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TOTAL - News - Reco - Page 11

Cours temps réel: 69,48  2,09%



Ribo Ribo
04/03/2021 17:57:01
2

Vaut mieux aérer vu qu'ils passent au gaz...

Message complété le 04/03/2021 18:08:06 par son auteur.

Et on ne fume pas dans cette file !

  
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vlfr006 vlfr006
04/03/2021 16:41:28
2

Avec un joli dessin ,c'est mieux

Message complété le 04/03/2021 16:41:58 par son auteur.

J'ai aéré au max

  
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vlfr006 vlfr006
04/03/2021 16:34:05
1

Elle vient enfin de passer les 40 .. en avant pour les 43.8

  
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Ribo Ribo
04/03/2021 14:35:25
1

AlphaValue reste à accumuler avec un objectif de cours réduit de 45 à 42,80 EUR

  
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vlfr006 vlfr006
04/03/2021 14:04:50
0

Elle continue son petit bonhomme de chemin ... malgré la réunion en cours a l'OPEP........

  
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Ribo Ribo
03/03/2021 18:47:56
1

03/03/2021 | 07:43►TOTAL SA : JP Morgan toujours neutre sur le dossier

JP Morgan a confirmé son opinion neutre sur le dossier.

L'objectif de cours est modifié à la hausse à 50 EUR contre 46 EUR auparavant.

  
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cavalerie92 cavalerie92
03/03/2021 09:22:03
1

bonjour

Merci pour le lien

ils sont très positifs sur Total, St gobain et Lafarges

  
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Ribo Ribo
02/03/2021 12:15:30
3

Explications sur les taux et dans quels secteurs investir actuellement ?

Copier/Coller en navigateur :

www.bfmtv.com/economie/replay-emissions/bfm-bourse/quelle-est-la-strategie-d-allocation-la-plus-pertinente-01-03_VN-202103010327.html

Pour Total et les énergies renouvelables aller à 21'53''

  
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faroul5 faroul5
25/02/2021 12:44:21
0

Attention à la réunion OPEP+ qui pourrait changer le cours des choses.........."Tout le monde attend maintenant" la réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de leurs alliés de l'Opep+ qui se tiendra la semaine prochaine, le 4 mars, qui pourrait déboucher sur un "assouplissement des contraintes d'offre" auquel le cartel s'astreint, selon Neil Wilson, de Markets.com, et d'autres analystes. (zone bourse )

  
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JD1976 JD1976
23/02/2021 08:45:11
0

Total annonce ce matin l’entrée de la Banque des Territoires et de Crédit Agricole Assurances au capital de deux portefeuilles de sa filiale dédiée aux projets d’énergies renouvelables.

Ces cessions valorisent ces portefeuilles à une valeur d’entreprise de 600 millions de dollars pour 100% du capital. Pour sa part, Tikehau Capital a finalisé une levée de fonds dédiée à la transition énergétique pour un montant de plus d'un milliard d'euros.

  
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gars d'ain gars d'ain
19/02/2021 08:56:24
3

Je note "A", ça reste une très bonne note pour investir d'autant que dès que Total se sera refait la cerise, on lui remettra son A+...


Les européens avec leur bulle à verdir les sportifs oublient visiblement que le pétrole reste le principale moteur économique de l'économie mondiale et que pour beaucoup de pays, le pétrole est essentiel. On est très loin d'avoir un développement optimale de l'électricité dans beaucoup de pays du monde...

Bref, on surjoue des caprices de riches et de bobos exubérants qui veulent donner des leçons d'écologie à toute la planète alors que ce sont souvent ceux qui polluent le plus de part leur train de vie et ce qu'ils font de leur argent...

  
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Ribo Ribo
19/02/2021 04:33:35
2

TOTAL SE - Cours en temps réel : 18/02 17:37►36.575EUR / -1.06%

(aw p/a fp) - 18/02/2021 | 22:51►L'agence S&P abaisse les notes de Total et de Shell

L'agence de notation financière S&P Global Ratings a annoncé jeudi avoir abaissé les notes de Total et Royal Dutch Shell, après celles d'autres compagnies pétrolières, considérant que les risques pour les groupes pétroliers et gaziers avaient augmenté, en lien avec la transition énergétique et le changement climatique.

Cette décision n'est pas une surprise: S&P avait averti le 26 janvier que ces abaissements étaient probables dans l'industrie.

Et la semaine dernière, l'agence avait déjà abaissé les notes d'ExxonMobil, Chevron et ConocoPhillips.

La note de Total a été abaissée d'un cran, de "A+" à "A", tandis que celle de Royal Dutch Shell passe de "AA-" à "A+". Les deux notes sont assorties d'une perspective stable, a indiqué SP.

L'agence explique qu'elle voit "des risques à long terme pour la profitabilité de l'industrie pétrolière et gazière, en parallèle aux défis de la transition énergétique".

S'agissant de Total, S&P relève que le groupe, qui a adopté la semaine dernière le nouveau nom TotalEnergies, "transforme ses activités pour affronter ces défis" et possède "la plus importante capacité installée d'énergies renouvelables par rapport à ses homologues".

"Cependant, il reste fortement exposé, parce que le pétrole et le gaz devraient rester la principale source de trésorerie d'ici 2050", poursuit S&P.

Total a enregistré une perte nette de 7,2 milliards de dollars en 2020, contre un bénéfice de 11,2 milliards en 2019.

Quant à Shell, qui a aussi initié un virage vers les énergies renouvelables, il a subi une perte colossale de 21,7 milliards de dollars l'an dernier.

  
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JD1976 JD1976
17/02/2021 14:02:57
1


37.23 EUR +2.29%

TOTAL, plus forte hausse du CAC 40 à la mi-séance du mercredi 17 février 2021

Le groupe pétrolier bénéficie de la bonne orientation des cours du pétrole. A la mi-journée, le baril de Brent progresse de 0,71% à plus de 64 dollars. L'action Total gagne plus de 7% sur une semaine et près de 6% depuis le début de l'année.

© AOF 2021

  
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JD1976 JD1976
13/02/2021 15:31:31
4

Francis Perrin : « Le pétrole va rester encore longtemps la poule aux œufs d’or »

Les majors sont à un moment charnière : alors que leurs revenus chutent, certaines misent sur les énergies renouvelables. Le point de vue du chercheur.

Publié le 12/02/2021

Bonne lecture !


Cette semaine, Total a innové par deux fois. Le même jour, présentant les résultats de l'entreprise, son PDG Patrick Pouyanné a annoncé des pertes records de 7,2 milliards de dollars, les premières depuis 2015, et un nouveau nom pour l'entreprise. Elle s'appellera, si les actionnaires sont d'accord, TotalEnergies. Cette double annonce résume assez bien la situation des compagnies pétrolières : les temps sont durs, puisque le cours du baril s'est effondré en 2020, mais certaines ont changé leur fusil d'épaule en s'orientant vers les énergies renouvelables, comme le solaire et l'éolien. Faut-il pour autant annoncer l'acte de décès de l'or noir ? Francis Perrin, chercheur associé au Policy Center For The New South et directeur de recherches à l'Iris, explique que, malgré ces déconvenues, le pétrole a encore de beaux jours devant lui.

Le Point : Entre le Covid, les écologistes, les instances internationales et les gouvernements, on a l'impression que tout le monde veut la peau du pétrole !

Francis Perrin : Il est évident que les pressions s'accentuent de toutes parts sur l'industrie pétrolière. Il y a évidemment la crise sanitaire mondiale, qui a entraîné une baisse drastique de la consommation et, donc, des prix du pétrole. Mais le facteur essentiel est la lutte contre le réchauffement climatique. À cet égard, l'accord de Paris de la COP 21, en 2015, est un moment essentiel. Les signataires y reconnaissent la réalité du réchauffement en pointant ses causes essentielles, les énergies fossiles. C'est une vraie prise de conscience. Depuis, on constate une évolution assez forte des majors du pétrole et, dans une moindre mesure, des États pétroliers.

Quelle a été la réaction des compagnies ?

Le cas de Total est assez emblématique. Patrick Pouyanné, son PDG, proposera au conseil d'administration de changer le nom de l'entreprise, qui s'appellera alors TotalEnergies. Bien avant la pandémie, Total a changé pour devenir une entreprise multi-énergies, avec une vraie stratégie industrielle. Ce mouvement est partagé par d'autres majors, mais il faut souligner qu'elles sont toutes européennes. C'est le cas de BP, Royal Dutch Shell, ENI ou encore Total, donc. Toutes ces compagnies ont engagé depuis plusieurs années une diversification de leur portefeuille, sans jeter à la poubelle, bien entendu, ce qui a fait leur richesse depuis des décennies : le pétrole. Mais elles le remplacent au fur et à mesure par les énergies renouvelables, plus précisément l'éolien, le photovoltaïque et la biomasse. Le potentiel de l'hydraulique est à leurs yeux trop juste. Le nucléaire [qui n'est pas classé parmi les énergies renouvelables, NDLR] n'est pas non plus intéressant, même si Total et d'autres s'y sont penchés il y a quelques années : sa rentabilité est trop incertaine.

Ce mouvement ne touche donc pas les compagnies américaines ?

Beaucoup moins. Il y a plusieurs raisons. D'abord, le facteur culturel, bien entendu. Sans verser dans la caricature, le pétrole, c'est Dallas ! Ensuite, la richesse en hydrocarbures du territoire nord-américain. La mer du Nord, qu'exploite notamment BP, ce n'est pas les États-Unis ! Avec un potentiel aussi considérable, on ne voit pas les choses comme un concurrent européen. Enfin, la présidence Trump a été très favorable aux énergies fossiles, donc aux compagnies américaines. Elles n'ont évidemment pas été incitées à se tourner vers d'autres énergies que le pétrole et le gaz. Certes, Joe Biden a d'ores et déjà annoncé qu'il allait faire bouger les choses. Le nouveau président a fixé un objectif de neutralité carbone en 2050 et a évoqué un vaste programme de sortie des énergies fossiles, doté, sous réserve de confirmation, de 2 000 milliards de dollars. Mais Biden n'est là que pour quatre ans. La question est donc de savoir comment les compagnies pétrolières, comme ExxonMobil ou Chevron, vont apprécier ses positions. Vont-elles bouger et commencer à sortir des hydrocarbures, ou faire le dos rond en attendant la fin de ses quatre années de mandat ?

Elles doivent forcément bouger, puisque leurs pertes financières sont considérables !

Oui, ExxonMobil vient d'annoncer 22 milliards de dollars de pertes. C'est évidemment très spectaculaire, parce que ce secteur nous avait habitués à dégager de gros profits. Mais les majors américaines se disent : « Le Covid ne va pas durer, l'activité économique va reprendre, on a déjà connu des crises du pétrole, les prix se redressent toujours. » D'ailleurs, le prix du baril de Brent était à 68 dollars il y a un an, avant le début de la crise sanitaire, il a plongé à 18 dollars en avril avant de remonter à 61-62 dollars aujourd'hui.

Quelle est la position des États pétroliers et de leurs compagnies nationales ?

Ils sont beaucoup plus timides. Les Émirats arabes unis font figure d'exception. Ils n'abandonnent pas le pétrole ni le gaz, bien entendu, mais bien avant l'épidémie de Covid, ce pays avait commencé à diversifier son portefeuille. Il a lancé un programme nucléaire, avec quatre réacteurs, dont l'un vient d'entrer en service, et investit beaucoup dans l'énergie solaire. C'est sans doute, à cet égard, le pays le plus avancé parmi les gros producteurs de pétrole. Il n'a pourtant pas le couteau sous la gorge, car ses réserves sont encore importantes, mais c'est un pays doté d'une vision d'avenir. L'Arabie saoudite, sous l'impulsion du prince Mohammed ben Salmane, a aussi entrepris une diversification de son portefeuille avec le plan Vision Arabie saoudite 2030. Le pays investit dans le gaz naturel, l'énergie solaire et sans doute dans le nucléaire. Il y a donc des évolutions, mais bien moins importantes que celles des pétroliers Les dirigeants des majors sont lucides : ils bougent parce que le monde bouge et ne veut plus des énergies fossiles…

Oui, ils sont avant tout pragmatiques. Ces dirigeants s'adaptent aux évolutions du monde. Les contraintes sont de plus en plus nombreuses : l'évolution du prix du pétrole, les prises de position des gouvernements et des institutions internationales, les stratégies des financeurs, qui orientent leurs investissements vers les énergies vertes, et celles des actionnaires. Certains fonds d'investissement agissent pour forcer les majors à changer leur stratégie.

À force de désinvestir dans le pétrole, et notamment dans la recherche de nouveaux champs, les majors ne risquent-elles pas de jouer avec le feu en provoquant une pénurie ?

C'est le grand sujet, dont on mesurera l'impact au milieu de cette décennie. Les majors ont fortement réduit leurs investissements entre 2014 et 2016, lorsque le prix du baril a dégringolé, puis en 2020. Le problème, c'est que les champs de pétrole s'épuisent, il faut donc les remplacer. En parallèle, la demande va très certainement augmenter après la crise du Covid. Il y a de bonnes raisons de s'inquiéter à l'horizon 2025. Or le pétrole reste la seule source d'énergie irremplaçable et indispensable. Elle est nécessaire dans les transports routier, aérien, maritime, et dans l'industrie pétrochimique. On a beau vouer aux gémonies le plastique, issu du pétrole, il est indispensable à nos vies, par exemple lorsqu'il sert à fabriquer des masques contre le virus ! Pour les majors, le pétrole reste la poule aux œufs d'or, et encore pour longtemps.

  
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zozio zozio
12/02/2021 11:12:43
0

On chatouille les 34.5 depuis qq jours tt de mm, en dessous je serai patient pour rentrer un ligne

  
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Ribo Ribo
12/02/2021 10:59:58
0

LBBW passe à l''achat' sur Total en visant 39 euros

  
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Ribo Ribo
11/02/2021 21:25:46
0

La recommandation du broker UBS est inchangée.

L'analyste Jon Rigby demeure neutre sur le dossier. L'objectif de cours reste fixé à 40.50 EUR.

  
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Anjou49 Anjou49
11/02/2021 15:53:07
0

Assuré ? À « priori » pour mars et juin selon la direction de TOTAL mais c’est le dividende de septembre 2021 qui sera le vrai juge de paix : soit continuité sur rendement à ce haut niveau soit réduction plus en rapport des résultats de l’exercice 2020. Les 4 derniers trimestres de dividendes cumulés versés se montent à un bon 7,5% brut. Très au-dessus en % de ceux versés les années précédentes.

Mais pour l’instant ça reste bon à prendre si l’action ne faiblit pas trop.

Enfin c’est juste un avis.

  
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Mister+ Mister+
11/02/2021 12:23:52
0

Tout ce qu'on voit c'est un bon rendement dividende assuré sur ce prix.

Elle peut prendre 10% en très peu de temps.

  
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JD1976 JD1976
11/02/2021 11:49:05
0

Hé oui, même avec cette ribambelle d'analystes, à chacun ses propres convictions ! 🔎🤷🏻‍♀️

Message complété le 11/02/2021 12:36:18 par son auteur.

Mister+ ???
Vous êtes un vrai mystère, aussitôt arrivé, aussitôt disparu ... pschitttt !!!

  
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