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ALSTOM - News - Reco - Page 2

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JD1976 JD1976
16/05/2025 09:39:41
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ALSTOM : UNE FIN DE SEMAINE MOIS AGITÉE

16/05/2025


Alstom poursuit sa remontée après sa chute du milieu de semaine avec une action qui avance de 1,4% à 19,8 euros.

Selon nos informations, DZ Bank est passé à l''achat' sur le géant du ferroviaire tout en remontant sa cible de 22 à 24 euros.

De son côté, Kepler Cheuvreux a réitéré son avis 'achat' avec un objectif ajusté de 26 à 24 euros.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
14/05/2025 18:51:21
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Zonebourse

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une impression de déjà-vu, mais cette fois-ci, nous sommes confiants.

Publié le 14/05/2025 à 18:18

PUBLICATION DES RÉSULTATS/CHIFFRES D'AFFAIRES

Malgré des résultats meilleurs que prévu, l'action Alstom a chuté de près de 15 % en raison des inquiétudes suscitées par les prévisions de flux de trésorerie disponible pour le premier semestre 2025/2026 (-1 milliard d'euros), qui ont ravivé le souvenir de son passé difficile. Nous voyons toutefois une entreprise fondamentalement améliorée, avec un carnet de commandes plus solide, un bilan plus sain et une nouvelle équipe de direction. La mise en œuvre reste essentielle, mais la dynamique est en train de s'inverser. La crédibilité d'Alstom est en train d'être rétablie.

FAIT

Chiffres clés de l'exercice 2024/25

• Commandes : €19,8 milliards d'euros (en hausse de 4,7 % en glissement annuel)

• Chiffre d'affaires : 18,5 milliards d'euros (en hausse de 4,9 % en glissement annuel / +6,6 % en données organiques)

• EBIT ajusté : 1 177 millions d'euros (en hausse de 18 % par rapport à l'exercice précédent), marge : 6,4 % (contre 5,7 % pour l'exercice 23/24)

Bénéfice net ajusté : 498 millions d'euros (contre 44 millions d'euros pour l'exercice 23/24)

• Flux de trésorerie disponible : 502 millions d'euros (contre -557 millions d'euros pour l'exercice 23/24)

• Dette nette : €434 millions (contre €2 994 millions pour l'exercice 23/24)

• Production automobile : 4 383 voitures (dans le haut de la fourchette prévisionnelle de 4 300 à 4 400)

Perspectives pour l'exercice 2025/26

• Croissance organique du chiffre d'affaires : +3 % à +5 %

• Marge aEBIT : ~7 %

• Flux de trésorerie disponible : €200 millions d'euros à €400 millions d'euros (avec -€1 milliard d'euros au premier semestre)

Perspectives à moyen terme

• Flux de trésorerie disponible cumulé sur 3 ans pour les exercices 2024/25 et 2026/27 : > 1,5 milliard (confirmé)

• Marge aEBIT : ~8-10 %

ANALYSE

Bons résultats pour les systèmes et la signalisation

Si le chiffre d'affaires et les prises de commandes du groupe ont globalement répondu aux attentes, les performances au niveau des segments ont réservé de belles surprises. Le segment Systèmes a enregistré une forte progression (+20,4 % en glissement annuel, +26,3 % en organique, +5 % par rapport au consensus BBG), grâce à de solides livraisons au Mexique et à une exécution sans faille au Canada, en Côte d'Ivoire et en France. La signalisation a également dépassé les attentes (stable en données publiées, +6 % en organique, +4 % par rapport au consensus BBG), soutenue par une bonne dynamique en France, en Allemagne et en Australie.

- Les prévisions de flux de trésorerie disponible de 1 milliard d'euros pour le premier semestre 2025/2026 ont effrayé les investisseurs, mais pas nous

Alstom a annoncé un flux de trésorerie disponible de 502 millions d'euros pour l'exercice 2024/25, un chiffre supérieur de 52 % au consensus. Toutefois, cette annonce a été éclipsée par les nouvelles prévisions faisant état d'une sortie de trésorerie de -1 milliard d'euros au premier semestre 25/26, en raison du passage de plusieurs projets de la phase de démarrage à la phase de montée en puissance.

Ce chiffre a naturellement inquiété les investisseurs, le titre ayant chuté d'environ 15 % au moment où nous écrivons ces lignes. Beaucoup y ont vu un écho des problèmes passés. Mais nous sommes moins inquiets. Les prévisions de flux de trésorerie disponible pour l'ensemble de l'exercice 2025/2026, comprises entre 200 et 400 millions d'euros, sont globalement conformes au consensus. La forte sortie de trésorerie au premier semestre reflète des effets saisonniers et résulte en partie de des entrées de trésorerie plus importantes que prévu pour l'exercice 2024/2025. Plus important encore, la direction d'Alstom a toujours fait preuve de prudence dans ses prévisions et a souvent dépassé ses objectifs : les prévisions pour le premier semestre de l'année dernière étaient de -300 à -500 millions d'euros, mais le résultat n'a été que de -138 millions d'euros.

Un carnet de commandes plus solide, une meilleure trésorerie = moins de risques

Nous comprenons l'inquiétude des investisseurs : la dernière fois qu'Alstom a signalé une telle sortie de trésorerie, cela ne s'est pas bien terminé. À l'époque, la société était en pleine intégration de Bombardier et accablée par des contrats à faible marge qui épuisaient ses liquidités. Mais aujourd'hui, Alstom est dans une situation beaucoup plus saine.

La trésorerie s'élève à 2,2 milliards d'euros (contre 0,8 milliard en mars 2023) et le carnet de commandes s'est amélioré tant en qualité qu'en composition. Les contrats à forte marge représentent désormais 17,8 % du carnet de commandes (contre 16,9 % il y a deux ans), et la part des contrats de matériel roulant, généralement plus risqués, est passée de 50 % en 2022 à 43 % aujourd'hui. Cela indique une composition plus durable et un profil de risque plus faible.

Une année prometteuse : impact minimal des droits de douane imposés par Trump, vent favorable pour les infrastructures européennes

La direction a confirmé que les droits de douane proposés par Trump ne devraient avoir qu'un impact limité sur les activités. L'exposition d'Alstom aux États-Unis est relativement modeste (moins de 10 % selon nos estimations) et 90 % de ses fournisseurs pour ses activités américaines sont basés dans le pays. De plus, lorsque des droits de douane ont été imposés en 2018, la société a réussi à répercuter les hausses de coûts sur ses clients et prévoit de faire de même si nécessaire.

En réalité, les tensions tarifaires pourraient même s'avérer bénéfiques à long terme. Elles ont déjà déclenché une réponse politique en Europe, l'Allemagne ayant annoncé un plan d'infrastructures de 500 milliards d'euros, et la France devant suivre avec un plan similaire en 2025. Alstom reste l'un des moyens les plus intéressants de tirer parti de ces thèmes, et nous pensons que les avantages découlant de ces développements l'emporteront largement sur les éventuelles répercussions négatives liées aux droits de douane.

Notre point de vue : le rapport risque/rendement est attrayant

Le scepticisme est compréhensible, les investisseurs ayant déjà été échaudés par le passé. Le risque d'un nouveau premier semestre chaotique persiste. Mais nous pensons que cette fois-ci, la structure a changé. Alstom est désormais une entreprise dotée d'un bilan plus solide, d'un mix plus rentable et qui a prouvé sa capacité à tenir ses engagements opérationnels. Cette publication n'est pas un événement isolé, mais la première étape importante dans le rétablissement de la crédibilité. Si la mise en œuvre se poursuit, Alstom pourra passer du statut d'entreprise en difficulté à celui de champion industriel générateur de liquidités. Cela n'est pas sans risque, mais le discours est en train de changer. Il est temps de prendre le train en marche.

IMPACT

Nous maintenons notre recommandation positive sur le titre.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
14/05/2025 12:42:14
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Bons résultats mais trésorerie qui inquiète, Alstom s'effondre de près de 17% en Bourse

Aujourd'hui à 10:46

Altom déraille en Bourse

(BFM Bourse) - L'équipementier subit une lourde correction boursière ce mercredi 14 mai après avoir pourtant livré des résultats annuels supérieurs aux attentes. Mais la société a communiqué des prévisions inférieures aux attentes sur l'indicateur le plus crucial pour elle, à savoir la génération de trésorerie.

Alstom a beau publier de très nombreux indicateurs, l'objet de toute les attentions du marché reste la génération de cash.

Le concepteur du TGV a, par le passé, déçu à plusieurs reprises sur son flux de trésorerie, en raison notamment des efforts nécessaires pour remettre d'équerre les activités de Bombardier Transport, racheté en 2021.

À l'automne 2023, Alstom avait émis un gigantesque avertissement sur son cash, en raison de stocks trop élevés ou encore de retards sur le contrat Aventra au Royaume-Uni. Le titre avait chuté de 37,6% sur une seule séance, un quasi-record pour un groupe du CAC 40.

La société avait ensuite mené une importante restructuration financière, avec notamment une augmentation de capital d'1 milliard d'euros, pour maintenir sa note de crédit dans la catégorie investissement. Ce qui constituait un impératif tant pour que la viabilité financière de l'entreprise que pour sa compétitivité commerciale, cette note de crédit permettant d'obtenir le niveau de garanties bancaires exigées par les clients.

Alstom était toutefois revenu à une meilleure fortune, depuis à peu près un an. Le titre avait repris 88% en 2024.

Malheureusement pour les actionnaires du groupe, Alstom semble être rattrapé par ses vieux démons, ce mercredi 14 mai.


Une saisonnalité marquée

L'action de l'équipementier ferroviaire s'effondre de 16,7% vers 11h, ce mercredi 14 mai, alors que l'ex-pensionnaire du CAC 40 a pourtant livré des résultats annuels supérieurs aux attentes. Mais les perspectives pour l'exercice en cours, qui sera clos en mars 2026, douchent totalement les investisseurs, surtout celles sur la trésorerie.

Alstom a annoncé viser pour son exercice 2025-2026 un flux de trésorerie disponible compris entre 200 millions et 400 millions d'euros, soit moins que les 502 millions d'euros dégagés en 2024-2025.

Cette cible s'avère largement inférieur au consensus, situé à 518 millions d'euros, selon Oddo BHF. La cible 2025-2026 "est selon nous décevante sur le flux de trésorerie disponible", conclut le courtier. "Finalement, le groupe ne sera pas en mesure de faire progresser son flux de trésorerie année après année et 2025/26 restera une année de transition, toujours impactée par la consommation de BFR (besoin en fonds de roulement, NDLR), déplore le courtier.

Alstom a également prévenu que sa génération de cash serait concentrée sur le second semestre. L'équipementier ferroviaire s'attend à brûler 1 milliard d'euros de trésorerie sur les six premiers mois de son exercice (d'avril à fin septembre donc) avant de dégager entre 1,2 milliard et 1,4 milliard au second semestre.

Le directeur financier du groupe, Bernard Delpit, a rappelé aux analystes que cette saisonnalité de la génération de trésorerie n'est pas inhabituelle. Alstom a souvent tendance à brûler du cash au premier semestre avant de repasser dans le vert au second.

Cela tient au fait que si les sorties de cash du groupe sont réparties de manière équilibrée tout au long de l'année, Alstom collecte bien plus d'argent auprès de ses clients sur le second semestre. Ce en raison d'un nombre de jours travaillés beaucoup plus faible sur le premier semestre (avec les vacances de juillet et août) qui se traduit par une production plus faible et par une moindre disponibilité de ses clients pour accepter les livraisons de trains (et donc Alstom).

Bernard Delpit a ainsi estimé qu'Alstom brûlait, historiquement, autour de 900 millions d'euros sur son premier semestre, l'exercice 2024-2025 ayant constitué une exception (-138 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année).

Cette saisonnalité "prononcée" reviendra sur l'exercice 2025-2026, avec des paiements qui seront concentrés sur la seconde partie de l'année.

Bernard Delpit a également précisé que la montée en puissance de certains projets de matériel roulant se traduirait par une hausse des coûts combinée à de moindres rentrée de cash. Ce qui aura également un impact sur le flux de trésorerie sur cet exercice.

Ces projets passent d'une phase "start-up" durant laquelle le groupe reçoit des acomptes sans engager beaucoup de dépenses à une phase de "ramp up", durant laquelle Alstom met des coûts pour l'ingénierie et l'industrialisation, mais ne reçoit pas de paiement d'étapes, a-t-il expliqué.

Cet impact négatif se ""renversera" lors de l'exercice 2026-2027, a expliqué le directeur financier.


Des surtaxes douanières

En dehors du flux de trésorerie, Alstom a indiqué viser pour l'exercice en cours une croissance en données comparables (hors variation de périmètre et de changes) de 3% à 5% et une marge d'exploitation ajustée d'environ 7%. Un peu juste au regard du consensus qui tablait respective sur une croissance de 5,3% et une marge de 7,3%.

"Ces perspectives n'incluent aucun impact lié aux droits de douane", a précisé Bernard Delpit. Le directeur financier a souligné qu'il était bien trop tôt pour évaluer les conséquences de cette politique, dans la mesure où ce dossier ne cesse d'évoluer. De plus, "nous sommes très confiants, en raison de nos contrats, sur notre capacité à facturer ses surtaxes à nos clients", a ajouté le dirigeant. En 2018, lorsque les États-Unis avaient alourdi les surtaxes douanières sur certaines matières premières importées de Chine, Alstom avait déjà repassé les surcoût à ses client, a-t-il rappelé.

Oddo BHF note un point rassurant: la société a confirmé viser un flux de trésorerie libre cumulé de 1,5 milliard d'euros sur les exercices 2024-2025 à 2026-2027. Ce qui signifie que le groupe entend dégager entre 600 millions et 800 millions d'euros de cash en 2026-2027.

Les perspectives livrées par Alstom éclipsent des résultats annuels meilleurs qu'attendus. Sur l'ensemble de son exercice clos en mars dernier, le groupe a dégagé des revenus de 18,5 milliards d'euros, en hausse de 6,6% en données comparables tandis que ses prises de commandes ont augmenter de 4,4% en données comparables à 19,85 milliards d'euros. La marge d'exploitation ajustée s'est établie à 6,4% contre 5,7% sur le précédent exercice. La rentabilité a bénéficié de volumes en hausses, de l'orientation des ventes vers des produits plus rentables et de mesures de réductions de coûts.

Le bénéfice net est repassé dans le vert à 149 millions d'euros contre une perte de 309 millions d'euros un an plus tôt. Et le flux de trésorerie, a, donc, atteint 502 millions d'euros. Selon un consensus mis en ligne par la société, les analystes tablaient sur des revenus de 18,3 milliards d'euros, une marge d'exploitation ajustée de 6,3% et un flux de trésorerie de 330 millions d'euros.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
14/05/2025 08:08:04
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Exercice fiscal 2024/25 d’Alstom : bénéfice et cash-flow solides. Confirmation des ambitions à moyen terme.

Publié le 14/05/2025 à 07:32


* Résultats de l’exercice 2024/25 :

Ratio « commandes sur chiffre d’affaires » à 1,1 et croissance organique du chiffre d’affaires en hausse de 6,6%

Résultat d’exploitation ajusté de 1 177 millions d’euros, en hausse de 18 %, soit 6,4 % de marge

Résultat net ajusté de 498 millions d’euros

Cash-flow libre de 502 millions d’euros

* Perspectives pour l’exercice fiscal 2025/26

Ratio « commandes sur chiffre d’affaires » au-dessus de 1 pour le Groupe comme pour le Matériel Roulant

Croissance organique du chiffre d’affaires comprise entre 3 % et 5 %

Marge d’exploitation ajustée prévue à environ 7 %

Cash-flow libre dans une fourchette de 200 à 400 millions d’euros

Saisonnalité marquée entraînant une consommation de cash-flow libre jusqu’à (1.0) milliard d’euros au S1 2025/26

Génération de cash-flow libre cumulé d’au moins 1,5 milliard d’euros sur les trois années allant de l'exercice 2024/25 à l'exercice 2026/27

* Ambitions à moyen terme confirmées


14 mai 2025 – Entre le 1er avril 2024 et le 31 mars 2025, Alstom a enregistré 19,8 milliards de commandes. Le chiffre d’affaires a atteint 18,5 milliards d’euros, le ratio « commandes sur chiffre d’affaires » s’établissant ainsi à 1,1.

Le carnet de commandes a atteint 95 milliards d’euros, offrant une forte visibilité sur les ventes futures. La marge brute sur le carnet de commandes2 a atteint 17,8 % au 31 mars 2025, comparé à 17,5 % au 31 mars 2024.

Au cours de l’exercice fiscal 2024/25, le résultat d’exploitation ajusté d’Alstom s’est élevé à 1 177 millions d’euros, en hausse de 18 %, équivalent à une marge d’exploitation ajustée de 6,4 %, et le résultat d’exploitation avant APA s’est élevé à 831 millions d’euros. Le résultat net ajusté a atteint 498 millions d’euros, le résultat net (part du Groupe) était de 149 millions d’euros et le cash-flow libre s’est élevé à 502 millions d’euros pour l’exercice fiscal.

Au 31 mars 2025, l’endettement net du Groupe s’élevait à (434) millions d’euros, à comparer aux (2 994) millions d’euros de dette nette reportée par le Groupe au 31 mars 2024. Alstom bénéficie d’une liquidité solide et de capitaux propres atteignant 10 577 millions d’euros au 31 mars 2025.

Le Conseil d’administration, dans sa séance du 13 mai 2025, a proposé qu’aucun dividende ne soit versé au titre de l’exercice fiscal 2024/25.

« Alstom a connu une année solide en 2024/25, réalisant une nouvelle performance commerciale robuste et enregistrant des commandes record dans les Services et la Signalisation. Ces résultats sont parfaitement en ligne avec notre stratégie. Nous continuons notre progression selon notre feuille de route opérationnelle, avec des marges sur carnet de commandes revenues à leur niveau d'avant la fusion et des indicateurs de qualité à leurs meilleurs niveaux. En gérant efficacement notre portefeuille de projets et en réalisant des économies de coûts, nous sommes bien positionnés pour suivre notre trajectoire financière.

Au cours de la dernière décennie, nous avons bâti une présence mondiale inégalée, développant notre résilience pour faire face aux défis macroéconomiques et géopolitiques. Avec un bilan renforcé et l'intégration réussie de Bombardier Transport, Alstom entame une nouvelle phase. Nous allons tirer parti de notre position de leader sur le marché pour accélérer sur les Services et développer la digitalisation de nos solutions, poursuivant ainsi notre engagement dans l'innovation et l'excellence », a déclaré Henri Poupart-Lafarge, Directeur Général d'Alstom.


Perspectives pour l’exercice fiscal 2025/26

À la suite de l’exécution du plan de désendettement et la fin du processus d’intégration de Bombardier Transport, les perspectives pour l’exercice fiscal 2025/2026 sont basées sur les hypothèses suivantes :

- Une demande soutenue du marché

- Nombre de voitures produites stable par rapport à l’exercice 2025

- R&D / ventes supérieur à 3 %

- Excluant l’impact potentiel lié aux droits de douane

Les perspectives pour l’exercice fiscal 2025/26 :

- Ratio « commandes sur chiffre d’affaires » au-dessus de 1 pour le Groupe comme pour l’activité Matériel Roulant ;

- Croissance organique du chiffre d’affaires entre 3 % et 5 % ;

- Marge d’exploitation ajustée prévue à environ 7 % ;

- Génération de cash-flow libre dans une fourchette de 200 à 400 millions d’euros ;

- Saisonnalité entraînant une consommation de cash-flow libre jusqu’à (1.0) milliard d’euros au S1 2025/26

Sur les trois années allant de l'exercice 2024/25 à l'exercice 2026/27, le Groupe prévoit de générer au moins 1,5 milliard d'euros de cash-flow libre, le besoin en fonds de roulement lié aux contrats étant un facteur défavorable sur cette période.

Ambitions à moyen terme

Grâce à des dynamiques de marché ferroviaire favorables, le Groupe s'attend à ce que son carnet de commandes dépasse les 100 milliards d'euros au cours des deux prochaines années.

L'ambition du Groupe est de réaliser une croissance moyenne des ventes d'environ 5 % à moyen terme, grâce à un ratio « commandes sur chiffre d’affaires » supérieur à 1, principalement soutenu par les activités Services, Signalisation et Systèmes. L’activité Matériel Roulant devrait croître à un rythme supérieur à celui du marché, les Services et la Signalisation à des taux de croissance à un chiffre dans la fourchette moyenne à haute, et les Systèmes à des taux de croissance à un chiffre dans la fourchette haute.

En termes de rentabilité, l'ambition à moyen terme d'Alstom est de générer de manière pérenne une marge opérationnelle ajustée comprise entre 8 % et 10 %. Cette amélioration par rapport à la marge de 6,4 % au cours de l’exercice 2024/25 sera soutenue par :

L'amélioration continue de la marge brute en carnet grâce à des prises de commandes de qualité et à la finalisation des projets du portefeuille de contrats historiques.

L’amélioration de l’exécution grâce à des initiatives d’excellence opérationnelle et à l’optimisation industrielle.

L’exécution dans les temps du plan de transformation en Allemagne.

Le Groupe prévoit d’atteindre cette fourchette de rentabilité au cours de l’exercice 2026/27.

Cash-Flow libre :

Alstom prévoit que la conversion du résultat net ajusté en cash-flow libre tende vers 100 % au cours du cycle. La performance annuelle est soumise à la volatilité du besoin en fonds de roulement à court terme, notamment en raison de la saisonnalité des encaissements d’acomptes.

Priorités en matière d’allocation du capital

Priorité au désendettement et au maintien de la notation dans la catégorie « Investissement »

Politique de dividendes à ré-évaluer une fois que la dette financière nette aura été ramenée à zéro.

Politique de fusions et d’acquisitions :

Poursuivre des opérations d’acquisitions sélectives (Innovation, Services)

Gestion dynamique du portefeuille

Message complété le 14/05/2025 08:19:22 par son auteur.

Pré ouverture : -10%

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
11/05/2025 13:50:51
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Les résultats annuels de mercredi vont être déterminant pour la suite à mes yeux.
Nous sommes sous résistance intermédiaire et sous la Mm200
mais la Mm40 nous pousse vers le haut.
Le but de la semaine sera de franchir mon oblique noire de long terme si on veut espérer de revoir les 27.70€.
Côté indicateurs, même si je suis pas trop objectif vu que je suis actionnaire, je vois une correction en mode drapeau donc une conso qui sous entend une poursuite du mouvement majeur donc la hausse.
Espérons que Alstom ne déraille pas pour le coup !

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
04/04/2025 09:54:38
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150 ME pour accroître la capacité de production sur plusieurs sites français

Par Arnaud Bivès Publié le 04/04/2025 à 08h50

(Boursier.com) — Alstom lance un plan d'investissements "sans précédent" de plus de 150 millions d'euros sur ses sites français afin de répondre à la demande croissante du marché ferroviaire français et international, en particulier pour les trains à très grande vitesse.

Alstom va augmenter ses capacités de production et mobiliser son tissu industriel. À cet effet, Alstom annonce un plan d'accélération de ses investissements, qui inclut une enveloppe de 150 million d'euros destinée à accroître la capacité de production du groupe sur plusieurs sites français :

Une partie de cet investissement (à hauteur de 20%) sera directement consacrée à l'ouverture d'une nouvelle ligne d'assemblage pour les trains à très grande vitesse Avelia sur le site Alstom de Valenciennes Petite-Forêt, une première pour ce site des Hauts-de-France. Ce plan d'investissement aussi également de doubler les lignes de chaudronnerie et d'assemblage pour les trains à très grande vitesse Avelia sur le site Alstom de La Rochelle.

Alstom investira par ailleurs dans la capacité industrielle du site de Belfort en construisant un nouveau bâtiment destiné aux activités de préparation à la mise en service commercial des trains à très grande vitesse. D'une longueur de 250 mètres, ce nouveau bâtiment pourra accueillir une rame Avelia Horizon complète. Des investissements sont également prévus sur les sites fabriquant des composants pour les trains à très grande vitesse Avelia, comme Petit Quevilly, Ornans, Tarbes et Le Creusot, notamment en ce qui concerne la robotisation et les techniques de soudage avancées.

Le groupe précise que ces investissements seront assortis de l'embauche d'au moins 1 000 personnes en France en 2025 et permettront en outre de générer ou de sécuriser près de 2 500 emplois auprès des fournisseurs français d'Alstom.

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Le Grand entretien : Droits de douane, Alstom va-t-il souffrir ? - 04/04

https://www.bfmtv.com/economie/replay-emissions/le-grand-entretien/le-grand-entretien-droits-de-douane-alstom-va-t-il-souffrir-04-04_VN-202504040182.html

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
01/04/2025 12:33:45
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Ici aussi le marché prend pas trop de risque..
face à l'échéance des droits de douanes, le titre vient se placer tout proche de son point d'équilibre.
bas de canal bleu // support horizontal // Mm200
Cassera la tendance de fond ou pas ? réponse demain

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
26/03/2025 12:54:42
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SNCF Voyageurs demande à Alstom de suspendre la livraison des RER NG en raison de problèmes techniques
Le 24 mars 2025 à 17:46

Paris (AFP)--SNCF Voyageurs a demandé à Alstom de suspendre la livraison des RER NG en raison d'incidents techniques répétés ayant conduit à une baisse importante de la ponctualité sur la ligne francilienne du RER E, prolongée à l'ouest en 2024.

Construit par Alstom, le RER NG est déployé depuis novembre 2023 sur le RER E et doit progressivement remplacer les anciennes rames MI2N (pour "matériel interconnexion à deux niveaux"), âgées d'une trentaine d'années.

Transilien SNCF, la filiale de SNCF Voyageurs qui s'occupe des trains de banlieue parisienne, dit en avoir réceptionné 36, dont 26 sont en circulation.
Mais depuis l'arrivée de ce matériel et l'extension de la ligne à l'ouest entre Haussmann-Saint-Lazare et Nanterre-La Folie, problèmes techniques, retards et annulations de trains se sont multipliés.

En janvier, la ponctualité du RER E a plafonné à 87,9%, selon Ile-de-France Mobilités (IDFM). "Transilien SNCF Voyageurs a donc décidé de suspendre la réception de nouvelles rames (du RER NG), afin de stabiliser la situation en exploitation", a indiqué la compagnie, confirmant une information du média spécialisé Mobilettre.

L'origine des incidents est multiple, avec des problèmes de ventilation dans le tunnel nouvellement construit jusqu'à la Défense mais surtout, des soucis d'adhérence des trains en raison de graisses non compatibles entre les différents matériels en circulation.

Pour éviter l'usure prématurée des roues, les trains injectent à intervalle régulier de la graisse en petite quantité entre les roues et le rail.
Or la graisse du RER NG ne se mélange pas avec celle du MI2N, entrainant un phénomène de patinage qui nécessite d'arrêter les trains pour nettoyer les rails.
"Une solution temporaire a été mise en place par SNCF Voyageurs pour réduire le volume de graisse émis par le RER NG. Alstom et SNCF participent désormais à la mise en oeuvre d'une solution pérenne", a expliqué de son côté Alstom.

La période de rodage du matériel a donné lieu à des surprises puisque le RER NG a connu deux fois plus de pannes qu'anticipé et quatre fois plus que sur les anciennes rames MI2N.

A ce stade, les suspensions de livraison ne concernent pas le RER D où le RER NG a commencé à être déployé en fin d'année dernière. Ile-de-France Mobilités (IDFM), qui dit suivre "cette situation avec attention", a commandé 166 rames de ce train pour les RER D et E.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
05/03/2025 10:57:13
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Le moment que l'on vit cette semaine sur Alstom est riche.
Dans mon dernier post je parlais :
"Nous pouvons identifier une oblique de résistance baissière (en noire) qui compresse de plus en plus le cours...
Bref les bornes de jeu sont clairement identifiées, y a plus qu'à choisir le sens de sortie en fonction qu'on soit acheteur ou vendeur..
Le Vortex montre aussi cette phase de compression où un combat va bientôt avoir lieu
"

Mais en faite , il y a plus que ça.
En effet, on peut constater qu'une double ETEi s'est formée
une avec 20.9 comme ligne de cou qui vient quasiment d'être réalisé (en réalité l'objectif donne 23.1)
mais surtout une deuxième en cours de formation comme indiqué sur le graph.
A ce stade, on s'expose à un double top accouplé à un Rsi sur résistance donc ce n'est pas gagné non plus.... mais à moyen terme, je pense qu'on peut être optimiste.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
27/02/2025 12:46:55
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Si sortie par le haut, on ira plus haut..

vers 27€, qui correspond au gap du haut de cette phase haussière.

et ça fera revenir dans la gueule de l'ancienne congestion en biseau/triangle (en bleu sur la gauche qu'on voit à moitié ici)

  
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moicmoi moicmoi
27/02/2025 12:39:18
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OK avec ton analyse. Et en plus, on peut voir une figure en ETE Inv. Signe de hausse à venir. Un objectif MT à 24 ne me semble pas sur réaliste.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
27/02/2025 11:31:13
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Le titre est dans un trend haussier depuis octobre 223 et se matérialise avec un canal ascendant bien identifié en bleu.
Depuis l'hiver dernier, une phase de consolidation s'est mise en place traversant le canal et est venue se heurter à la Mm200 qui correspondait avec la borne basse du canal bleu.
Nous pouvons identifier une oblique de résistance baissière (en noire) qui compresse de plus en plus le cours...
Bref les bornes de jeu sont clairement identifiées, y a plus qu'à choisir le sens de sortie en fonction qu'on soit acheteur ou vendeur..
Le Vortex montre aussi cette phase de compression où un combat va bientôt avoir lieu

  
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JD1976 JD1976
26/06/2024 14:53:11
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La nouvelle gouvernance et la réussite de l'augmentation de capital donnent une plus grande visibilité au titre du fabricant de matériel ferroviaire. Nous repassons à l'achat sur Alstom en spéculatif.

Comme annoncé, le fabricant de matériel ferroviaire a dissocié les fonctions de Président du conseil d’administration et de Directeur général, à l’issue de l’assemblée générale qui s’est tenue le 20 juin.

L’ex-PDG Henri Poupart-Lafarge n’est plus que directeur général pour la durée de son mandat d’administrateur, soit jusqu’en 2027. Philippe Petitcolin, qui fut notamment Directeur général et administrateur de Safran de 2015 à 2020, devient Président du conseil d’administration.


L’augmentation de capital sursouscrite

Un autre ex-dirigeant de l’équipementier aéronautique occupe un poste important chez Alstom: il s’agit de Bernard Delpit qui en est le Directeur financier depuis un an (il exerça la même fonction chez Safran de 2015 à 2022 et fut aussi Directeur financier du Crédit Agricole de 2011 à 2015).

La nouvelle équipe dirigeante inspire visiblement confiance aux investisseurs. Alstom a réussi son augmentation de capital de 1 milliard d’euros, la demande totale s’étant élevée à plus de 1,7 milliard, soit un taux de souscription d’environ 173,4%. Le groupe estime avoir achevé son plan de désendettement de 2 milliards d’euros, incluant des cessions d’actifs (dont l’activité de signalisation en Amérique du Nord) et un emprunt obligataire hybride pour un montant de 750 millions d’euros.


L’exemple Safran

Philippe Petitcolin et Bernard Delpit apporteront à Alstom leur expertise dans la gestion de contrats complexes et de longue durée, là où le groupe ferroviaire n’a pas vraiment brillé ces dernières années. Avec un cours de Bourse qui a bondi de 325% en dix ans, Safran fait figure de grande réussite industrielle française et pourrait inspirer Alstom, même si les métiers ne sont pas identiques.

D’autres arguments nous incitent à tenter un achat spéculatif sur Alstom. Le titre qui a bien rebondi depuis le début d’année (+37%) vient de céder 8% en un mois. En trois ans, il abandonne 60%.

Ensuite, le groupe ferroviaire continue d’engranger les succès commerciaux. Il vient ainsi de remporter un contrat de 430 millions d’euros pour la fourniture de 10 trains Avantra au Royaume-Uni. Fin mars, le carnet de commandes s’élevait à 92 milliards d’euros, soit plus de 5 années de chiffre d’affaires.

Surtout, le groupe devrait améliorer ses résultats financiers, fort d’un bilan assaini et d’une meilleur exécution des projets en cours ou à venir.


Pour le présent exercice qui s’achèvera en mars 2025, les analystes interrogés par Factset tablent sur un flux de trésorerie disponible de 274 millions d’euros, après -557 millions à l’issue du dernier exercice. Ils attendent aussi un résultat net de 718 millions d’euros, multiplié par 16 en un an.

À un peu plus de 7,2 milliard d’euros, la capitalisation d’Alstom représente 10 fois cette estimation...


Tentant ??? 🔎👀

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
27/05/2024 11:21:16
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Pour boucler son plan de désendettement, Alstom lance une augmentation de capital d'un milliard d'euros
Aujourd'hui à 10:49

(BFM Bourse) - L'équipementier ferroviaire a donné le coup d'envoi ce lundi de cet appel au marché, avec l'émission prévue de 76,9 millions d'actions nouvelles au prix de 13 euros par titre. Ce qui traduit une décote de plus de 30% par rapport au cours de vendredi.

Avec une volatilité très basse sur les marchés actions et un titre en hausse de plus de 25% sur un mois, Alstom a jugé qu'il valait mieux ne pas traîner. L'équipementier ferroviaire avait indiqué au début du mois de mai qu'il comptait effectuer une augmentation de capital d'1 milliard d'euros pour se désendetter. Le groupe s'était donné jusqu’à la fin septembre pour mener cet appel au marché.

Il n'a finalement attendu que quelques semaines. Alstom a annoncé ce lundi le lancement de cette augmentation de capital de 1 milliard d'euros via l'émission de 76,86 millions d'actions nouvelles au prix de 13 euros par titre. Ce prix traduit une décote de 30,4% par rapport au cours de clôture de vendredi, de 18,69 euros.

Dilution modérée
L'augmentation de capital maintient le droit préférentiel de souscription (DPS) pour les actionnaires existants, ce qui signifie qui les porteurs du groupe pourront exercer ce droit pour souscrire prioritairement aux actions nouvellement émises, et éviter ainsi d'être dilué.

Chaque actionnaire recevra un DPS par action détenue et devra exercer cinq DPS pour souscrire à une action nouvelle. Les porteurs ne souhaitant pas exercer leurs DPS ou seulement en partie pourront les vendre, puisque les DPS seront cotés du 28 mai au 6 juin sur Euronext. Passée cette date, la valeur du DPS sera nulle.

Au niveau de la dilution, Alstom indique, à titre illustratif, qu'un actionnaire possédant 1% du capital du groupe et ne participant pas à l'opération verra sa participation ramenée à 0,83%.

La période de souscription aux actions nouvelles s'étendra du 30 mai au 10 juin inclus. Les deux plus importants actionnaires d'Alstom à savoir la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et Bpifrance participeront à la hauteur de leurs participations respectives, ce qui constituera un apport de fonds de 174 millions d'euros pour le premier et de 75 millions d'euros pour le second.

Cette augmentation de capital constitue le dernier pilier du plan de désendettement d'Alstom de 2 milliards d'euros. La société a également réalisé ou annoncé des cessions d'actifs pour 700 millions d'euros et a émis la semaine dernière une obligation hybride (à mi-chemin entre dette et capital) de 750 millions d'euros. Cet instrument financier est considéré à 50% comme des fonds propres par l'agence de notation Moody's.


Défendre la note de crédit
Rappelons que le but des opérations menées par Alstom reste de maintenir sa note de crédit en catégorie "investment grade", qui rassemble les "bons" émetteurs de dettes. Moody's avait annoncé qu'elle relèverait à "stable" la perspective de la note "Baa3" (la dernière de la catégorie "investment grade") du groupe, une fois toutes ces opérations menées. Pour l'heure, la perspective de cette note se situe à "négative".

La note de crédit, pour Alstom, s'avère particulièrement cruciale. "Le rating (la note de crédit, NDLR) est clef de manière générale", avait expliqué début mai à des journalistes le PDG, Henri Poupart-Lafarge. Ce à la fois pour obtenir des coûts de financements plus bas sur le marché mais aussi pour avoir davantage de "disponibilités de cautions", ces cautions étant exigées par des partenaires dans le cadre des contrats commerciaux.

Depuis le début de l'année, Alstom s'adjuge 58% en Bourse, aidé par des annonces rassurantes et des résultats un peu meilleurs qu'escomptés. L'action a aussi été portée par des rachats de "shorts" brutaux (ce que l'on appelle un "short squeeze"), c'est-à-dire des investisseurs qui ont vendu à découvert l'action et qui débouclent leurs positions (en rachetant le titre), jugeant que le pire est désormais passé.

"Alstom reste l'une des valeurs les plus vendues à découvert en Europe et nous nous attendons à ce que le 'short squeeze' se poursuive car le groupe semble être de nouveau sur la bonne voie en termes de dynamique de flux de trésorerie et de structure de bilan", écrivait début mai Deutsche Bank.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
08/05/2024 12:26:02
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Alstom détaille son plan de réduction de la dette, soutenu par les actionnaires
Publié le 08/05/2024 à 11h52

(Reuters) - Alstom a détaillé mercredi son plan de réduction de la dette et de réforme de ses finances, prévoyant notamment une augmentation de capital d'environ 1 milliard d'euros avec maintien des droits préférentiels de souscription.
Les deux principaux actionnaires du groupe, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et Bpifrance, qui détiennent respectivement des participations de 17,4% et 7,5%, ont accepté de souscrire à l'augmentation de capital, a précisé Alstom.

Le fabricant français de trains avait évoqué l'année dernière la possibilité d'une augmentation de capital, entraînant alors la chute de l'action, tandis qu'un avertissement sur les flux de trésorerie en octobre avait clairement indiqué aux investisseurs que l'entreprise était aux prises avec des problèmes d'endettement.

Les analystes de Jefferies ont dit prévoir une meilleure performance du groupe pour la seconde moitié de l'année fiscale et estimé que les prévisions de rentrées d'argent pour l'année entre 300 et 500 millions d'euros "semblent bonnes".

Alstom a enregistré un flux de trésorerie négatif de 557 millions d'euros pour l'exercice se terminant en mars 2024, dépassant les attentes des analystes, qui tablaient sur 632 millions d'euros dans un sondage fourni par l'entreprise.

Les problèmes de trésorerie du groupe sont en partie liés au fait qu'Alstom a hérité de contrats problématiques après l'acquisition en 2021 des activités ferroviaires de Bombardier.
"Nous savions qu'il fallait trois, quatre ans afin de complètement intégrer (l'acquisition)", a déclaré le directeur général d'Alstom, Henri Poupart-Lafarge, lors d'un appel téléphonique avec la presse.

Le plan détaillé mercredi, qui comprend également l'émission d'obligations hybrides pour un montant d'environ 750 millions d'euros, et des cessions d'actifs déjà annoncées pour un montant d'environ 700 millions, rapporterait environ 2,45 milliards d'euros, selon les calculs de Reuters.
Une telle somme dépasserait l'objectif de réduction de la dette nette de 2 milliards d'euros d'ici mars 2025.

Henri Poupart-Lafarge a également déclaré aux analystes lors d'une conférence téléphonique qu'il pourrait y avoir d'autres cessions d'actifs, au-delà du plan de réduction de la dette, et que le groupe surveillerait également les acquisitions potentielles.
Le directeur général a ajouté que le plan de réduction de la dette devrait être exécuté au cours du premier semestre de l'année fiscale.

Alstom a affiché une hausse de 6,7% de son chiffre d'affaires annuel pour atteindre 17,62 milliards d'euros.

Message complété le 08/05/2024 12:38:44 par son auteur.

Alstom : Soulagée, la Bourse veut croire que le pire est désormais derrière Alstom
Aujourd'hui à 11:40

(BFM Bourse) - L'action de l'équipementier ferroviaire évolue en hausse à la suite de la publication des résultats annuels et des annonces du groupe sur son désendettement. L'absence de mauvaise surprise peut inciter les investisseurs qui misaient sur une baisse du titre à déboucler leurs positions.

La publication d'Alstom était attendue avec une certaine nervosité par le marché, ce mercredi. La réaction assez chaotique de l'action de l'équipementier ferroviaire à ses différentes annonces l'illustre bien .
Après avoir ouvert en baisse de 6%, le titre s'est retourné pour gagner plus de 9% quelques minutes plus tard. Vers 12h, l'action semblait se stabiliser autour d'une hausse de 3%.


Une note de crédit confirmée

Coté désendettement, Alstom a indiqué vouloir dégager 700 millions d'euros via des cessions d'actifs déjà réalisées ou déjà engagées, comme la vente de certaines activités de signalisation en Amérique du Nord. Le directeur financier, Bernard Delpit, a toutefois indiqué aux analystes qu'Alstom n'excluait pas de vendre d'autres actifs, en plus des cessions contenues dans ce plan de désendettement.

Le groupe compte aussi lever 750 millions d'euros au travers de l'émission de dette hybride, un instrument financier à mi-chemin entre actions et obligations, avec un coût plus élevé qu'un emprunt obligataire traditionnel (6,5% à 7% contre 4,5% pour de la dette à court terme) mais une maturité plus longue voire perpétuelle. Enfin, Alstom entend dégager 1 milliard d'euros via une augmentation de capital qui sera bouclée d'ici à fin septembre.

Ce plan doit permettre à Alstom de conserver sa note de crédit "Baa3" auprès de l'agence de notation Moody's, en dégageant ainsi 2,4 milliards d'euros avec un impact de 2 milliards sur le désendettement (cela tient au fait que Moody's ne considère qu'à moitié l'obligation hybride come du capital). L'agence a d'ailleurs confirmé ce mercredi dans un communiqué cette note de crédit et a précisé qu'elle "stabiliserait" la perspective de cette note, c'est-à-dire qu'elle la relèvera de "négative" à "stable", lorsque le groupe aura bouclé son augmentation de capital et son émission de dette hybride.

Ce qui s'avère d'une importance cruciale pour Alstom. "le rating (la note de crédit, NDLR) est clef de manière générale", a expliqué à des journalistes le PDG, Henri Poupart-Lafarge. Ce à la fois pour obtenir des coûts de financements plus bas sur le marché mais aussi pour avoir davantage de "disponibilités de cautions", ces cautions étant exigées par des partenaires dans le cadre des contrats commerciaux.



"Pas de mauvaise surprise"

Au final, "il n'y a pas de mauvaise surprise", résume un intermédiaire financier qui juge que "le marché a peut-être le sentiment que le pire est passé".

Deutsche Bank écrit pour sa part qu'il s'agit d'un "clearing event", c'est-à-dire un évènement qui permet de remettre les choses à plat et donc d'aller ensuite de l'avant. La banque écrit qu'"aussi bien les perspectives que le plan de de désendettement apparaît en ligne avec les attentes du marché". Elle s'attend à ce que "le short squeeze (des "shorts" qui débouclent leurs positions, NDLR) continue".

Les "shorts" sont des investisseurs qui avaient décidé de parier sur une baisse de l'action en la vendant à découvert (c'est-à-dire en vendant l'action sans la détenir mais en l'empruntant via un marché dédié) et qui peuvent décider, à la suite de cette publication, de solder leur position, jugeant que les mauvaises nouvelles sont finies. Ce qui peut participer à la hausse de l'action.

"Nous prévoyons une réaction neutre du cours de l'action à la suite des annonces de ce mercredi car les mesures de renforcement du bilan sont globalement conformes aux attentes", estime de son côté Morgan Stanley, dans une note publiée avant l'ouverture du marché.

La direction a peut-être également rassuré avec sa présentation assez dense. Bernard Delpit, le directeur financier, a notamment déroulé les actions entreprises et les progrès effectués pour améliorer le contrôle d'Alstom sur son cash.

Les stocks ainsi que les retards dans les projets ont été nettement réduits. Le groupe a aussi mis en place en octobre un "cash cockpit" qui fait la liaison entre les équipes opérationnelles et financières. Une prévision de besoins de cash sur trois mois actualisée chaque mois est par ailleurs désormais effectuée par les régions du groupe pour éviter les surstocks, a indiqué le directeur financier.

La génération de cash reste le paramètre financier le plus surveillé par le marché. Alstom compte dégager sur l'exercice 2024-2025, clos en mars prochain, entre 300 millions et 500 millions d'euros de flux de trésorerie. Sur le seul premier semestre, le groupe brûlera entre 300 millions et 500 millions d'euros, a-t-il prévenu.

  
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JD1976 JD1976
31/01/2024 07:43:52
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Alstom : curseur ajusté


Publié le 30/01/2024

(Boursier.com) — Alstom est stable sur les 11,65 euros ce mardi, alors que Jefferies reste à l'achat sur le dossier, mais avec un objectif coupé de 33 à 16 euros... Le groupe a récemment fait état de 5,45 MdsE de commandes sur le trimestre, en hausse de 5,8% en variation publiée. Un niveau supérieur aux attentes des analystes... Le management, qui a confirmé ses objectifs annuels, a souligné que "les processus de cession d'actifs progressent" et a confirmé la fourchette de cessions visant à générer entre 500 et 1 milliard d'euros. "La faisabilité et le dimensionnement d'une augmentation de capital (avec droits de préemption pour les actionnaires) sont étudiés en parallèle", a également indiqué Alstom. Le groupe annoncera en mai, lors de la publication de ses résultats annuels 2023-2024, la ventilation de son plan de désendettement de 2 milliards d'euros...


  
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Ptitchat72 Ptitchat72
12/01/2024 11:26:26
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Pour HSBC, Alstom a les moyens d'éviter une augmentation de capital
jeudi 11 janvier 2024 à 17h42


(BFM Bourse) - La banque sino-britannique a confirmé ce jeudi son conseil à l'achat sur l'équipementier ferroviaire voyant un potentiel significatif dans le titre. Elle pense que le groupe parviendra à mener à bien des cessions d'actifs et des financements de quasi-fonds propres, tout en générant du cash. Ce qui lui permettrait de réduire sa dette sans faire appel au marché.

Alstom a connu une année noire en Bourse l'an passé, perdant 46,6%, soit la pire performance du CAC 40. L'équipementier ferroviaire a surtout marqué les esprits avec une chute vertigineuse de 37,58% sur une seule séance, en octobre.

A cette date, le fabricant du TGV avait lancé un avertissement retentissant sur sa génération de trésorerie, prévenant qu'il brûlerait plus d'1 milliard d'euros de cash sur les six premiers mois de son exercice 2023-2024, clos en mars prochain, et que le décaissement sur l'ensemble de l'année fiscale se situerait entre 500 millions et 750 millions d'euros. Mi-novembre, l'action a encore dévissé (-15% sur une séance) après que le groupe a ouvert la porte à une augmentation de capital pour remettre d'équerre son bilan.

Plus exactement, Alstom a annoncé viser une réduction de sa dette nette de 2 milliards d'euros d'ici à fin mars 2025, dette qui s'élevait à 3,43 milliards d'euros à fin septembre dernier.

Outre le désendettement organique, via la génération de cash, le groupe avait cité trois leviers potentiels pour se désendetter. Alstom avait mentionné des cessions d'actifs allant de 500 millions à 1 milliard d'euros ou encore l'émission de titres de quasi-capital, en passant par exemple par une filiale dans laquelle seraient associés des investisseurs tiers et où seraient logés certains actifs.


HSBC voit un potentiel de plus de 100%
Avant Alstom, Air France-KLM avait eu recours à de tels procédés, en ouvrant au fonds Apollo des filiales logeant ses programmes de fidélité et ses activités d'ingénierie et de maintenance. Apollo a alors souscrit à chaque fois des obligations perpétuelles, qui sont considérées comme des fonds propres dans les normes comptables internationales. L'augmentation de capital, le troisième levier, ne serait actionnée qu'en dernier recours, estiment plusieurs analystes financiers.

L'idée pour Alstom est aussi de donner des gages à Moody's qui note le groupe "Baa3", soit le tout dernier cran avant la catégorie "junk" ("spéculative"), l'entreprise voulant éviter à tout prix une dégradation qui serait synonyme de coûts de financement plus élevés. Pour l'heure, Alstom bénéficie d'un sursis, Moody's ayant maintenu cette note en octobre en abaissant toutefois la perspective à "négative".

Ce jeudi, HSBC a envoyé un message de confiance sur la faculté du groupe a résoudre ces difficultés. La banque sino-britannique a confirmé son opinion à l'achat et sa cible sur l'action à 23 euros, soit près du double du cours actuel, jugeant que le potentiel de hausse est "significatif". Ce qui porte l'action Alstom qui prend 2,22% à la Bourse de Paris vers 15h30.

"Nous pensons qu'une augmentation de capital peut être évitée et nous nous attendons au succès des cessions d'actifs, des opérations de quasi-fonds propres et du désendettement organique", résume l'établissement.

Selon la banque, Alstom a suffisamment d'actifs de qualité pour atteindre le haut de son objectif de cessions, c'est-à-dire 1 milliard d'euros d'ici mars 2025. HSBC rapporte que le groupe a expliqué durant des roadshows (des conférences avec des investisseurs) avoir reçu des marques d'intérêt de la part de concurrents. Alstom n'a pas communiqué l'identité des activités qui pourraient être vendues, mais BFM Business et Bloomberg ont rapporté en novembre que le groupe étudiait la vente de la signalisation ferroviaire aux Etats-Unis ainsi que de ses parts dans des coentreprises en Chine.


Une amélioration de la génération de cash à venir ?
HSBC estime également qu'Alstom pourrait lever environ 500 millions d'euros via les opérations de financement de quasi-fonds propres en faisant entrer temporairement un actionnaire minoritaire dans des activités avec des flux de trésorerie stables et prévisibles, tels que des portefeuilles de contrats de services ou d'équipements.

Resteraient donc 500 millions d'euros sur les 2 milliards d'euros de dette nette en moins visés par la société, une somme suffisamment faible pour que le groupe puisse se passer d'une augmentation de capital, juge HSBC.

D'autant que le désendettement organique, et donc la génération de cash, pourrait s'améliorer et donc apaiser les inquiétudes des investisseurs et de Moody's, avance l'établissement. HSBC table sur un décaissement de flux de trésorerie libre de 655 millions d'euros sur l'ensemble de l'exercice 2023-2024, avant un retour à une génération de free cash-flow positive de 504 millions d'euros en 2024-2025 puis de 702 millions d'euros en 2025-2026.


L'ex-tandem de Safran au centre du jeu
Alstom devra pour cela faire preuve de discipline sur son besoin en fonds de roulement et sur ses stocks, et pourra compter dans ce but sur son directeur financier, Bernard Delpit, arrivé l'an passé.

Autrefois directeur financier de Safran, le dirigeant possède un "bilan robuste", fait valoir HSBC. Il bénéficiera, en outre, de l'appui de Philippe Petitcolin, l'ex-directeur général de Safran, qui formait avec Bernard Delpit un tandem apprécié par les investisseurs chez l'équipementier aéronautique.

Philippe Petitcolin prendra, sauf improbable vote contraire lors de l'assemblée générale, la présidence du conseil d'administration d'Alstom en juillet prochain, tandis qu'Henri Poupart-Lafarge restera directeur général. L'arrivée de Philippe Petitcolin devrait donc "aider à restaurer la confiance des investisseurs dans la société", juge HSBC.

En conclusion, avec des catalyseurs qui incluent des annonces sur les cessions d'actifs et sur des commandes, "nous attendons à ce que l'action progresse significativement au cours de l'année", répète HSBC.

  
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Dubaisan Dubaisan
03/11/2023 06:53:53
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Par courrier reçu le 2 novembre par l'AMF, la société Causeway Capital Management LLC (Los Angeles), agissant pour le compte de clients et de fonds dont elle assure la gestion, a déclaré avoir franchi en hausse, le 31 octobre, les seuils de 5% du capital et des droits de vote d' Alstom et détenir, pour le compte desdits clients et fonds, 19.329.233 actions Alstom représentant autant de droits de vote, soit 5,03% du capital et des droits de vote, suite à une acquisition d'actions sur le marché.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
25/01/2023 09:29:45
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Confirmation des objectifs après un troisième trimestre solide
25/01/2023 | 07:57

PARIS (Agefi-Dow Jones)--L'équipementier ferroviaire Alstom a confirmé mercredi ses perspectives pour l'exercice qui s'achèvera en mars 2023 et annoncé une hausse de 8% de ses revenus à données publiées au troisième trimestre.

Sur la période d'octobre à décembre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 4,2 milliards d'euros, contre 3,92 milliards d'euros un an plus tôt, soit une hausse de 8%.

"Le troisième trimestre d'Alstom a été positif. Nous avons constaté une dynamique commerciale soutenue, marquée par la levée de nouvelles options sur plusieurs contrats-cadres, notamment en Espagne, en Irlande et au Kazakhstan", a indiqué le PDG du groupe, Henri Poupart-Lafarge, cité dans un communiqué. "Cela se produit au moment où l'activité services enregistre une performance solide, plus particulièrement au Royaume-Uni. L'environnement de marché reste positif, les clients confirmant leurs plans d'investissement dans toutes les régions", a-t-il ajouté.
"Confiants dans la résilience de notre modèle économique, nous confirmons nos objectifs à court et moyen termes" , a précisé le dirigeant.

Alstom prévoit pour l'ensemble de son exercice 2022-2023 une marge d'exploitation comprise entre 5,1% et 5,3%, à comparer à 5% en 2021-2022. Le groupe vise également une génération de cash-flow libre dans une fourchette de 100 millions à 300 millions d'euros et un ratio de commandes sur chiffre d'affaires supérieur à 1.

Les prises de commandes ont atteint 5,2 milliards d'euros au troisième trimestre, contre 4,6 milliards d'euros au troisième trimestre 2021-2022.

Le consensus établi par FactSet anticipait des revenus de 4,2 milliards d'euros et des prises de commandes de 4,6 milliards d'euros pour le troisième trimestre.

Sur les neuf premiers mois de l'exercice 2022-2023, le chiffre d'affaires d'Alstom s'est inscrit à 12,3 milliards d'euros, en hausse de 8% à données publiées. La croissance organique, c'est-à-dire à changes et périmètre constants, a atteint 6%. Les prises de commandes ont progressé de 6% en données publiées et de 3% en données organiques, à 15,2 milliards d'euros.

Au 31 décembre 2022, le carnet de commandes d'Alstom atteignait 84,6 milliards d'euros.

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Citi ('achat') affirme que la confirmation des orientations doit être considérée comme "rassurante". Bien qu'il soit peu probable qu'il y ait des changements importants au niveau du consensus à ce stade, Citi continue de considérer la réduction des risques sur les contrats onéreux, la capacité à répercuter l'inflation et la progression de la trésorerie comme des moteurs positifs.


Message complété le 25/01/2023 11:40:36 par son auteur.

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Lors d'une conférence téléphonique avec des analystes, le directeur financier Laurent Martinez a indiqué que les tensions sur l'offre – par exemple l'approvisionnement en composants électroniques – étaient "sous contrôle", de même que l'inflation des prix des matières premières et de l'énergie. Il a également expliqué que le groupe avait débuté les discussions sur les revalorisations salariales dans 70 pays.

Objectifs confirmés
Laurent Martinez a rappelé qu'environ les deux-tiers des contrats d'Alstom bénéficiaient de clauses d'indexation pour protéger le groupe de l'inflation, pourcentage qui va croître au fur et à mesure. Le carnet de commandes et les nouveaux contrats engrangés bénéficient en effet de plus en plus souvent de ce type de clause. Le dirigeant a par ailleurs indiqué ne pas voir d'affaiblissement de la demande au niveau mondial pour les produits du groupe.

  
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JD1976 JD1976
21/11/2022 10:13:56
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Alstom signe un accord-cadre pour la construction de la ligne de métro du Caire

21/11/2022 | 09:43


* SIGNE UN ACCORD CADRE AVEC L'AUTORITÉ NATIONALE DES TUNNELS POUR LA CONCEPTION ET LA CONSTRUCTION DE LA LIGNE 6 DU MÉTRO DU CAIRE


* LE PROJET COMPRENDRA ÉGALEMENT 26 STATIONS, DONT 12 SERONT SOUTERRAINES


* SERA ÉGALEMENT CHARGÉ DES SYSTÈMES DE SIGNALISATION, DE L'INFRASTRUCTURE, DES SYSTÈMES DE TÉLÉCOMMUNICATION, DE LA TRACTION, DE L'ALIMENTATION ÉLECTRIQUE, DE LA SOUS-STATION HAUTE TENSION, DES ÉQUIPEMENTS DE DÉPÔT, DE LA CONCEPTION DU DÉPÔT, DES VOIES FERRÉES, DU TROISIÈME RAIL ET DE LA PERCEPTION AUTOMATIQUE DES TARIFS


  
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