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Le probable effondrement boursier de Trump... - Page 4

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gars d'ain gars d'ain
25/03/2020 21:29:58
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ça promet de joyeuse fêtes de Pâques en perspective ...


Article : "Coronavirus : les ventes d'armes explosent aux États-Unis"

https://www.lefigaro.fr/coronavirus-les-ventes-d-armes-explosent-aux-etats-unis-20200316


Notons que " D'après plusieurs médias américains, les Américains d'origine Asiatique auraient été les premiers à faire massivement l'acquisition d'armes à feu, par crainte de représailles racistes du fait de l'apparition du coronavirus en Chine. Un sentiment de crainte qui s'est depuis diffusé dans toute la population.

«Maintenant tout le monde veut des armes», a déclaré au Los Angeles Times un propriétaire d'armurerie du sud de la Californie, actuellement en rupture de stock et dans l'incapacité de se réapprovisionner auprès de ses fournisseurs. «Ce n'est pas seulement la Californie, c'est tout le pays qui est dévalisé, c'est comme le papier toilette.» "

  
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gars d'ain gars d'ain
25/03/2020 18:52:49
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Avec la pandémie, les affaires de Trump elles aussi en péril

Actualité publiée le 25/03/20 18:43

https://www.abcbourse.com/marches/avec-la-pandemie-les-affaires-de-trump-elles-aussi-en-peril_499200


Donald Trump ne préside pas seulement la première économie du monde, menacée d'effondrement à cause de la pandémie de nouveau coronavirus. Il surveille également l'implosion possible de son propre empire: la Trump organization, ses hôtels et clubs de golf, qui ont fait de lui un multi-milliardaire.

Aux Etats-Unis et au Canada, ses hôtels cinq étoiles sont quasiment vides, ses clubs de golf aux Etats-Unis, en Irlande et en Ecosse sont sous pression pour s'arrêter, et sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, est fermée.

Comme dans beaucoup d'hôtels du monde, la plupart des employés ont été congédiés, et les revenus de la Trump organization (435 millions de dollars en 2018) devraient vraisemblablement plonger. Difficile toutefois d'évaluer dans quelle mesure face à une organisation largement opaque sur ses finances.

"Cela me fait du mal, comme cela fait du mal à Hilton et à toutes les grandes chaînes d'hôtels partout dans le monde", a dit Donald Trump samedi. La société familiale, basée à New York, est dirigée par ses deux fils, Donald Junior et Eric, mais le milliardaire républicain y a conservé toutes ses parts.


La situation n'a pas manqué de soulever des inquiétudes: certains se demandent dans quelle mesure la réponse apportée par le président américain à l'épidémie de Covid-19 est guidée par les intérêts de son entreprise. Qu'il s'agisse du plan d'aide économique de 2.000 milliards de dollars sur lequel se sont accordés démocrates et républicains, ou de sa volonté affichée ces derniers jours de pousser pour la fin rapide des mesures de confinement.


"On peut détruire un pays en le fermant de cette façon", a-t-il estimé mardi, en disant espérer une levée des restrictions d'ici mi-avril.

Le chef de la minorité démocrate au Sénat Chuck Schumer a assuré mercredi que le plan massif de relance américain, qui contient des mesures importantes à destination des entreprises, ne serait pas utilisé pour sauver celles du président.

"Nous avons mis en place une clause", a-t-il expliqué sur CNN. "Pas seulement le président mais aussi toute figure du gouvernement, du Sénat, les membres du Congrès, si eux ou leur famille possède la part majoritaire d'une entreprise, elles ne peuvent pas se voir attribuer de prêt".


- "Spa fermé" -

Les hôtels de Donald Trump sont pour ainsi dire vides à New York, Washington, Chicago, Las Vegas, Vancouver et Hawaï. Lundi, l'organisation écossaise de golf, anticipant un ordre de fermeture, a demandé à "tous les golfeurs d'Ecosse" d'arrêter de jouer "jusqu'à nouvel ordre".

Malgré cela, la Trump organization refuse de fermer totalement ses principaux hôtels.

"L'hôtel est ouvert, les restaurants sont fermés, le spa est fermé, la piscine est fermée", a dit à l'AFP une réceptionniste du Trump International Hotel & Tower à New York. Evoquant un supermarché "de l'autre côté de la rue", elle a expliqué qu'il était possible d'y acheter des victuailles et de les apporter dans les chambres.

Selon John Boardman, à la tête de la branche du syndicat Unite Here à Washington, l'hôtel Trump International dans la capitale américaine n'a pas fermé malgré le renvoi massif d'employés. "Il n'y a aucun sens à le garder ouvert. L'hôtel a un taux d'occupation peut-être de 3%".

"Il ne le ferme pas juste pour pouvoir dire qu'il fonctionne toujours", estime M. Boardman.


- Bénéfice personnel -

La résidence de Mar-a-Lago en Floride le 1er novembre 2019 (GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP/Archives/JOE RAEDLE)

Depuis qu'il est président, Donald Trump a fait face à de nombreuses critiques et même des actions en justice -- qui n'ont jusqu'ici pas abouti -- soutenant qu'il profitait de sa position.

Des patrons, des diplomates ou même des rois cherchant ses faveurs ont par exemple parfois pris leurs quartiers dans ses hôtels, notamment celui situé à deux pas de la Maison Blanche.

Le Washington Post a rapporté les sommes astronomiques dépensées par des Saoudiens pour réserver des ailes entières des hôtels de Donald Trump, ou les factures salées adressées à ses propres services de renseignement lorsque ceux-ci l'accompagnent dans ses propriétés.

La semaine dernière, l'industrie hôtelière, qui fournit un emploi à 8 millions de personnes aux Etats-Unis, a réclamé à la Maison Blanche une aide de 150 milliards de dollars pour faire face à l'épidémie de nouveau coronavirus.

"Aujourd'hui plus que jamais il est crucial pour les Américains de savoir que le président agit dans l'intérêt public et non pour son bénéfice financier personnel", a fait valoir auprès de l'AFP Elizabeth Wydra, du Constitutional Accountability Center.

  
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axinvest axinvest
24/03/2020 12:41:52
0

............. on s abstient

  
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axinvest axinvest
24/03/2020 12:39:26
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" super graph y a tout "

c est un compliment !!!!!

c est juste un peu (un tout petit peu) ILLISIBLE

quant aux miens (de grap) tu as raison, mais quand on est incompetent ...............


  
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mika57 mika57
24/03/2020 11:57:25
0

https://www.youtube.com/watch?v=rNu_d3ork0c

Vidéo du 12 mars.

Delamarche est peut être pessimiste, mais il a pas tort...

  
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gars d1 gars d1
24/03/2020 10:45:58
3

Avis à la population....


En remontant ses posts, vous pourrrez voir jusqu'à point le prétentieux "axinvest" brille par ses contributions graphiques....

Je comprend encore MIEUX pourquoi, y'a longtemps que j'avais appuyé sur le bouton rouge pour ne plus voir ses contributions stupides.

Dis nous donc combien tu as posté de graphes depuis ton inscription car manifestement tu fais partie de ceux qui attendent le gueule ouverte et qui crachent quand la soupe est pas leur goût.

Si tu avais le moindre graphe enregistré en observation suivi depuis plusieurs années, tu serais que les tracés ne s'effacent pas sauf à les enlever un par un et à perdre complètement la matrice graphique de suivi...


Je te retiens pas sur mes files de suivi, et comme tu reconnais encore qu'elles te sont d'aucun intérêt : tu devrais aller à la FDJ, en ce moment, ils recrutent des gratteurs pour renflouer le CA en berne....

Quand à ceux qui ont approuvé de tels propos, il serait bon de refléchir un peu aussi pourquoi au final plus personne ne poste de graphe : c'est en tirant et en cherchant à tuer sur le télégraphiste que le télégramme arrive plus vite...


Si vous faisiez des graphes de suivi, vous constateriez qu'il ne peut en être autrement...


ça me fait encore beaucoup peine de voir toujours les même conneries alors que l'on passe beaucoup de temps à poster bénévolement beaucoup de choses d'intérêt général boursier...


Gars d'ain

  
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Luncyan Luncyan
24/03/2020 10:19:39
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C'est bien ..


Go 15250

Message complété le 24/03/2020 10:20:56 par son auteur.

Aller si c'est 15500 au pire je vais pas chipoter.

  
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axinvest axinvest
24/03/2020 09:49:56
3

super graph, y a tout

tant et si bien qu on voit plus rien

je croyais que c etait mon petit voisin ( 18 mois ) qui l avait fait

  
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gars d'ain gars d'ain
24/03/2020 09:37:32
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C'est fait, les 19 000 pts ont sauté en clôture; hier soir...


Dow : 18 583,72 et -2,96%


Trump va sauter...

  
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gars d'ain gars d'ain
18/03/2020 23:27:41
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Effacement totale de la hausse du MANDAT de Trump, ce soir : retour au niveau zéro !

Je vous avais annoncé à l'ouverture de ce sujet un retour au niveau zéro : on a mis du temps car il nous a poussé le bouchon un peu haut, mais quelle dégringolade...


On arrive à destination en bas de la fourchette baissière que j'ai ajouté et surtout, on est au dessous d'un support baissier pour tenter de réaliser un triple creux : personnellement vu la conjoncture, je pense qu'on va échouer rebondir en triple creux pour continuer plus bas...

.

Message complété le 19/03/2020 00:35:07 par son auteur.

Planetes360


CRISE : Le Pire est Devant NOUS !

https://www.youtube.com/watch?v=9tpNIip57RQ
.

  
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gars d'ain gars d'ain
18/03/2020 21:42:04
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Le NYSE, symbole de l'Amérique, se bat pour garder sa salle des marchés ouverte en pleine pandémie de coronavirus


Traduit ave DEEPL /// Published: March 18, 2020 at 1:05 p.m. ET /// By Mark DeCambre

https://www.marketwatch.com/story/the-nyse-a-symbol-of-america-is-fighting-to-keeping-its-trading-floor-open-amid-coronavirus-pandemic-2020-03-17?mod=article_inline


Ils doivent trouver un équilibre entre la santé et la sécurité non seulement des personnes qui y travaillent, mais aussi la responsabilité sociale au sens large".

Joe Gawronski a déclaré que les inquiétudes concernant l'épidémie de coronavirus ont vraiment frappé le 13 mars.


"Notre attitude a nettement changé depuis vendredi", a-t-il déclaré à propos de la réaction de sa famille à l'épidémie virale de COVID-19.

Le président de la société de courtage new-yorkaise Rosenblatt Securities vit à Summit, N.J., une banlieue située à un peu plus de 20 miles à l'ouest de la Bourse de New York à Manhattan, et le district scolaire de ses enfants a annoncé le 12 mars qu'il fermerait ses portes au moins jusqu'au 6 avril, car plus de deux douzaines de cas confirmés de la pandémie virale sont apparus dans le Garden State.

M. Gawronski a déclaré que les choses n'avaient pas beaucoup changé immédiatement après la fermeture de l'école ; il a même autorisé un de ses enfants à passer la nuit chez lui vendredi, mais ces derniers jours, les choses ont changé du tout au tout.

"Il n'y avait pas de dates pour jouer, pas de parcs... hier, mes enfants ne sortaient pas tous", a-t-il dit.

C'est peut-être pour cette raison que Gawronski, l'un des principaux dirigeants du plus grand courtier en bourse de New York, nourrit une certaine ambivalence quant au maintien de la bourse ouverte pendant la pandémie qui s'est rapidement propagée dans le monde entier, ce qui a amené la ville de New York à envisager des mesures drastiques pour contenir l'agent pathogène mortel.

"C'est une décision difficile à prendre", a déclaré M. Gawronski en parlant du maintien de la bourse avec des dizaines de négociants pendant l'épidémie. Il a ajouté "mais je pense que la bourse a trouvé le bon équilibre en restant ouverte, en particulier avec le lundi", soulignant que les mesures prises par le NYSE l'ont assuré.

Les responsables de la Bourse de New York ont été catégoriques sur la nécessité de maintenir la bourse ouverte et de garder un personnel de négociants en chair et en os sur le parquet, alors même que le maire de la ville de New York, Bill de Blasio, a laissé entendre mardi qu'il était possible de renforcer les restrictions sur la circulation des résidents de la ville pour atténuer la contagion, qui a infecté environ 200 000 personnes dans le monde et fait près de 8 000 victimes, selon les données compilées par l'Université Johns Hopkins.

La propagation de la maladie est à son paroxysme aux États-Unis et à New York, où 13 personnes sont mortes, et des mesures sont prises pour éviter que les établissements de santé publique ne soient envahis par ceux qui ont été malades.

Le gouvernement de New York, Andrew Cuomo, a averti mardi que l'épidémie pourrait atteindre son apogée dans les 45 prochains jours et que les quelque 53 000 lits d'hôpitaux de l'État de New York ne suffiront pas pour les dizaines de milliers de personnes qui tomberont probablement malades et mourront peut-être.

Un certain nombre d'autres bourses ont fermé indéfiniment leurs salles de marché et sont revenues aux transactions électroniques par mesure de précaution dans le contexte de l'épidémie, notamment le CME Group Inc. CME, -13,88%, propriétaire du Chicago Mercantile Exchange et du Chicago Board of Trade. Cboe Global Markets CBOE, -14,33%, a également fermé temporairement sa salle des marchés, tout comme le London Metal Exchange, selon Financial News.

En outre, un certain nombre de grands rivaux ont demandé au NYSE de maintenir sa salle des marchés ouverte, selon le Wall Street Journal. "Je trouve assez étonnant que la salle des marchés du NYSE soit encore ouverte", a déclaré à la publication Terrence Duffy, directeur général du géant des marchés à terme de Chicago, le CME. "Je pensais que nous n'étions pas censés avoir 50 personnes ou plus dans un seul endroit."

La plupart des transactions dans ces entreprises se font par voie électronique, de sorte que la présence de négociateurs n'est pas essentielle à leurs opérations.

Stacey Cunningham, présidente du groupe NYSE, semble être engagée dans une bataille sur deux fronts, certains préconisant la fermeture des salles de marché, tandis que d'autres ont lancé l'idée d'une fermeture du marché dans son ensemble, ce à quoi elle s'est fermement opposée. Le Journal a rapporté que plusieurs dirigeants ont évoqué la possibilité d'une fermeture pour les marchés financiers lors d'une conférence téléphonique avec le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Andrew Bailey. Cependant, ils ont conclu qu'une telle fermeture ne serait pas utile, a rapporté le journal.


"Il y a une très grande différence entre fermer le plancher et fermer les marchés en général", a déclaré M. Cunningham lors d'une interview accordée lundi à CNBC après que le Dow Jones Industrial Average DJIA, -6,30% et l'indice S&P 500 SPX, -5,18% aient enregistré leurs pires baisses quotidiennes depuis le crash de 1987.

"Nous pourrions fermer le plancher et continuer avec le marché ouvert et continuer les échanges", a déclaré M. Cunningham.

Elle a cependant ajouté que les traders physiques ont un rôle vital à jouer pour lisser la volatilité qui s'est accrue à Wall Street.

"Notre modèle permet de négocier avec moins de volatilité", a déclaré Mme Cunningham au réseau d'entreprises. "Les personnes présentes sur le marché sont donc fières d'offrir ce service de réduction de la volatilité.

La Bourse de New York a pris un certain nombre de mesures visant à prévenir la propagation du virus, notamment des restrictions sur les visiteurs extérieurs, des contrôles de température des personnes qui viennent sur le sol et des tests COVID-19 sur place pour le personnel, si le dépistage le nécessite.

Il n'est pas certain que ces mesures soient suffisantes pour contribuer à limiter la propagation de la maladie.

"Il est peut-être temps que la Bourse de New York revienne sur sa décision", a déclaré James Angel, professeur à l'université de Georgetown et expert en structure de marché, lors d'une interview accordée à MarketWatch dimanche dernier.

"Je ne suis pas un expert en santé publique, je suis un expert en structure de marché. Mais peut-être que nous avons besoin de voir la bourse prendre cette maladie plus au sérieux parce que le NYSE a la capacité de fonctionner sans le parquet", a-t-il déclaré.

M. Cunningham a refusé d'être interviewé pour cet article, mais par l'intermédiaire d'une porte-parole, il a déclaré que "les membres de la communauté du parquet du NYSE choisissent de venir à la bourse parce qu'ils croient en notre mission de servir les émetteurs et les investisseurs dans toutes les conditions de marché".

"Pour que le marché reste ouvert et sûr, la NYSE a travaillé en étroite collaboration avec les autorités locales, étatiques et fédérales pour développer et mettre en œuvre un ensemble extraordinaire de protocoles, qui comprennent l'éloignement social, le nettoyage en profondeur, le contrôle des voyages, la vérification obligatoire de la température et l'analyse des symptômes, pour toute personne entrant dans notre bâtiment".

Jonathan Corpina, associé directeur général de Meridian Equity Partners et d'une société membre de la Bourse de New York, s'est dit satisfait des mesures prises par la Bourse pour protéger les traders, notamment un nettoyage en profondeur des salles de marché et des zones de travail, qui a eu lieu ce week-end.

"Les mesures et les précautions prises sont les bonnes", a-t-il déclaré. "Si je ne me sentais pas à l'aise avec cela, je ne serais pas là", a déclaré Corpina, qui se rend au travail depuis Armonk, N.Y., à environ 40 miles au nord-est du NYSE.

Gawronski a déclaré qu'il ne travaille plus directement au sol. Cependant, il fait toujours la navette quotidiennement entre Summit et le 11 Wall St., le siège de la Bourse de New York. Il a déclaré que les floor traders sont une bande de patriotes, qui se sentent obligés de rester en première ligne lorsque les marchés sont en baisse.

L'héritage d'endurance et de patriotisme pour les traders remonte à 1792, lorsque ce qui allait devenir la NYSE a été fondé, et à 1817, lorsque le New York Stock Exchange Board a été formé.


En 1918, l'Amérique et le monde étaient assiégés par une autre pandémie, la grippe espagnole, qui a infecté environ un tiers de la population mondiale, tuant 50 à 100 millions de personnes, selon les rapports.

Gawronski souligne que le NYSE n'a pas fermé il y a 100 ans au milieu de la pire épidémie de l'ère moderne.

"Ils doivent trouver un équilibre entre la santé et la sécurité non seulement des personnes qui y travaillent, mais aussi la responsabilité sociale plus large", dit-il à propos du NYSE maintenant.

M. Gawronski a toutefois déclaré que la composante humaine des opérateurs en bourse est très importante. C'est particulièrement le cas à l'approche de la clôture des opérations sur le marché. Seuls les opérateurs du NYSE peuvent utiliser les ordres D, ou D-qotes, qui peuvent aider à résoudre les déséquilibres pendant les dernières minutes de la journée de négociation.

En période d'extrême volatilité, "la qualité du marché bénéficie des courtiers... mais je ne suis ni médecin ni scientifique, ce qui ne veut pas dire que j'ai raison de maintenir la bourse ouverte", a-t-il déclaré.


Une récente note de recherche de J.P. Morgan & Chase Co. publiée le 16 mars, fait valoir que le retour au commerce entièrement électronique par le CBO a nui à son volume de négociation d'options dans le S&P 500 et à ceux de la jauge de volatilité connue sous le nom de VIX VIX, +0,71% à court terme. Toutefois, les chercheurs, dont Kenneth Worthington, Jenny Ni et William Cuddy, prévoient que des avantages seront obtenus à plus long terme.

"Malgré les défis à court terme et des volumes plus tièdes par rapport aux dernières semaines, nous considérons que la migration à plus long terme vers le commerce électronique de SPX et VIX est positive pour le commerce Cboe et la croissance des bénéfices", ont écrit les analystes.

Pour sa part, la Bourse de New York teste depuis des semaines son plan d'urgence entièrement électronique, selon le Wall Street Journal. La dernière fois que les floor brokers n'ont pas été présents à la bourse, c'était pendant la tempête Sandy en 2012, lorsque des inondations ont mis toute la bourse hors ligne pendant un certain temps.


Gawronski spécule qu'il est possible que le moment arrive plus tôt, car les événements évoluent si rapidement.

"Je ne serais pas surpris de voir le parquet de la bourse fermé à un moment donné", dit-il, faisant référence à des ordres gouvernementaux qui pourraient potentiellement être invoqués, mais il espère que le NYSE "se battra pour garder la bourse ouverte".

"C'est un équilibre et il change constamment."



Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)




  
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gars d'ain gars d'ain
17/03/2020 13:52:51
0

Ben oui, bien évidemment...

en cas de report... la situation pourrait encore et plus défavorable encore pour TRUMP surtout si on décale en direction des résultats annuels 2020 à publier courant 2021...


Si L'agonie de pétrole de schiste s'éternise un peu ou s'enfonce...


On comprend qu'il reste pressé de prendre sa baffe...

...

  
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gars d'ain gars d'ain
17/03/2020 08:59:12
2

Le goudron et les plumes, c'est pour bientôt...

.

  
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gars d'ain gars d'ain
17/03/2020 08:31:50
1

L'effacement total n'est maintenu plus qu'une question de jour et il devrait peut être reprendre cet après midi vi que Trump a annoncé une possible récession...


On pourra se gausser sur le mot "Possible" car pour moi, elle est actée.


Le pétrole est plus gros activité des Etats Unis en terme de matières premières et le "carburant" de l'économie américaine : faut pas être pour comprendre que ça risque de finir mal avec un pétrole en chute d'environ -40% sur les prix moyen 2019...

Message complété le 17/03/2020 08:56:56 par son auteur.

CORRECTION : lire " faut pas être DEVIN pour comprendre que ça risque de finir mal avec un pétrole en chute d'environ -40% sur les prix moyen 2019..."

  
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gars d'ain gars d'ain
14/03/2020 12:53:58
1

Coronavirus.Dix-huit morts dans une maison de retraite : l’Amérique tremble pour ses seniors


COURRIER INTERNATIONAL - PARIS

Publié le 12/03/2020 - 16:07

https://www.courrierinternational.com/article/coronavirus-dix-huit-morts-dans-une-maison-de-retraite-lamerique-tremble-pour-ses-seniors

  
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gars d'ain gars d'ain
14/03/2020 12:32:12
3

oui, oui, c'est bien ce que j'avais en tête...

Les présomptueux finissent toujours mal en général....


.

  
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gars d'ain gars d'ain
14/03/2020 00:07:33
0

Le crash du marché pétrolier expose la sécheresse des liquidités dans les échanges de dette des entreprises


Traduit avec DeepL | • Published: March 10, 2020 at 3:51 p.m. ET // By Sunny Oh

https://www.marketwatch.com/story/oil-market-crash-exposes-thin-corporate-bond-market-liquidity-2020-03-10?mod=article_inline


La plus forte chute en un jour des marchés du pétrole depuis la guerre du Golfe de 1991 a révélé lundi des fissures bien connues sur le marché du crédit aux entreprises.


La chute de 34 % des prix du pétrole brut de référence en quatre jours, qui a atteint son niveau le plus bas depuis février 2016, a contribué à faire fortement fluctuer les prix des obligations d'entreprises et à révéler de vieilles inquiétudes quant à l'absence d'échanges sur un marché qui a vu les principaux fournisseurs de liquidités se retirer au lendemain de la crise financière de 2008.


Les analystes se sont plaints du fait que les réglementations d'après-crise ont rendu les banques et autres courtiers moins disposés à stocker des dettes d'entreprise risquées, rendant ainsi plus difficile l'achat et la vente de ces titres.

La chute du pétrole lundi a particulièrement touché le secteur de l'énergie, qui représente environ 10 % du marché américain des obligations de qualité inférieure, ou marché des obligations de pacotille. L'écart grandissant entre les rendements des obligations d'entreprises et ceux du Trésor américain a contribué à augmenter le coût des transactions, l'écart entre les cours acheteur et vendeur, ou la différence entre les prix cotés entre les acheteurs et les vendeurs, pour les obligations d'entreprises s'étant fortement creusé lundi.

"Les écarts entre les cours acheteur et vendeur explosent pour les pires entreprises, en particulier dans le domaine de l'énergie", a déclaré Michael DePalma, directeur général de MacKay Shields, qui supervise le fonds négocié en bourse HYLD, +0,57%. "Le crédit est en train de se faire écrémer".


La chute des prix des obligations d'entreprises de qualité inférieure, ou "junk", a fait grimper leurs rendements, augmentant la prime payée par les investisseurs pour posséder de telles dettes risquées par rapport aux obligations équivalentes du Trésor.


Cette prime, ou écart de crédit, a grimpé à 6,68 points de pourcentage à la fin de la journée de lundi, par rapport à un récent creux de 3,49 points de pourcentage le 6 janvier, selon un indice suivi par ICE Data Services. En ce qui concerne la qualité de l'investissement, cet écart a grimpé à 2,05 points de pourcentage, contre environ 1,20 point de pourcentage au début de l'année.

Lundi a également été marqué par la plus importante vente d'actions américaines depuis 2008. Le S&P 500 SPX, +9,28% a baissé de 7,6%, et le Dow Jones Industrial Average DJIA, +9,36% a reculé de 7,8%.

Pourtant, contrairement aux actions, les prix et les rendements du marché des obligations d'entreprises ne reflètent pas nécessairement les transactions réelles à ces valeurs, étant donné les coûts de transaction élevés associés à l'achat ou à la vente d'un titre.


En effet, la chute de la valeur des obligations d'entreprises a asséché la liquidité des courtiers vendant des titres de créance, même pour les obligations les mieux notées.


L'écart entre les cours acheteur et vendeur des obligations émises par des entreprises notées de A à BBB et d'une durée comprise entre un et cinq ans, généralement un coin très liquide de l'univers de la dette d'entreprise, a atteint une moyenne de 120 points de base lundi, selon les données de Bond Wave.


En d'autres termes, si un investisseur essayait de vendre des obligations d'une valeur d'un million de dollars, il devrait renoncer à 1,2 % de la valeur globale de l'obligation et recevoir 988 000 dollars en espèces.


Pendant les périodes de négociation moins frénétiques, cet écart a été plus fréquemment observé à un niveau plus modéré de 20 à 30 points de base. Même au plus fort de la vente des actions américaines en décembre 2018, l'écart entre les cours acheteur et vendeur a atteint moins de 60 points de base.


Paul Daley, directeur général de Bond Wave, a déclaré que les coûts de transaction élevés enregistrés lundi reflétaient la part des obligations les plus vulnérables, telles que celles cotées par les entreprises du secteur de l'énergie, les dettes vendues par les émetteurs d'autres secteurs n'ayant fait l'objet que de peu de transactions. Il a ajouté qu'il était difficile d'évaluer les écarts entre les cours acheteur et vendeur sur le marché des obligations de pacotille, car peu d'investisseurs osent vendre leurs obligations.


Selon M. Daley, il est probable qu'en raison du peu de personnes prêtes à s'engager dans la dette énergétique lundi, les courtiers exigent un prix beaucoup plus bas des autres participants au marché pour couvrir le risque de garder les obligations en stock, à un moment où un titre pourrait perdre encore plus de valeur, jusqu'à ce que le courtier puisse trouver un acheteur.


"Hier, les courtiers essayaient probablement de compenser ce risque", a déclaré M. Daley.


Mais à moins que les fonds communs de placement ou d'autres investisseurs institutionnels ne soient confrontés à des rachats de la part de leurs clients, la plupart des investisseurs conserveraient leurs titres de créance d'entreprise aussi longtemps que possible dans l'espoir de survivre à la tourmente du marché.


"Si vous n'êtes pas forcé de vendre, la plupart des gens ne le feront pas", a déclaré M. DePalma.


+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


[ Voir : Les investisseurs obligataires affirment que certaines compagnies énergétiques ne survivront pas à la déroute du pétrole ]

https://www.marketwatch.com/story/bond-investors-say-some-energy-companies-will-not-survive-oil-rout-slamming-markets-2020-03-09?mod=article_inline


  
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gars d'ain gars d'ain
13/03/2020 22:33:05
0

Une preuve encore que le BCE est d'une nullité affligeante tout comme le gouvernement..


Regardez bien les cloture de jeudi et vendredi, elle s'annule quasi en terme d'effet baissier pendant que nous on se colle encore plus de -10, 45 dans le même laps de temps. Les moyens déployées par la BCE sont encore ridicules au regard des autres économies...

.

  
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Doremy Doremy
13/03/2020 21:26:40
0

Vous disiez ? Finira guillotiné ?? Non ! Non pas avec une si belle planche à billets ? Voyez le résultat envolé de 9'38, c'est quand même pas bien compliqué la bourse d'aujourd'hui ? Il y a même plus besoin de se préoccupé de l'état du pays et ni des entreprises, des sous !! Et hop la machine repart.

Message complété le 13/03/2020 21:39:12 par son auteur.

Bon par contre il va falloir que Mr webmaster m'en sorte une planche à billets pour l'opérateur parce que ques qu'il est gourmand en data ce site c'est effrayant ! C'est pas parce que l'ont suit un site de bourse qu'on est riche ? Bon d'accord il y en a 😉,

  
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Doremy Doremy
13/03/2020 20:39:30
2

Trump vient d'annoncer un plan d'aide de 50 milliards de dollars !!! Ça va chauffer mes enfants !

Message complété le 13/03/2020 20:40:32 par son auteur.

Tout compte fait c'est quand même bien une planche à billets non ??

  
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Forum de discussion Wall Street 30

202003252129 617237
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