TOTAL - News - Reco - Page 14

Hello Ribo

Ils mettent une semaine entre le détachement et le paiement !

Bon ce n est pas pour mes 100 titres que je vais changer ma vie lol

Si je comprend tu n es à l encontre de l article du revenus ?

Mais les fondamentaux te semblent bons?

Faut juste attendre une baisse de 5% encore

Pour les impatients, le paiement c'est lundi prochain...

Lundi 04/01/21 : date de détachement d'un acompte de dividendes de 0.66€

►pour prétendre au dividende, il suffit de détenir effectivement le titre à la clôture du marché précédant la date de son détachement.

Le principe est le suivant : le dividende est détaché le jour indiqué (date de détachement) mais avant Bourse et le premier cours coté le jour du détachement -dit ex-coupon- est corrigé d’un montant équivalent au dividende. Pour la société, le paiement du dividende constitue une sortie d'argent qui en toute logique doit être répercuté sur la valorisation de la société et donc du cours de l'action.

16.12.2020►Émissions des voitures essence et diesel récentes : publication de l’étude réalisée par IFPEN

Afin de définir, en toute transparence, les performances environnementales de l’offre actuelle de voitures essence et diesel (Euro6d-Temp), IFPEN et le ministère de la Transition écologique (MTE) ont lancé une étude scientifique d’évaluation des émissions polluantes et de gaz à effet de serre (GES). Cette étude s’est focalisée sur les émissions de gaz à effet de serre et de polluants locaux d’un panel de 22 véhicules représentatifs des modèles vendus en France. Le rapport d’étude vient d’être publié

https://www.ifpenergiesnouvelles.fr/article/emissions-des-voitures-essence-et-diesel-recentes-publication-letude-realisee-ifpen

Message complété le 21/12/2020 11:22:54 par son auteur.

Comme d'habitude, cette étude, dont je ne mets pas en cause le sérieux, n'étudie pas le sujet dans son intégralité. Ce qui tend à générer une 'loupe mentale' sur le sujet impliquant des décisions erronées.

Pour faire le bilan complet de l'impact de l'automobile sur la dégradation écologique, seule des études tenant compte de l'ensemble de la filière depuis l'extraction des matériaux en passant par la fabrication, le lieu d'implantation des usines (leur niveau 'ESG'), le transport des véhicules vers les marchés de ventes, les critères d'usages, la durée de vie des produits et leur fiabilité ainsi que leur recyclage permettraient d'en appréhender le réel impact.

... Moi non plus, un peu de patience et "ça va le faire" ! 📈

J'aime pas ce que je vois....

►Le R e v e n u, de tout !

@ribo

J’en veux un 👍👍👍

Un 'baby growth' #RIBO offert à la gamine pour qu'elle n'attrape pas froid en surveillant les classements...

@ribo

Par parenthèse TOTAL, en dépassant hier SANOFI, remonte sur le podium (3ème place) des plus grosses capitalisations après être descendu jusqu’à la 7eme place il y a peu. Ce qui va dans le sens de votre confiance dans ce titre et je le reconnais volontiers.

sylvie48

Message complété le 16/12/2020 20:06:32 par son auteur.

Courte durée sur le podium car redescendu dès ce soir en 4ème place.

@ribo

Je me risque à une question :

Ce calcul tient-il compte de la fiscalité (PFU ou IRPP) ?

En plus cela fait beaucoup de « si » (si l’inflation, si le cours, si le dividende), non ?

J’espère sincèrement que vous ne vous fâcherez pas mais ces calculs, tout en étant juste sur un plan arithmétique, ressemblent plus à une pub qu’à une démonstration convaincante.

sylvie48

Les matheux de Bouso ont calculé ceci :

Pour Total, au cours actuel de 37€, si le dividende est réinvesti (en comptant une inflation limitée à 1% par an),

l'investissement (le capital) initial est remboursé en 11 ans. Si le cours reste à 37€ et si le dividende reste au taux actuel.

Quand on vous dit que la Bourse c'est une histoire de patience et non des jetons jetés sur une table de jeu...

En date du 11/12/20

Le broker Kepler Cheuvreux était déjà précédemment à l'achat.

L'objectif de cours est modifié à la hausse à 47 EUR contre 37 EUR auparavant.

Indication technique et commentaires Olivier A n g e r Conseil / Graphique S y m e x (Source Le R e v e n u )

Du côté du brut hier soir :

orientés à la hausse en début de séance américaine, les prix de l'or noir se sont repliés après la publication du rapport hebdomadaire de l'Agence américaine d'Information sur l'Energie (EIA) avant de reprendre un peu de vigueur.

Selon les chiffres de l'EIA, les stocks commerciaux de brut dans le pays ont grimpé de plus de 15 millions de barils pour s'établir à 503,2 millions de barils (MB) au 4 décembre.

Les réserves d'essence ont, elles, progressé de 4,2 MB et celles de produits distillés (gaz de chauffage et fioul) de 5,2 MB, des chiffres qui confirment la faible demande en or noir aux Etats-Unis.

Les Etats-Unis avaient connu une augmentation similaire de leurs stocks de brut au mois d'avril, mais une telle hausse hebdomadaire est rarissime.

Cours ce matin à 6h38 :

Pétrole brut WTI 45,76 +0,24 +0,53%
Pétrole Brent 49,08 +0,22 +0,45%

Berenberg passe d'acheter à conserver avec un objectif de cours relevé de 36 à 41 EUR.

07/12/2020 | 18:09►Mobilité électrique à Paris : c'est Total !

Total vient de remporter l'appel d'offres de la Ville de Paris pour la modernisation et l'extension de son parc de bornes de recharge électrique pour véhicules. Un succès qui couronne une année faste pour Total dans le domaine de la mobilité électrique et l'occasion pour Alexis Vovk, Directeur Général de la branche Marketing & Services, de revenir sur la stratégie du Groupe dans ce secteur en pleine croissance.

[...]

https://www.total.com/fr/news/mobilite-electrique-paris-cest-total

Va falloir être patient aussi...

Message complété le 06/12/2020 11:52:42 par son auteur.

Basé sur l'évolution de cours anciens (2012-2014)

Alors que le monde s'efforce de mettre fin à une année 2020 dévastatrice, les producteurs de pétrole évaluent actuellement les effets durables de la pandémie jusqu'en 2021 - et en particulier les conséquences de la destruction de la demande de pétrole sur les équilibres mondiaux. L'accord existant avec le groupe OPEP+ a sauvé le marché de l'effondrement en début d'année, mais Covid-19 est ensuite revenu avec une deuxième vague de vengeance. Si la production augmente comme prévu à partir de janvier, le monde devra faire face à un nouvel excédent de 200 millions de barils jusqu'en mai, calcule Rystad Energy.

Le groupe OPEP+ débattra de la question de savoir s'il faut maintenir ou non jusqu'en 2021 les niveaux de production de pétrole actuellement réduits ou les augmenter comme prévu de près de 2 millions de barils par jour (bpj). Le plan existant a été élaboré lors de la première vague de la pandémie et dans le cadre de prévisions plus optimistes concernant la demande de pétrole en fin d'année, qui se sont avérées trop élevées car la deuxième vague de la pandémie a entraîné de nouveaux blocages au niveau mondial.

Les bilans de Rystad Energy montrent que si l'OPEP+ ne modifie pas son accord existant et augmente sa production, le monde sera confronté en janvier à sa plus grande surabondance mensuelle depuis avril 2020, avec un excédent quotidien moyen de 3,1 millions de barils pour le mois. Des excédents moins importants devraient se poursuivre jusqu'en mai, pour atteindre une surabondance totale de plus de 200 millions de barils pour les cinq premiers mois de 2021, avant de commencer à diminuer à partir de juin.

En modélisant une éventuelle décision de l'OPEP+ de reporter son augmentation de production, Rystad Energy a également calculé l'effet sur les bilans pétroliers mondiaux de scénarios de prolongation de trois et six mois.

Si l'OPEP+ reporte de trois mois l'augmentation de sa production prévue en janvier, nous verrons encore des excédents mensuels consécutifs jusqu'en mai, mais la taille totale sera limitée à environ 115 millions de barils. Si, toutefois, l'OPEP+ prend l'initiative courageuse de prolonger de six mois le statu quo actuel, les excédents prendront fin après mars, laissant derrière eux une surabondance de trois mois de 90 millions de barils seulement, qui sera effacée d'ici la fin juin en raison des déficits d'avril.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

(a wp/a f p) - 03/12/2020 | 22:50►Le pétrole se redresse après une révision par l'Opep+ de ses quotas

Les prix du pétrole se sont nettement redressés jeudi en deuxième partie de séance américaine après un accord trouvé par les principaux producteurs d'or noir pour ralentir le retour sur le marché de barils à partir de janvier.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a gagné 0,95% ou 46 cents, à 48,71 dollars.

A New York, le baril américain de WTI pour le mois de janvier est monté de 0,80% ou 36 cents, à 45,64 dollars.

Les deux contrats de référence évoluent désormais à des niveaux proches de ceux de fin février, avant le début de la pandémie de coronavirus aux Etats-Unis et dans le reste du monde.

Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs alliés, réunis au sein de l'Opep+, se sont mis d'accord pour "restituer progressivement" sur le marché les quelques 2 millions de barils par jour (mbj) prévus en début d'année prochaine, en commençant par 500.000 barils quotidiens en janvier, à l'issue de quatre jours d'âpres négociations.

Le nouvel accord prévoit un retrait de 7,2 mbj en début d'année prochaine pour au moins un mois, ce qui est supérieur aux 5,8 mbj jusqu'à présent envisagés, un niveau qui semblait peu raisonnable pour les acteurs du marché.

Les pays producteurs ont affirmé qu'il était préférable de faire remonter les niveaux de production de façon progressive et non abrupte pour mieux s'aligner sur une demande qui repart moins vite du fait de la deuxième vague de Covid-19 qui entrave les mouvements de biens et de personnes consommateurs d'or noir.

"Ce n'est pas le scénario cauchemardesque que le marché craignait, mais ce n'est pas ce qu'il attendait vraiment il y a quelques semaines", a réagi Paola Rodriguez Masiu, analyste de Rystad.

Les investisseurs ont aussi digéré jeudi le recul moins important que prévu des stocks commerciaux de brut aux Etats-Unis publié la veille par l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA).

Selon un rapport hebdomadaire de l'organisation, les réserves de brut du pays ont reculé de 700.000 barils la semaine passée, soit un peu moins que les 2 millions de barils anticipés par les analystes.

Les stocks d'essence et de produits distillés (fioul et gaz de chauffage) aux Etats-Unis ont en revanche grimpé.