep+, faisant office d'étincelle sur un marché hautement inflammable.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, le contrat le plus échangé à Londres, a gagné 1,47% à 81,99 dollars.
A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en février, a pris 2,06% et terminé à 79,46 dollars. En séance, le prix de référence du brut américain avait dépassé 80 dollars pour la première fois depuis un mois et demi (17 novembre).

"Ce bond reflète la crainte du marché vis-à-vis de l'escalade au Kazakhstan et de la détérioration de la situation politique en Libye", a décrypté, dans une note, Louise Dickson, du cabinet Rystad Energy.

Au Kazakhstan, des heurts ont eu lieu mercredi et jeudi entre forces de l'ordre et manifestants, qui protestent contre la hausse des prix du gaz, faisant des dizaines de morts à Almaty, la capitale économique.

Si le pays est un important producteur, avec quelque 1,8 million de barils par jour en 2020 selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), l'exploitation pétrolière n'a pas été affectée par les troubles pour l'instant.

"Avec ce courant haussier, il suffit d'une nouvelle, comme celle sur le Kazakhstan, pour encourager ceux qui jouent la hausse et faire paniquer ceux qui parient à la baisse", a commenté Stephen Schork analyste et auteur du Schork Report. "C'est comme si les prix élevés suffisaient, à eux seuls, à générer des prix encore plus élevés."

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), les plus importants volumes d'options d'achat (instrument financier qui permet d'acheter à un prix donné) se situent à 80, 85 et 90 dollars pour le WTI, ce qui témoigne de la foi des opérateurs en une poursuite de la hausse.

La crise au Kazakhstan vient faire planer une menace supplémentaire sur un marché déjà préoccupé par l'insuffisance de l'offre.
Avec une partie de ses installations fermées de force et un oléoduc endommagé, la Libye est notamment privée de quelque 500.000 barils par jour, alors que la production des pays parties à l'accord Opep+ n'assurait déjà pas le volume prévu.

La neutralisation de quatre champs pétroliers libyens par des hommes affiliés aux gardes installations pétrolières (GIP) devait durer jusqu'à l'élection présidentielle, prévue initialement le 24 décembre, mais celle-ci a été reportée et ne se tiendra pas avant fin janvier, au mieux.

Pour Stephen Schork, le prochain seuil majeur de prix se situe aux records établis à l'automne dernier, soit 86,70 dollars pour le Brent et 85,41 dollars pour le WTI.

  
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Ribo Ribo
06/01/2022 18:46:18
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Paris, (a wp/ af p) - 06/01/2022 | 18:39 ►Bourse : l'Europe dans la tempête de la Fed, Wall Street en sort

Le durcissement du ton de la Réserve fédérale américaine a fait fortement baisser les marchés européens jeudi, les marchés américains reprenant leur souffle après leur dégringolade de la veille.

Volatile après une séance de forte baisse, Wall Street retrouvait un peu le vert avec le Nasdaq (+0,29%) et le S&P 500 (+0,28%) vers 17H25 GMT. Le Dow Jones reculait de 0,13%.

En Europe, Paris a chuté de 1,72%, Londres de 0,88%, Francfort de 1,35% et Milan de 1,80. En Asie, Tokyo a connu sa pire séance en plus de six mois, perdant 2,88%. A Zurich, le SMI a cédé 0,88%.

Ce revirement de tendance par rapport aux records atteints lors des premiers jours de l'année vient de la publication des minutes de la dernière réunion du comité de politique monétaire de la Réserve fédérale (Fed). Elles témoignent de sa volonté de s'attaquer frontalement à l'inflation, qui a atteint des records vieux de plusieurs décennies aux États-Unis.

"Ce n'est pas ce que les investisseurs voulaient entendre", résume Russ Mould, directeur de AJ Bell investment.

Les membres de la Fed ont indiqué, dans un langage sans équivoque, qu'ils envisageaient désormais de relever plus tôt et plus souvent que prévu le taux directeur de l'institution.

En outre, il est désormais question dans le compte-rendu de la Fed d'entamer la réduction du bilan de l'institution dès la première hausse de taux, ce qui a pris de cours les opérateurs.

Ce changement de ton s'explique par la tension sur le marché de l'emploi aux États-Unis. Les inscriptions hebdomadaires au chômage sont restées à un niveau très bas au cours de la dernière semaine de 2021, tout en augmentant légèrement, alors que les employeurs font face à une pénurie de main d’œuvre. Le rapport officiel mensuel de l'emploi américain sera scruté vendredi.

Vers 17H20 GMT, le rendement de la dette américaine à 10 ans était de 1,73%, au plus haut depuis mars 2021, et celui de l'obligation d'Etat à 2 ans de 0,88%, au plus haut depuis le début de la pandémie.

Message complété le 06/01/2022 18:52:52 par son auteur.

►vendredi ► données sur les créations d'emplois dans le secteur non agricole aux États-Unis en décembre et les statistiques sur l'inflation dans la zone euro en novembre

  
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