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Bon bilan👍 l'année 2025 commence bien pour les actions donc garde la foi, et pour les cryptos moi aussi j'attends, on est plus très loin confiance, enfin moi j'attends les altcoins je n'ai que ça...
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Donc mes résultats sont actuellement mes plus mauvais:
sur la période de mon plus haut à ce jour, le CAC a fait +10% et moi -8% ....
mais je me bats, suis encore vivant dans ce monde de fous.
Avec encore sur 3 ans un bon bilan à +328, 81% pour CAC à +19.73%, un or à +54.23%, et un bitcoincoin à +127.53%
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Je retiens de ça :
- annonces disruptives
- soubresauts + ou - prévus
- se positionner sur le résultat d'une élection... eh beh ...chez Rothschild !!!
- des capitaux qui foutent le camp
- on fonctionne avec des boulets au pied
- dissolution inattendue
- se joue sur une confiance ou non des créanciers
- ils achètent US et UE!! et les autres aux chiottes en quelque sorte
- 2025 "pourrait" donc au conditionnel mais quelles conditions!!!!
- les marchés adorent un mec.... ah l'amour cela peut changer
- un petit coup de dopage oula la ...
- risque avec migrants mais là pas parce qu'ils viennent mais parce qu'ils partent !!!
Et enfin CAC à 9100 points, The Big précision, on arrondit pas à 10000 pour faire sérieux.
Ce sont des charlots, des analyses qui ne servent à rien.
Bons trades les gars et comme dab on se démerdera comme on pourra
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"On n'achète pas l'Europe et les U.S. pour les mêmes raisons, mais on veut acheter les deux parce qu'il y a de la croissance et de l'inflation, avec des prévisions de croissance mondiale de 2,7 % pour 2025 et 2026. Et quand il y a de l'inflation, il faut être investi en actions. '"
"Donc, si on crée de nouveau de l'inflation alors qu'elle est déjà à 3 %, la Fed pourrait décider de ne pas baisser les taux cette année, et les valorisations n'auront alors aucune raison de monter. '"
Vive la contradiction ! 
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Une très bonne lecture de samedi après-midi !
Ça a le mérite d'explorer un certain nombre de mes constations, de confirmer certaines de mes remarques, mais encore comme je l'ai dit de prôner qu'il fallait rester investi sur le marché pour éviter notamment de ne plus savoir quand re-rentrer et de regarder passer les trains…
Bref, je vous conseille de le lire 2 fois au moins pour bien s'imprégner des choses et faciliter la compréhension car ça peut être dense pour certains en notions et en connaissances économiques…
Merci à ABC Bourse de nous avoir partagé ce bon article
Bonne lecture !
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Marché: Rothschild partage ses convictions
Actualité publiée le 14/02/25
Alors que les marchés financiers vivent au rythme des annonces disruptives du nouveau locataire de la Maison-Blanche, la banque Edmond de Rothschild (176 milliards d'euros d'actifs) présentait, jeudi 13 février, un bilan de l'année 2024 et ses convictions pour les mois à venir.
' Il y a deux mois, nous faisions partie des plus optimistes. Jerome Powell (le dirigeant de la Fed, ndlr) nous avait promis des baisses de taux, et on y croyait fort parce que l'inflation était moins préoccupante ', souligne Julien Vincenti, directeur des investissements France chez Rothschild.
Ces baisses présageaient ainsi d'une revalorisation des actions - et de tous les actifs au sens large - ainsi que d'une activité future potentiellement redynamisée.
Néanmoins, les banques doivent toujours composer avec une règle immuable: celle des soubresauts, plus ou moins prévus, du marché. Et Rothschild n'y a pas échappé.
' Il est vrai que la baisse des taux est arrivée plus tard que prévu - mais elle est tout de même arrivée. Nous avions aussi probabilisé l'élection de Trump et nous nous sommes d'ailleurs positionnés assez tôt sur cette thématique. En revanche, nous n'avions pas du tout anticipé la dissolution de l'Assemblée nationale en France ', reconnaît l'expert.
Bien que franco-français, ce séisme politique a vu ses répliques largement dépasser les frontières hexagonales. ' Si la deuxième économie de la zone commence à dévier de sa trajectoire de réduction des déficits, un investisseur un peu éloigné de tout ça peut s'interroger plus largement sur la stabilité de la zone ', analyse Julien Vincenti.
La banque a d'ailleurs constaté une réelle fuite de capitaux depuis 2022, avec le début de la guerre en Ukraine, une fuite estimée à quelque 300 milliards d'euros.
' Cela a forcément des répercussions sur les marchés et sur les capacités des entreprises européennes à avoir une bonne valorisation, qui leur permet de faire une bonne croissance. Un capital important, bien valorisé en Bourse, permet par exemple de faire de la croissance externe, d'investir, de se financer ', rappelle-t-il.
Le risque politique et géopolitique a ainsi agi comme un ' boulet au pied ' du vieux continent et de ses sociétés. De quoi perdre espoir ?
' En l'occurrence, en Europe, ça fait longtemps que l'on n'attend plus rien. Néanmoins, lorsqu'il se passe quelque chose d'un peu moins mauvais qu'espéré, vous avez des marchés qui rebondissent assez violemment. On est donc restés investis en 2024, y compris après la dissolution, et on a même, par deux fois, renforcé le CAC 40, à 7400 puis à 7100, en faisant un simple tableau de probabilité en matière de valorisation et de croissance bénéficiaire. '
Les experts de chez Rothschild sont sûrs de leurs calculs : ils estiment qu'une valorisation de 14 fois les profits, couplée à une croissance bénéficiaire de 6 à 8 %, porterait le CAC au-delà des 9100 points.
' Sans vouloir porter de jugement sur le fond, si l'Ukraine abandonne des territoires à la Russie et qu'on a un cessez-le-feu, le risque politique et géopolitique se réduit : il peut y avoir un retour des flux et des valeurs qui remontent ', analyse le professionnel, qui estime à quelque 10 000 milliards de dollars le potentiel de rotation des capitaux qui pourrait venir réabonder des marchés devenus un peu plus attractifs.
Quant à la situation financière de l'Hexagone, la banque se veut rassurante. ' Nous ne sommes pas dans un moment comparable à ce qu'a vécu Liz Truss (l'éphémère Première ministre britannique, qui avait été rapidement désavouée par les marchés après l'annonce d'un budget énigmatique, ndlr). '
' La France a suffisamment d'arguments à faire valoir à ses créanciers pour qu'ils continuent à lui faire confiance ', poursuit le directeur, évoquant les récentes adjudications largement sur-souscrites et pointant des marges de manoeuvre existant sur la TVA, dont le taux reste inférieur à la moyenne européenne.
Dans ce contexte, la banque indique avoir entre 15 et 20 % de son exposition en actions sur les valeurs moyennes, que ce soit en Europe, mais aussi aux États-Unis. ' On n'achète pas l'Europe et les U.S. pour les mêmes raisons, mais on veut acheter les deux parce qu'il y a de la croissance et de l'inflation, avec des prévisions de croissance mondiale de 2,7 % pour 2025 et 2026. Et quand il y a de l'inflation, il faut être investi en actions. '
Le directeur rapporte par ailleurs que 81 % des sociétés européennes ont dépassé les attentes et que 16 % sont en ligne avec les prévisions, laissant seulement 3 % de déception.
À ce titre, l'expert estime que l'année 2025 pourrait être assez similaire à 2021, avec un début d'année marqué par une tension sur les taux et une baisse des valorisations dans un premier temps, avant qu'une croissance bénéficiaire ne permette aux investisseurs d'être rassurés en seconde partie d'exercice.
Enfin, commentant le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, Julien Vincenti a été clair : les marchés l'adorent - pour le moment. Les anticipations de croissance aux USA sont d'ailleurs passées de 1,8 % fin septembre à 2,2 % actuellement.
' Les marchés se rappellent que lors de son premier mandat, entre 2016 et 2020, le S&P a pris 80 %. Donc tout le monde se dit que Trump est pro-business et qu'il fera monter le S&P. Ce sera son thermomètre du succès. '
L'expert appelle toutefois à la prudence : la situation de 2016 n'a rien à voir avec celle de 2024, et il ne faut donc, logiquement, pas appliquer la même politique.
' Quand il arrive en 2016, les taux d'intérêt étaient à 1,5 % et le déficit était à 2,5 %. Aujourd'hui, ces mêmes indicateurs sont à 4,5 % pour les taux d'intérêt et le déficit est à 7 %. '
Et de manier la métaphore : ' Quand Trump dit qu'il va creuser le déficit, c'est comme s'il donnait des stéroïdes à un sprinter déjà lancé à pleine vitesse. '
Par ailleurs, aussi bien la hausse des droits de douane que les expulsions massives de ' migrants illégaux ' aux États-Unis (11 millions selon le Département de la Sécurité intérieure) risquent de faire flamber l'inflation.
' Il y en a un à qui ça ne va pas plaire du tout, c'est Jerome Powell, qui se débat depuis des années pour faire revenir l'inflation à 2%.
Donc, si on crée de nouveau de l'inflation alors qu'elle est déjà à 3 %, la Fed pourrait décider de ne pas baisser les taux cette année, et les valorisations n'auront alors aucune raison de monter. '
Même si certains observateurs veulent croire au ' pragmatisme ' de l'hôte de la Maison-Blanche, Rothschild indique rester ' vigilant ', d'autant que le Républicain n'a plus aucun contre-pouvoir.
Il faut donc composer avec les errances du président américain : ' Il a dit qu'il appliquerait les droits de douane à hauteur de 25 %, puis laissé un mois de sursis, maintenant il parle de 50 % à partir de lundi... et demain ce sera peut-être différent. Dans les faits, ce qu'il se passe, c'est que plus personne ne réagit...', conclut Julien Vincenti.
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Sur PEA 2 nouveau , (voir en précédent le gros remaniement des lignes opéré en février et Mars 2024)
Je continue de surperformer le CAC 40 que ce soit dans les phases de repli ou dans les hausses.
J'ai donc enfin trouvé une bonne formule que je vais devoir ajuster dans le temps.
Je vous livrerais d'autres chiffres le concernant prochainement, je suis actuellement l'oeuvre pour réaliser le prévisionnel dividende et détention d'actifs nets de 2025.
Voici la capture de performance du portefeuille sur 1 an glissant.
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Point de pilotage du compte-titre
Je viens d'épuiser mon quota annuel de vente plus values longues sur le compte titre (because "imposition des plus values).
J'ai donc vendu 100 Safran au total (dont 45 cet après-midi à 243,518€)
A la place, j'ai donc :
• 194 Verralia (ligne nouvelle) : PRU à 22,896
• 286 Mersen (ligne nouvelle) : PRU à 19,70
• 50 Signaux Girod (complément) = dividende en hausse de +50% à 1,50 € et PRU à 16,64
• 100 Gérard Perrier Industries (ligne nouvelle) : PRU à 84,20
• 159 CMB Tech (Ex Euronav) (complément) : PRU à 10,59
Pour l'instant, ça fait en gains nets :
• 920 titres de plus à environ 22,907€ de PRU (moyenne d'actif net à 23,40 €)
• Un gain de 20 258,79 € d'actifs nets
• Un gain de dividendes pour 2025 et 2025 estimé à +771,90 €.
La nouvelle ligne Gerard Perrier Industries à un rapport cours sur actifs nets à 2,48, ce qui fait monter la moyenne des nouveaux achats, mais on est bien par rapport aux Safran cédées…
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En attendant plus de données comptables de fin d'année…
Mes news comptables du WE …
Je viens d'ajouter 2 colonnes à mon tableau de gestion et j'ai maintenant 2 nouvelles informations de pilotage du "bolide".
Sur le compte-Titre, ça donne :
• Plus-value réalisable par titre au 31 décembre 2024 (en €) : +19,28€ (Soit + 158,89%)
• Décote PRU moyen / actifs nets moyen au 31/12/2024 (en €) : -9,928 € (Soit -45,00%)
Et donc :
• PRU Moyen par titre : 12,132 €
• Valorisation au 31 Décembre 2024 par titre : 31,41€
• Dividende moyen escompté sur 2025 : 1,129€ (Hors prélèvement)
• Rendement brut moyen du dividende 2025 / valorisation moyenne 31 Décembre 2024 : +3,59%
• Rendement brut moyen du dividende 2025 / PRU moyen = +9,30%
Ce qui explicite sur le principe des moyennes que la décote de PRU est ici responsable d'environ 50% du niveau de plus value réalisable et ça limite considérablement le risque de pertes. C'est partiellement juste car une grosse partie des plus values est une plus value de long terme et la décote d'actifs nets se fait sur les achats récents.
Ce qui est intéressant à avoir, ce que les plus value-réalisable dans leur ensemble couvrent le risque court-terme et dérisquent le portefeuille pour profiter de la hausse du rendement en dividende.
Et on voit encore que sur la base du PRU moyen, le rendement brut est excellent… L'obligataire est battu à plate couture et aucune banque ne vous rémunèrera vos placements à ce tarif-là
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Concernant un comparatif de fiscalité entre "gestion long terme" et "Pile ou Face" (méthode "JECROISPLU") :
• Le Compte titre avec des positions de long terme, me permet de gérer des plus values réalisables sur le long terme : le niveau actuel de plus values réalisable est de +164,37%. J'ai à peu près toujours le même niveau de plus values réalisable en valeur totale réelle, sauf qu'il y a quelques années, ça représentait un niveau de plus values réalisables à près de 300%. Mon capital a donc buen grossi, mais une pression fiscale modérée.
Si je devais sortir aujourd'hui totalement, je devrais acquitter un niveau de prélèvement sociaux et d'impôts important équivalent à minima à 49,31% de la plus value réalisable actuelle (environ 1/3).
Pour l'instant donc, cet argent virtuel toujours sur mon compte continue de prospérer et entre autre, de générer des dividendes. Comme je l'ai en précédent, j'ai taux de rotation d'actifs assez lents et principalement des titres conservés en portefeuille. Comme il est question d'alourdir encore la taxe sur la transaction financière, la aussi je resterai "gagnant"…
Concernant le rendant du capital investi hors plus values pour 2025, je devrais me situer autour de 12% de rendement dividende, ce qui fait du plus de 8% en net d'impôts.
La trajectoire actuelle de perception de dividende me permet de considérer encore qu'avec 12,5 années de perception de dividendes sur ce niveau, je fais une plus value net d'imposition de +100% (= mon capital aura doublé, si je génère pas de pertes d'investissements).
En cas de succession, les plus values réalisables sur compte titre seront transmises à la valeur de cours sans imposition, ni prélèvement sociaux.
La gestion "long terme" permet encore un abattement fiscal important au niveau des plus values pour les titres ayant plus de 8 et acheté avant 2018.
• Le "Pile ou Face" est inarrêtable, mais nécessite aussi un compte titre géré bien différemment. Car à la fin d'année, il faut déclarer toutes les plus values puisqu'elles ont été réalisées : ce qui ampute régulièrement et annuellement la performance. Et en cas de grosse performance, ça peut aussi amené à l'ensemble de ses revenus du foyer fiscal de changer de barême d'imposition…
C'est donc à chacun de bien choisir sa stratégie en fonction des objectifs…
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Persévère pote, le travail paye à force.
Maintenant faut reconnaître que le "Pile ou Face" est inarrêtable. Ce qui veut dire qu' un portefeuille diversifié comme le tien et avec une gestion ô combien maximale, souvent coincée avec la nécessité de garder les positions longtemps, est très loin des outils propres au "Pile ou Face" avec sa double entrée, libre de mouvements CT et TTC voir intra-day même.
J'ai demandé à un membre qui se déclare "trader pro" de donner ses résultats... Je pense qu'il ne les donnera pas.
Donc continuons nos méthodes et bilantons régulièrement, pour essayer encore et encore de s'améliorer au sein de notre passion.
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Bonne année, bonne santé et pleins de sous à ceux qui suivent la file !
On pourra se consoler en 2025 des pertes annuelles du CAC 40 sur 2024 : en principe, le CAC 40 ne fait jamais 2 années consécutives de pertes annuelles…
J'ai complété ma prose d'hier postée sur la file de JECROIPLU.
De mon coté : Eh ben ça bûche ! les gars !...
J'ai attaqué mes tableaux annuels 2025. Et les chiffres comme toujours sont parlants… Voici une première livrée d'observation rapide pour donner le sens du vent.
Sur le Compte titre , ce que j'observe coté "Actifs nets" et "distribution de dividendes 2024 / 2025" :
En gros, l'année 2024 aura été nulle a tous niveaux, y compris toutes les valorisation d' actifs nets. Ce que j'observe sur le compte titre est consternant :
• Les actifs nets 2024 ont été révisés globalement à la baisse pour nombre de valeurs et les actifs nets 2023 ont aussi été corrigés pour un certain nombre de valeur très souvent en baisse et les rachats / annulation de titres ne compensent pas toujours car il doit y avoir des dépréciations d'actifs, des provisions pour risques de dépréciations et des ajustements comptables … mais aussi des attributions de bonus gratuits en actions qui diluent par performance d'autant.
• plus inquiétant, mon objectif de clôture d'actifs net fin à fin 2024 devient à -3185 € près l'objectif de clôture 2025. Et là dedans, je pense que pour certains groupes, les révisions de croissance pour 2025 et 2026 n'ont pas encore été mises à jour et ça devrait donc selon moi baisser. C'est en tout cas ce que me dit mon tableau car l'écart entre la hausse d'actif net prévisionnel à fin 2025 est trop grand grand par rapport à la distribution de dividende : ce qui sous-tend que les prévisions de croissance des actifs nets 2025 et 2026 sont erronées.
• Performance sur 1 an glissant : +3,57% contre +1,04 % pour le CAC 40 et malgré une contre performance notoire de Kering (12% actuellement du portefeuille et environ -107K€ de variation entre 2021 et actuellement ). A fin 2021, Kering représentait 34,67% du portefeuille et à fin 2022, Kering représentait encore 27,13% du portefeuille, ce qui vous donne une idée des changements que j'ai réussi à absorber par une approche comptable rigoureuse et une diversification large très salutaire.
• Je fais du surplace sur le compte-titre car j'ai épongé cette perte de plus value réalisable du portefeuille et je peux pas sortir sous peine de perdre l'exonération fiscale de plus value de plus 8 ans…
• Le niveau de Dividende prévisionnel 2025 est 17887,14 € contre une distribution de 19399,98 € (En brut hors Imposition et prélèvement sociaux). Soit un écart négatif de distribution pour 2025 prévu à -1512,84€
Je perd en distribution par titre -0,094€ par titre , soit -7,68% brut (En brut hors Imposition et prélèvement sociaux). Cette différence est dûe pour partie à des dividendes exceptionnels non reconduits , mais aussi à des anticipations à la baisse.
Le tout a été aussi compensé par une projection de nouveaux dividendes (achats nets 2024) à venir qui ont représenté +1859,04 € en 2024 et un pré-calcul 2025 à + 2728,73 €. Je limite donc grandement la casse…
• Avec les versements de dividendes, j'ai la possibilité d'acheter de nouveaux titres qui verseront des dividendes sur 2025, et qui viendront réduire cet écart défavorable 2024/ 2025.
• D'autre part, ayant investi sur des sociétés hors de France sur le PEA, je devrais retoucher des précomptes d'imposition de dividendes (démarches fiscales à terminer) ce qui viendra encore en compensation. Mais ce retour fiscal sera imposable et éligible aux prélèvements sociaux…
• Sur la période 2023/2024, j'ai un taux de croissance du montant de dividendes bruts à +25,69%.
• sur la période 2019/ 2024, j'ai un taux de croissance du montant de dividendes bruts à +89,08%.
Grace à mon travail, je devrais à minima maintenir à peu près mon niveau de distribution malgré un contexte financier et boursier peu favorable.
Voilà, mais comme vous le voyez, faut suivre et éviter de s'emmêler les pinceaux…
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Salut, les copains …
Comme je l'ai déjà dit et répété : les années d'élections ne valent rien en bourse…
La preuve comme le démontre le graphe de JECROISPLU : Actuellement à 7 317,99 pts, le CAC 40 progresse de 0,43% sur un 1 an glissant.
Merveilleux, n'est-ce pas ?
Comme je l'ai indiqué au dessous, c'est une année pour bosser ses chiffres et en particulier le niveau de détention d'actifs nets et la valorisation qui en découle car ils permettent d'acquérir plus de résistance à la baisse et aussi d'envisager des possibles revalorisations de portefeuille surtout si l'on investit sur des titres sous-cotés et décotés.
Même si toutes les opérations réalisées ne marchent pas toujours tels mon investissement récent sur Véridien que j'ai préféré couper. Un savant management du risque en misant sur le poids de la diversification sectorielle et en nombre de ligne permet de limiter grandement le niveau de risque, mais aussi d'attendre en se donnant un temps plus long d'investissement.
Comme vous le verrez au dessous, sauf sur PEA2 qui a été structuré grandement 2024, l'essentiel de mes investissements en actifs nets joue la carte de la pérennité et du long terme. Ce qui me permet maintenant de dégager du temps pour étudier sans avoir les yeux rivés sur les courbes…
Bilan actuel de cession et de rotation des actifs nets des différents portefeuilles (période 31 décembre 2021 / 2024)
• Sur PEA 2
– Ventes d'actifs nets détenus en 2023 = -33 705, 59 €
– Achats de nouveaux titres en 2024 = + 43 400,79 €
Comme vous le verrez avec ces 3 chiffres qui suivent et comme je l'avais indiqué, j'ai opéré sur ce portefeuille une solide restructuration vers des actifs de qualité.
• Gain d'actifs nets pour 2024 = +9 695,20 €
• Taux de rotation des titres détenus 2023 / 2024 = 76%
• Taux de rotation des actifs nets détenus 2023 / 2024 = 31,57%
Le ratio "Cours / Actifs Nets détenus à fin 2024" (estimés) est de 0,8405. Une revalorisation vers un ratio de 1,00 me génèrerait + 20 000 de plus de values potentielles.
En 2022, ce même ratio était de 1,20 et en 2023 de 1,02.
Durant cette période, mon niveau de détention d'actifs se sera amélioré de +49,94 % par rapport à l'évaluation du capital d'actifs nets détenus au 31 décembre 2021.
Progression de la perception de dividendes (+actions gratuites) 2022 / 2024 = +84,34%
• Sur PEA 1
– Ventes d'actifs nets détenus en 2023 = -72 680,06 €
– Achats de nouveaux titres en 2024 = + 173 962,49 €
Comme vous le verrez avec ces 3 chiffres qui suivent, peu de mouvements et beaucoup de travail concernant l'étude des chiffres comptables et de niveau de valorisation.
• Gain d'actifs nets pour 2024 = +101 282,43 €
• Taux de rotation des titres détenus 2023 / 2024 = 19%
• Taux de rotation des actifs nets détenus 2023 / 2024 = 10,52%
Le ratio "Cours / Actifs Nets détenus à fin 2024" (estimés) est de 0,9454 et ce ratio est de 1,00 actuellement pour les actifs nets 2023.
En 2022, ce même ratio était de 1,33 et en 2023 de 1,10.
Durant cette période, mon niveau de détention d'actifs se sera amélioré de +46,28 % par rapport à l'évaluation du capital d'actifs nets détenus au 31 décembre 2021.
Progression de la perception de dividendes (+actions gratuites) 2022 / 2024 = +57,11%
• Sur Compte Titre
– Ventes d'actifs nets détenus en 2023 = -31 535,70 €
– Achats de nouveaux titres en 2024 = + 84 911,63 €
Comme vous le verrez avec ces 3 chiffres qui suivent, peu de mouvements encore et beaucoup de travail concernant l'étude des chiffres comptables et de niveau de valorisation.
• Gain d'actifs nets pour 2024 = +53 375,93 €
• Taux de rotation des titres détenus 2023 / 2024 = 22,55%
• Taux de rotation des actifs nets détenus 2023 / 2024 = 14,71%
Le ratio "Cours / Actifs Nets détenus à fin 2024" (estimés) est de 1,33.
En 2022, ce même ratio était de 2,19 et en 2023 de 1,66.
Durant cette période, mon niveau de détention d'actifs se sera amélioré de +49,50 % par rapport à l'évaluation du capital d'actifs nets détenus au 31 décembre 2021.
Progression de la perception de dividendes (+actions gratuites) 2022 / 2024 = +76,92% (Hors prélèvements et imposition)
Message complété le 14/11/2024 17:16:53 par son auteur.
NB : A NOTER ENCORE QUE…
La progression du CAC 40 sur 2 ans au glissant, n'est de +9,19%.
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1 an glissant : +101% pour méthode en gestion de l'aléatoire, contre +6% pour Cacounet et +38.68% pour l'or.
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Fin du mois 10
Passé à 17.11 avec un reliquat de 4 lignes
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Bonsoir,
Bon mois de septembre. J’en suis à 15,19 pour 8 lignes actuellement.
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Oui merci pour vos repères en résultats selon les méthodes de chacun.
Bonne continuation dans vos travaux.
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Merci pour ton point de perf !
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Suis passé à 9 à fin août malgré mon achat de fin juillet en perte de quelques%
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Grrrrr. Moi-je n’en suis qu’à 6.95
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Point de l'évolution sur 1 an dans l'orage boursier actuel cet fin de journée ;
• PEA 1 ancien depuis 1 an (85 lignes) : +7,56%
• Compte titre depuis 1an (47 lignes) = -1,34% ( à cause Kering qui même en baisse pèse encore 14% )
• PEA 2 nouveau depuis 1 an (28 lignes) : +4,94%
• PEA Jeunes depuis 1 an (13 lignes) : +11,46%
Mon observation : La performance globale moyenne surperforme les indices
• CAC 40 depuis 1 an : +1,33%
• CAC CR depuis 1 an : +4,57%
• CAC Middle & Small depuis 1 an : -5,91%
• CAC Small depuis 1 an : -8,23%
• SBF 120 depuis 1 an : -1,79%
Conclusion : je vend pas
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