La hausse a décimé de nombreux portefeuilles d’investissement
Par Claude Mathy;
Pourtant, depuis maintenant 27 mois le trend est identique, c’est encore
haussier même si on s’approche dangereusement du support je ne crois toujours
pas à l’heure actuelle que c’est la fin du voyage
Ne soyons pas non plus naïfs, un jour viendra où la tendance lourde s’inversera et nous devrons nous adapter rapidement au changement, j’en salive déjà, être placé au départ d’un nouveau trend, le rêve, profiter d’un revirement et se laisser patiemment porter par le trend qu’il soit haussier ou baissier c’est si simple et pourtant peux le font réellement par manque de patience.
SP500 en semaines
Voici la route tueuse celle qui petit à petit laisse derrière elle des investisseurs pris à contre sens.
Nous retiendrons dans un objectif de partialité une possible ETE de sommet en formation et une étoile du soir, il vaut mieux ne pas les snober, qui fait le malin vole dans le ravin.
Pour la survie d’un portefeuille long terme
Le plus difficile pour un boursicoteur est de rester neutre face au tsunami de news qui s’abat chaque jour, surtout ne suivez pas les réactions épidermiques du marché sans quoi celui-ci vous plumera, comme le soulignait Jean de la Fontaine dans une de ses fables « Rien ne sert de courir ; il faut partir à point. » Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.
À votre avis, pourquoi seulement 5 % des traders arrivent à battre le
marché sur le long terme ?
Il existe plusieurs raisons, mais je vais m’attarder uniquement à celles qui sont récurrentes, ou du moins celles qui ont fait disparaitre des amis, des compagnons de route œuvrant sur le NET ou que j’ai rencontrés dans des clubs d’investisseurs qui pensaient avoir trouvé le Graal.
Tous ont voulu anticiper des changements de tendances en vendant trop tôt ou en se positionnant à contre sens de celle-ci.
Tous ont pris trop de positions spéculatives au même moment, je crois sincèrement que dans un portefeuille long terme il faut avant toute chose que l’objectif de départ soit la préservation de capital, perso il m’arrive de prendre des risques sur certaines actions à fort potentiel, mais, jamais plus de 15 % de l’ensemble du portefeuille ou si vous préférez pas plus de deux ou trois titres de ce genre.
Tous ont nié la magie de la diversification et pour beaucoup de la rotation sectorielle.
Tous ont malheureusement fait des médias à un moment ou à un autre une aide à la prise de décision que cela soit pour embarquer sur l’action à la mode, celle dont tout le monde parle celle qui a déjà pris 100 % et inversement ils ont vendu les titres massacrés dont plus personne ne voulait.
La majorité n’a pas voulu croire, parce que trop lent, au pouvoir des dividendes sur le long terme, pourtant, comme base de portefeuille c’est l’idéal, 30 % de titres qui versent un beau dividende boostera votre portefeuille d’investissement au bout de quelques années
beaucoup ont aussi nié les bienfaits d’une allocation en obligations ou ne savent même pas ce que c’est réellement ou pire n’en ont jamais entendu parler alors que « schématiquement » celles-ci montent quand les actions diminuent.
Je tenais à faire ce billet non pas pour donner une leçon, car moi aussi j’ai commis ces erreurs au début, mais, un ami vient de m’envoyer un mail en me disant que pour lui la bourse c’était fini qu’il était dégouté que le marché partait toujours en sens inverse.
Claude Mathy
www.claudemathy.com
Ne soyons pas non plus naïfs, un jour viendra où la tendance lourde s’inversera et nous devrons nous adapter rapidement au changement, j’en salive déjà, être placé au départ d’un nouveau trend, le rêve, profiter d’un revirement et se laisser patiemment porter par le trend qu’il soit haussier ou baissier c’est si simple et pourtant peux le font réellement par manque de patience.
SP500 en semaines
Voici la route tueuse celle qui petit à petit laisse derrière elle des investisseurs pris à contre sens.
Nous retiendrons dans un objectif de partialité une possible ETE de sommet en formation et une étoile du soir, il vaut mieux ne pas les snober, qui fait le malin vole dans le ravin.
Pour la survie d’un portefeuille long terme
Le plus difficile pour un boursicoteur est de rester neutre face au tsunami de news qui s’abat chaque jour, surtout ne suivez pas les réactions épidermiques du marché sans quoi celui-ci vous plumera, comme le soulignait Jean de la Fontaine dans une de ses fables « Rien ne sert de courir ; il faut partir à point. » Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.
Il existe plusieurs raisons, mais je vais m’attarder uniquement à celles qui sont récurrentes, ou du moins celles qui ont fait disparaitre des amis, des compagnons de route œuvrant sur le NET ou que j’ai rencontrés dans des clubs d’investisseurs qui pensaient avoir trouvé le Graal.
Tous ont voulu anticiper des changements de tendances en vendant trop tôt ou en se positionnant à contre sens de celle-ci.
Tous ont pris trop de positions spéculatives au même moment, je crois sincèrement que dans un portefeuille long terme il faut avant toute chose que l’objectif de départ soit la préservation de capital, perso il m’arrive de prendre des risques sur certaines actions à fort potentiel, mais, jamais plus de 15 % de l’ensemble du portefeuille ou si vous préférez pas plus de deux ou trois titres de ce genre.
Tous ont nié la magie de la diversification et pour beaucoup de la rotation sectorielle.
Tous ont malheureusement fait des médias à un moment ou à un autre une aide à la prise de décision que cela soit pour embarquer sur l’action à la mode, celle dont tout le monde parle celle qui a déjà pris 100 % et inversement ils ont vendu les titres massacrés dont plus personne ne voulait.
La majorité n’a pas voulu croire, parce que trop lent, au pouvoir des dividendes sur le long terme, pourtant, comme base de portefeuille c’est l’idéal, 30 % de titres qui versent un beau dividende boostera votre portefeuille d’investissement au bout de quelques années
beaucoup ont aussi nié les bienfaits d’une allocation en obligations ou ne savent même pas ce que c’est réellement ou pire n’en ont jamais entendu parler alors que « schématiquement » celles-ci montent quand les actions diminuent.
Je tenais à faire ce billet non pas pour donner une leçon, car moi aussi j’ai commis ces erreurs au début, mais, un ami vient de m’envoyer un mail en me disant que pour lui la bourse c’était fini qu’il était dégouté que le marché partait toujours en sens inverse.
Claude Mathy
www.claudemathy.com
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