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EDF - News - Recos - Page 2

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JD1976 JD1976
19/01/2022 10:12:22
0

PARIS (Reuters) - Les salariés d'EDF n'ont aucune raison d'être inquiets car l'Etat va continuer à soutenir l'entreprise d'électricité publique, a assuré mercredi le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire.

"Je ne laisserai jamais tomber EDF, je ne laisserai jamais tomber les salariés et avec le président de la République comme avec le Premier ministre, nous avons déjà sur la table toutes les options qui doivent permettre de continuer à soutenir" l'entreprise, a assuré Bruno Le Maire sur BFMTV.

"Nous allons continuer à investir dans EDF (...), nous sommes aux côtés de cette entreprise publique", a-t-il ajouté.

Ces déclarations du ministre interviennent au lendemain d'un appel à la grève lancé par l'intersyndicale de l'électricien français pour le 26 janvier, afin de protester contre le "pillage" du groupe public, après la décision du gouvernement d'obliger EDF à vendre davantage d'électricité nucléaire à bas prix à ses concurrents, susceptible de peser à hauteur de 7,7 à 8,4 milliards d'euros sur les résultats du groupe.

Cette décision s'intègre dans le cadre des mesures mises en oeuvre par le gouvernement pour tenter de limiter l'impact sur les consommateurs de la flambée des prix de l'énergie, dont le montant total s'élève à 15 milliards d'euros pour les finances publiques.

Au-delà des dispositions déjà annoncées ("indemnité inflation", chèque énergie, plafonnement des tarifs de l'électricité et du gaz, etc), le gouvernement garde toutes les options ouvertes pour préserver le pouvoir d'achat des Français, a dit Bruno Le Maire.

"Je ne ferme aucune porte", a-t-il déclaré. "Je vais continuer (...) de voir s'il y a des mesures complémentaires qui sont nécessaires, en ajustant les dispositifs en permanence."

🧐



  
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wilvir wilvir
18/01/2022 09:52:11
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Donc dans ton raisonnement tu mets fin au tout électrique et les voitures se transforment en diligences


  
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Ribo Ribo
18/01/2022 07:19:58
0

- Moody's et S&P Global Ratings ont annoncé lundi soir placer leur note de crédit du groupe EDF sous surveillance en vue d'un possible abaissement et Fitch Ratings a ramené sa note à BBB+ contre A-.

Par ailleurs, dans un message aux cadres du groupe, son PDG dit prévoir de présenter d'ici un mois des mesures pour renforcer son bilan et "protéger ses intérêts".

  
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Luncyan Luncyan
17/01/2022 20:27:18
1

Ben je serai lui je fermerai les centrales. Tout simplement ou alors je pose ma démission

  
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Ribo Ribo
17/01/2022 19:37:41
0

Paris, (a w p/a f p) - 17/01/2022 | 19:27 ►EDF dans le collimateur des agences de notation

Les agences de notation Fitch et Standard and Poor's (S&P) ont sanctionné le groupe EDF, ou s'apprêtent à le faire, après une série de mauvaises nouvelles la semaine dernière.

Fitch a abaissé la note de la dette à long terme d'EDF d'un cran à "BBB+" lundi et assorti également cette note d'une perspective négative, ce qui veut dire que l'agence pourrait la dégrader encore dans le futur.

Dans la foulée, S&P Global Ratings a annoncé ne pas exclure d'abaisser sa notation d'un cran à son tour, après la publication des résultats annuels d'EDF le 18 février.

Les agences de notation s'inquiètent depuis qu'EDF a annoncé, jeudi, avoir suspendu l'une de ses prévisions financières: celle de son ratio d'endettement financier net sur excédent brut d'exploitation (Ebitda), qu'il n'est plus certain de tenir, le gouvernement français lui demandant de vendre davantage d'électricité à bas prix à ses concurrents.

Fitch pointe également du doigt les "arrêts prolongés de certains réacteurs nucléaires, qui vont fortement éroder les marges au moins pour 2022".

"Nous estimons que cela laissera l'Ebitda défini par Fitch pour 2022 à environ 4 milliards d'euros, soit 75% de moins que notre estimation précédente, et une structure financière affaiblie pour EDF", a jugé l'agence de notation dans un communiqué.

S&P estime parallèlement que l'Ebitda publié par EDF pourrait être de 10 à 13 milliards d'euros inférieur aux 18 milliards prévus jusqu'à présent.

Le groupe a récemment prolongé la durée d'arrêt de 5 de ses 56 réacteurs de son parc nucléaire français, ce qui l'a amené à revoir à la baisse sa prévision de production nucléaire pour 2022.

Aujourd'hui, dix de ces réacteurs sont à l'arrêt pour maintenance ou autre, soit 20% de la capacité de production nucléaire française.

  
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Ribo Ribo
17/01/2022 15:55:50
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(AOF) - 17/01/2022 | 15:08 ►EDF : Bank of America dégrade à Sous-performance

Bank of America a dégradé son opinion sur EDF d'Achat à Sous-performance et abaissé son objectif de cours à 7,6 euros.

Le broker réagit à la décision de l’État français d'obliger le groupe à vendre à ses concurrents davantage d'électricité nucléaire bon marché et à la baisse de la prévision de production du groupe. Le broker reconnaît qu'il existe une valeur significative dans l'évaluation par la somme des parties d'EDF, et un potentiel pour que l'Ebitda rebondisse fortement en 2023, mais voit une forte probabilité qu'il y ait d'autres mauvaises nouvelles dans les mois à venir.

Plus précisément, le bureau d'études souligne le risque que les défauts de soudure puisse se retrouver sur 20 réacteurs supplémentaires, ce qui pourrait facilement coûter 10 milliards d'euros supplémentaires à EDF.

Selon l'analyste, ce risque n'est pas encore pris en compte dans le cours de l'action.

Bank of America recommande aux investisseurs d'éviter les actions EDF et de se concentrer sur les bénéficiaires à moindre risque de la hausse des prix de l'électricité : Engie et RWE.

  
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Steph.octroi Steph.octroi
17/01/2022 13:15:09
0

l'état est un incapable dans sa gestion d'entreprises : edf, sncf, areva air-france.


l'état est un mauvais négociateur (ex :de statut) et c'est le contribuable derrière qui en paye les pots cassés car il y aura augmentation de capital et par la valeur de l'action.

de plus , l'état a comme priorité le caractère social (par exemple : augmentation du smic) qui est en confrontation directe avec la rentabilité de l'entreprise.


l'état ne peut pas gérer une entreprise qui se doit rentable par nature donc viable sinon à faire payer par un puit sans fond le contribuable. (voyez le cas SNCF)


  
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kim2401 kim2401
17/01/2022 12:56:35
0

Sarkozy en a fait autant


tous les mêmes guignols

  
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Dubaisan Dubaisan
17/01/2022 12:16:55
0

".....le Macronisme a déjà assez tué nos entreprises."

La mort de nos entreprises, la décadence de la France a commencé avec Mitterand (14 ans de sévices) avec Aubry et tous ces incapables apôtres de justice et de solidarité ! Ca s'est poursuivi sous Hollande avec autant de dégâts en 2 fois moins de temps.

Deux Présidents désastreux pour la France.

Pour rattraper le retard et combler le trou, une génération ne suffira pas

  
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Invectus Invectus
17/01/2022 11:47:35
0

EDF= ETAT= DÉPENSES NON maitrisées = RUINE DES PP

  
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Luncyan Luncyan
17/01/2022 11:45:41
0

Bien sûr que l'état devrait nationaliser EDF. Si vous avez pas compris que les entreprises de rentes et surtout les infrastructures et particulièrement les infrastructures énergétiques et particulièrement les infrastructures énergétiques nucléaires sont un secteur stratégique et régalien alors vous avez vraiment été paumé dans la nature mais ce ne serait qu'une désertion du sens commun de plus

  
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wilvir wilvir
17/01/2022 11:38:31
0

D'accord avec vous , mais l'état devrait se désengager , car le Macronisme a déjà assez tué nos entreprises.


  
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philibertlesBB philibertlesBB
17/01/2022 11:28:25
1

Mon point de vue :

Tout cela est voulu et manigancé par l’Europe qui confirme un état Français « Marionnette ».

La finalité affaiblir l’entreprise pour présenter après les élections le projet HERCULE, comme sauveur d’EDF.

Concernant le dossier et l’avenir. La demande d’électricité d’ici 2050 va être x 2.5, donc je vous laisse à votre propre réflexion.

Pourra-t-on d’ici là se passer de nos centrales bas carbone?

Pour ma part, malgré les ânes à listes, je suis positif sur long terme.

Évidemment, simple avis,

*actionnaire

  
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JD1976 JD1976
17/01/2022 11:10:31
0

EDF : encore bien rouge

17/01/2022 09:26 | Boursier

EDF ne parvient pas à redresser la tête. Encore en baisse de 2,2% à 8,6 euros, le titre de l'électricien reste chahuté après le double coup de bambou de vendredi. Les analystes sont logiquement nombreux à revoir leur copie sur le dossier après ces annonces. D'autant que le spectre d'un important appel au marché plane désormais clairement au-dessus du groupe détenu à hauteur de 83% par l'Etat. Le dernier en date est HSBC qui a dégradé la valeur à 'conserver' tout en ramenant son objectif de 15,1 à 10 euros.



  
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DonQuich DonQuich
17/01/2022 09:22:49
0

"Le groupe a perdu 70% de sa capitalisation depuis son introduction en Bourse en 2005"

"Certes, la valeur ne manque pas d'attraits, avec un rendement autour de 6%, ce qui peut en faire une valeur de fond de portefeuille"

comme valeur de fond de portefeuille, on fait mieux ...non ?

pour ceux qui achèteraient maintenant, peut-être ! Mais pas sûr !!!


  
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Ribo Ribo
17/01/2022 07:40:05
0

HSBC passe de 'Acheter' à 'Conserver'

  
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JD1976 JD1976
16/01/2022 15:38:36
2

La lourde chute du titre EDF pose à nouveau la question de sa place en Bourse

Il n’est pas commun de voir une décision d’un actionnaire majoritaire pénaliser autant un groupe coté. C’est pourtant ce qui vient de se passer pour EDF qui un connu un vendredi noir en Bourse. La volonté du gouvernement de limiter les hausses de tarifs, amputant ainsi les résultats de l’énergéticien, soulève à nouveau les contradictions de l’Etat-actionnaire d’un groupe qui a perdu 70% de sa capitalisation depuis son introduction en Bourse en 2005.

Le groupe a perdu 70% de sa capitalisation depuis son introduction en Bourse en 2005

Accident industriel ou gouvernance défaillante ? La décision de l'État, par ailleurs actionnaire à hauteur de 84% de l'énergéticien, d'amputer les bénéfices de 8 milliards d'euros d'EDF en 2022 pour préserver le pouvoir d'achat des Français (en limitant les hausses de tarifs), a fait plonger le titre de plus de 22% en début de séance, vendredi.

Le repli s'est peu à peu réduit au cours de la journée, pour clôturer à -14,59%. Le choc reste cependant sévère : pas moins de trois milliards d'euros de capitalisation évaporée en quelques heures... et une crédibilité vis-à-vis des marchés (une fois de plus) sérieusement écornée.

La perspective d'une augmentation de capital, lancée par le courtier JP Morgan Cazenove dans une note, n'a pas non plus aidé à rassurer. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a effet indiqué que l'Etat serait « aux côtés » d'EDF pour l'aider à traverser cette mauvaise passe.

En revanche, le choc a été moins violent sur la dette obligataire d'EDF : la dette senior s'est dégradée de 7 à 10 points de base (40 points de base en matinée) mais l'impact a été plus limitée sur la dette hybride, de l'ordre de 2 points de base.

Ce décrochage en Bourse pose de nombreuses questions. Tout d'abord, il met en lumière le rôle pour le moins ambigu de l'Etat-actionnaire dont une décision politique met à mal une entreprise cotée. D'autant que le groupe doit gérer le énième surcoût de la centrale EPR de Flamanville. Ces contradictions de l'Etat-actionnaire ne sont pas nouvelles et pèsent comme une chape de plomb sur la valorisation du groupe. Depuis son introduction en Bourse en 2005, la capitalisation boursière a chuté de près de 70%, de 100 milliards d'euros à 28,5 milliards aujourd'hui.


Une rente nucléaire en question

Avec un aussi faible flottant (15%) et sa sensibilité aux décisions gouvernementales, se pose naturellement la question de la pertinence de sa cotation en Bourse. Certes, la valeur ne manque pas d'attraits, avec un rendement autour de 6%, ce qui peut en faire une valeur de fond de portefeuille.

EDF est également un acteur de poids en Europe. Mais son parc nucléaire est à la fois un atout (énergie longtemps bon marché) et une faiblesse, en raison de l'immense hypothèque sur le coût de démantèlement des centrales et de l'enfouissement des déchets. C'est d'ailleurs ce qui a expliqué sa décote historique par rapport à ses principaux concurrents européens, notamment allemands.

A cela s'ajoute un prix de revient sans cesse croissant de l'énergie produite par le nucléaire du fait des nouvelles exigences de sécurité imposés par l'État, mais aussi par les assureurs, les investisseurs et les agences de notation financière. Le récent classement du nucléaire par Bruxelles dans une catégorie spécifique d'énergie verte a été une vraie bouffée d'oxygène pour le groupe qui va ainsi pouvoir continuer à lever de la dette à des conditions de marché.


Projet de démantèlement enterré

C'était pour résoudre cette équation impossible que le projet Hercule de démantèlement d'EDF en deux ou trois parties était envisagé. Cette réorganisation envisageait une séparation partielle ou totale des activités nucléaires régulées et non-régulées et la création d'un EDF « Vert », regroupant les énergies renouvelables et la distribution et services et, enfin, un EDF « Bleu ». Celui-ci concentrerait les actifs nucléaires français et les centrales thermiques et hydrothermiques. Un processus qui aurait pu déboucher sur une seule cotation de la partie EDF « vert ».

Le dossier a été cependant officiellement refermé compte tenu de la complexité du projet (notamment le partage de la dette) et l'opposition des syndicats. Pourtant, la scission des grands groupes d'énergie est devenue la règle en Europe, sous l'amicale pression de Bruxelles mais aussi des marchés. Les groupes allemands E.ON er RWE ont ainsi scindé depuis longtemps leurs activités de production de celles des énergies renouvelables et de distribution.

L'épisode boursier de vendredi pourrait ainsi remettre en selle le projet... après les élections présidentielles.


  
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Ribo Ribo
14/01/2022 14:50:36
1

"EDF a été la première capitalisation boursière de France devant Total en 2007 (hors prises en compte du flottant). Sans vouloir faire du mal à mon tonton Jacques, salarié-actionnaire de la première heure, EDF pesait à l'époque plus lourd qu'Apple en bourse. Ça pique un peu." - A.B. -

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
14/01/2022 12:34:18
2

Non

Airbus a pas besoin du gouvernement puisque déjà, c'est une boîte européenne et que pratiquement en situation de monopole.

et que je sache, on est pas en situation de banqueroute.

SG : tout comme les autres (Bnp, Aca pour le côté français), c'est un monde à part.

disons que pour les 3/4, ce ne sont que des succursales de la BCE et les gardiennes du temple.

mais attention, elles prennent un virage. elles ont 2 pattes maintenant.


On est entrain de bien polluer la file "infos/recos Edf là"

va falloir que la femme de ménage passe ce week end..

les poubelles vont être pleines !

  
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Luncyan Luncyan
14/01/2022 12:13:57
0

Pti chat dans ton CAC gouvernement est ce que Airbus et société générale y ont leur place ?

Message complété le 14/01/2022 12:25:33 par son auteur.

Et orange?
Et Dassault ?

  
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