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Et à la fin il ne restera plus que l'OR. - Page 9

Cours temps réel: 3 887,05  0,80%



MITTE MITTE
21/08/2025 22:24:41
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Que dire de la journée d'aujourd'hui ?

Après la pluie le beau temps ?

En effet

- on commence ce matin par un harami baissier de 0,25 %,

- puis on évolue vers une pénétrante baissière avec une baisse de 0,77 % au plus bas de la séance,

- puis les bulls mènent l'offensive et nous assistons à une 3 ème transformation de la bougie journalière puisque nous avons maintenant une bougie dont l’appellation en bougie japonaise est celle d'un marteau, bougie a priori haussière, et qui délivrerait un signal d'achat si la bougie de demain est haussière. ( le marteau n'est pas parfait ( présence d'une ombre supérieure ) mais l'esprit est là ).

Actuellement à 2876 €, en toute petite hausse de 0,09 %, on cale sous la tenkan à 2881 € et la kijun à 2879 €, deux résistances en l'état.

La STO est plutôt bien orientée et le coup de rein des bulls à partir de 13h00 aidé en outre par une rechute journalière de l'€ vs le $, seraient-ils des signes annonciateurs ?

Inscriptions au chômage us moins bonnes que prévues, mais activité économique qui se tient bien et une inflation structurelle qui se maintient aussi vont rendre délicate la décision de Powell en septembre.

Mais l'Or de référence étant celle cotée en $ et celle-ci étant en baisse ce soir de 0,30 % on se gardera bien de trop se focaliser sur ces mouvements de cours quelque peu volatils.

Powell parle demain.


  
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jpgrenoble jpgrenoble
21/08/2025 10:44:19
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Hello Mitte un mouvement se prépare en sortie du pennant, confirmé par le resserrement des bollinger20 hebdomadaires , on sera bientôt fixé

  
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MITTE MITTE
21/08/2025 09:49:42
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Après l'Or en €, celle en $.

Juste, juste au-dessus du nuage, configuration en range depuis avril 2025.

C'est bien car cela permet aux droites tenkan et kijun des ut supérieures ( hebdo et mensuel ) de doucement remonter dans le graph offrant ainsi un plancher théorique à une éventuelle accès de faiblesse des cours.

En clair : plus le range dure et plus une éventuelle chute des cours pourrait être limitée dans son pourcentage.

( et c'est là qu'elle survient ! oups ! 😅😰)


  
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MITTE MITTE
21/08/2025 09:35:24
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Les bougies journalières des 15, 16 et 17 août nous avaient fait passer sous le nuage, c-a-d en début de configuration baissière journalière.

Hier une grosse bougie verte, un marubozu nous a fait réintégrer le nuage, renouant ainsi avec la configuration en range débutée le 21 avril 2025. Grosse bougie synonyme, a priori, d'achats de gros intervenants, BC ou autres gros fonds d'investissements qui sont venus acheter " à point nommé ". La STO en survente donnait aussi, un peu, et amha, le " la ".

Ce matin, petit harami baissier qui reste cependant configuré dans le nuage. C'est une figure de retournement, ici à la baisse. Ce retournement serait d'autant plus puissant que le corps de la bougie, ici rouge, est plein avec de petites ombres. Ce qui est le cas en l'espèce.

Toutefois la fiabilité d'un figure en harami est généralement faible et demande à être confirmée les jours suivants notamment par une nouvelle bougie rouge demain.

Justement la tenkan, actuellement plate, va bien baissier demain du fait du calcul de ses 9 dernières bougies. Et on verra comment les cours traitent cette baisse du niveau de la tenkan : soit en subissant, soit en la traversant à la hausse.

Pour le moment on est sur les 2865 €, c-a-d juste juste au-dessus du nuage.

En baisse de 0,33 % sur les 2865 €, les baissiers semblant vouloir reprendre le contrôle des cours.

Donc le deal des prochains jours : rester dans le nuage ou ne pas trop s'en éloigner à la baisse.

  
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MITTE MITTE
20/08/2025 21:14:08
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UBS toujours positif sur l'Or jusqu'en 2026.

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UBS relève son objectif de prix de l'or à 3 600 $ l'once pour le deuxième trimestre 2026 et constate la plus forte demande d'or depuis 2011.
Kitco Media
Par Ernest Hoffman
Publié :
18:49
Mis à jour :
20:42



(Kitco News) – UBS a relevé son objectif de cours de l'or pour le premier trimestre 2026 de 100 $ à 3 600 $ l'once. Le géant bancaire suisse anticipe désormais une demande d'or record en 2025 depuis 2011.

Les analystes d'UBS ont cité les risques macroéconomiques persistants aux États-Unis, les tendances à la dédollarisation et la forte demande d'investissement, notamment de la part des fonds négociés en bourse (ETF) et des banques centrales, comme les principaux facteurs qui, selon eux, propulseraient le cours de l'or vers de nouveaux sommets historiques.

« Nous pensons que les risques macroéconomiques américains, les interrogations sur l'indépendance de la Fed, les inquiétudes quant à la viabilité budgétaire et la géopolitique sous-tendent les tendances à la dédollarisation et l'augmentation des achats des banques centrales », ont-ils écrit. « Selon nous, ces facteurs vont encore faire grimper le cours de l'or. »

UBS a également relevé ses prévisions pour le deuxième trimestre 2026 de 200 dollars à 3 700 dollars l’once, et a ajouté un nouvel objectif pour le troisième trimestre au même niveau.

Les analystes ont également souligné la persistance de l’inflation américaine, une croissance économique inférieure à la tendance et la faiblesse persistante du dollar comme autant de facteurs de soutien à la hausse des prix de l’or.

La forte demande des ETF et des banques centrales a été un facteur majeur dans la révision à la hausse des prévisions de la banque.

UBS a relevé ses prévisions de demande d’or des ETF pour 2025 de 450 tonnes à près de 600 tonnes, sur la base des données du World Gold Council, qui montrent les plus fortes entrées de capitaux au premier semestre depuis 2010.

« Les achats des banques centrales devraient rester soutenus, quoique légèrement inférieurs aux achats quasi records de l’année dernière », ont-ils écrit. « Nous prévoyons donc désormais une augmentation de la demande mondiale d’or de 3 % pour atteindre 4 760 tonnes en 2025, ce qui marquerait le niveau le plus élevé depuis 2011. »

Le 15 juillet, UBS a déclaré que, bien que considérant l'escalade des droits de douane de la Maison-Blanche comme une tactique de négociation et que les chiffres finiront par baisser, elle recommande néanmoins l'achat d'or pour se prémunir contre les risques politiques.

Les analystes d'UBS Wealth Management ont indiqué dans leur rapport que leur scénario de base prévoit que les taux de droits de douane effectifs aux États-Unis se stabiliseront autour de 15 % – soit moins de la moitié des taux de 30 % à 35 % annoncés à l'époque – ce qui soutiendra la progression continue du S&P 500.

Le prix de l'or a enregistré des gains réguliers au cours de la nuit et a atteint un sommet à 3 350,27 $ l'once juste avant 11 h HAE.

Le cours de l'or au comptant s'est négocié à 3 344,51 $ l'once, soit un gain de 0,87 % sur la séance.

Kitco Media
Ernest Hoffman


  
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MITTE MITTE
19/08/2025 17:28:46
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Or en € - ut jour - Ichimoku.

Poursuite de la glissade qui commence " à se remarquer ".

Si on tient pas les 2846 €, ce qui semble bien probable, la zone des 2794 € - 2791 € - 2783 € sera probablement la prochaine zone de support travaillé par les cours.

Faut dire que ces temps-ci les soutiens de l"Or semblent partis faire l'école buissonnière ( la dette us par exemple ) ou alors ont réduit le niveau de risque qu'ils présentaient jusqu'à présent ( conflit en Ukraine où la pression que met TRUMP sur les belligérants semble commencer à produire des effets et le conflit en Israël où le Hamas commercerait à être beaucoup plus enclin à vouloir vraiment négocier de crainte de tout perdre et de se faire éjecter du théâtre des opérations qu'il soit militaire ou politico-médiatique ).

Encore heureux que les opérateurs de l'EST achètent pendant la nuit ( certainement de l'Or physique ) leurs achats réduisant la glissade des cours accélérée, elle par les opérateurs anglo-saxons qui, l'après-midi par le biais des ETF vendent de l'Or papier.

Toujours en baisse de 0;30 % sur les 2849 €.

  
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MITTE MITTE
18/08/2025 08:50:24
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Encore peu popularisé, l’or progresse en toute discrétion


PUBLIÉ PAR JULIEN CHEVALIER | 12 AOÛT 2025 | 6783


Tout le monde sait que Donald Trump a lancé une guerre commerciale à grande échelle contre le monde. Qui sait, pour autant, que les banques centrales achètent de l’or dans des quantités historiques ? Beaucoup savent que les tarifs douaniers américains sur l’Europe seront désormais de 15%. Mais qui est au courant que la Chine continue ses achats d’or et qu’elle le fait, en plus, à la discrétion du plus grand nombre ? Ces enjeux sont étroitement liés mais ne sont pourtant pas traités de la même manière.


L’or suscite un intérêt croissant chez les spécialistes mais reste encore méconnu du grand public. Résultat : seuls 1% des actifs mondiaux sont investis dans l’or. La faible popularisation du métal jaune s’explique par de nombreux facteurs. Premièrement, l’or ne constitue plus un moyen d’échange. Son rôle historique de monnaie s’est arrêté en 1971 lorsque la fin des accords de Bretton Woods a marqué, par extension, la fin de l’étalon-or. Aucun état ne souhaite donc que ses citoyens accumulent de l’or : cela réduirait la confiance dans la monnaie qui a cours légal. Ensuite, l’or échappe par nature à tout contrôle étatique. Il peut être acheté auprès de fournisseurs privés et être détenu à discrétion. Or l’État, qui a par nature besoin de surveiller les dépenses de ses citoyens, se retrouve frustré de ne pas avoir le contrôle. Dans une période de crise des finances publiques comme la nôtre, c’est d’autant plus évident que tout investissement dans la dette publique serait nettement plus profitable que dans des actifs personnels, comme l’or, non contrôlables par l’État. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’aux États-Unis, Trump cherche à faire passer une loi, nommée Genius Act, sur les stablecoins visant à adosser chaque dollar investi dans ces crypto-monnaies à des titres de dette américaine (de son côté, l’or conserve un pouvoir historique trop important pour connaître le même sort).


Les biais psychologiques et la faible culture financière sont d’autres éléments d’explication. L’or est un actif qui repose sur près de 5000 ans d’utilisation, qui a traversé les siècles, les civilisations, et a été utilisé comme moyen d’échange de diverses manières tout en restant au cœur de tout système monétaire. Mais très peu ont aujourd’hui connaissance de cette information. Au même titre que l’ethnocentrisme nous rappelle que nous jugeons tout selon notre propre culture, nous avons tendance à oublier que ce qui existe aujourd’hui ne l’a pas toujours été et n’a également pas une durée éternelle. Nous oublions que la monnaie papier ou numérique n’est que récente dans l’histoire et qu’elle permet de soutenir un outil, la monnaie, dont l’or a pourtant été la référence pendant des millénaires. Nous oublions également, pour citer Voltaire, que toute monnaie fiduciaire a une valeur intrinsèque égale à zéro, alors que la valeur de l’or dépend, elle, de son poids réel. Cette explication est peu répandue car l’éducation et la culture financière restent limitées dans la plupart des pays (en particulier la France).


Pour ceux qui ont conscience du caractère historique de l’or, sa valeur est parfois méprisée pour des raisons culturelles ou financières. Des divergences existent selon les continents : en Europe, l’or n’est que très peu représenté tandis qu’en Asie, pour des raisons culturelles essentiellement, c’est un actif prisé. Il est à noter par ailleurs que les mouvements que nous observons aujourd’hui, en particulier les achats massifs d’or des banques centrales des pays dits du « Sud » (ou de l’Est), ne font que refléter les rapports de force géopolitiques existants. Le cœur de l’économie mondiale se déplaçant des pays occidentaux aux BRICS, qui représentent désormais 30% du PIB mondial (soit plus que les pays du G7), les pays de l’alliance multipolaire accumulent davantage d’or. Étant donné l’actualité, il est d’autant plus logique que le métal jaune soit davantage populaire dans ces pays que dans les pays occidentaux en ce moment. Par ailleurs, l’or est souvent associé à une image ancienne et obsolète. Nombreux sont ceux qui préfèrent s’intéresser aux nouveaux actifs technologiques ou aux crypto-monnaies qu’ils perçoivent comme des valeurs d’avenir. L’or a longtemps été vu comme une relique barbare, pour reprendre les termes de Keynes, face aux nouvelles formes monétaires. Pour certains, dont de nombreux économistes, qu’un système monétaire se construise autour de l’or reviendrait à faire un pas en arrière, ce qui, dans un monde où le progrès est une fin en soi, n’a pas sa place. Malgré ces phénomènes, l’or connaît pourtant un regain et retrouve une importance majeure, comme si un retour à la réalité s’imposait. À l’ère de polycrises que nous traversons, il connaît un succès majeur en tant qu’investissement pour les particuliers et en tant que réserve de valeur pour les banques centrales.


Enfin, l’or est parfois mis de côté pour des raisons financières, car il ne procure aucun rendement. Mais cette vision occulte le fait qu’il figure parmi les actifs les plus performants depuis le début du siècle, avec une hausse annuelle de 8% en moyenne. Et aujourd’hui, l'or atteint sans cesse de nouveaux sommets qui ne sont que les prémisses de ce qui pourrait advenir dans les années à venir, étant donné l’inflation persistante, la dédollarisation du monde, la multiplication des crises… Par ailleurs, il ne génère pas de commissions ni de frais récurrents contrairement aux autres actifs, ce qui peut expliquer le désintérêt des banques. Enfin, contrairement aux livrets ou aux actions, il n’est presque jamais présenté comme une option d’épargne.


Pour des raisons diverses, qu’elles soient sociales, culturelles, politiques ou financières, l’or reste encore donc peu évoqué auprès du grand public. Cette tendance pourrait toutefois évoluer. La principale demande pour le métal jaune vient aujourd’hui d’institutions, les banques centrales, or leurs achats renforcent la confiance des investisseurs. Par effet mécanique, cet intérêt accroît progressivement la popularisation de l’or, y compris dans les pays occidentaux. La faiblesse des taux d’intérêt ces dernières années et la baisse de rendement des livrets d’épargne, combinée à l’inflation désormais persistante, a également incité à s’intéresser à d’autres actifs. En tant que valeur refuge, avec une croissance très forte, l’or apparaît en première ligne. Si cette tendance a ralenti avec la récente hausse des taux d’intérêt et la bulle sur les valeurs technologiques américaines, la popularisation du métal jaune s’accroît dans le temps long, car l’or reste un actif intemporel.



  
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MITTE MITTE
17/08/2025 18:51:30
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Libellée en € et pénalisée par la hausse continue de l'€ vs le $, l'Or est sur le point de passer baissier en journalier.

Gageons que le contexte géopolitique, économique, monétaire et budgétaire parvienne à permettre à l'Or libellée en € de ne pas trop descendre encore plus bas.

  
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MITTE MITTE
17/08/2025 18:42:08
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Or en $ - ut jour - Ichimoku

Au-dessus du nuage, toujours très très légèrement haussier.

Ou alors, version plus prudente : en range depuis le 21 avril 2025.

En toile de fond : la FED et la guerre en Ukraine qui pourrait déraper si les va-t-en guerre européens menés par Emmanuel, le plus grand pourfendeur de l'équipe, arrivaient à empêcher TRUMP - qui essaye ( désespérément ? ) - de calmer le jeu.

En deuxième ligne, l'inflation us à surveiller et notre ami Bibi.

  
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Anjou49 Anjou49
16/08/2025 10:51:14
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Aucun rapport avec le sujet OR ou même l’économie juste un petit rappel :

La guerre en Ukraine ferait tous belligérants confondus 1000 morts ou blessés CHAQUE jour.

Il y a en France 25 000 communes de moins de 1000 habitants.

Cette guerre correspond à la DISPARITION d’un de ces villages rayé de la carte CHAQUE jours et cela dure depuis plus de 3 ans.

Alors savoir qui est « Maître » de ce jeu stupide ne semble pas être très important pour notre dignité d’humains.

  
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MITTE MITTE
16/08/2025 08:17:41
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Vladimir Vladimorovitch POUTINE maître du jeu.

Je n’ai pas écrit maître du monde.

Mais comme écrit hier VP n’ai rien lâcher.

Trump, apparemment, a cessé d’évoquer de nouvelles sanctions.

D’aucuns disaient que l’économie russe allait craquer sous le poids des sanctions. Ses raffineries sont bombardées, certaines de ses usines de pointe aussi et elle tient.

La question n’est-elle pas maintenant de savoir quand l’Ukraine va-t-elle craquer ?

Et surtout quelles cartes VP a-t-il en mains ?

  
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MITTE MITTE
15/08/2025 16:04:15
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" Morne plaine " a écrit Victor Hugo dans un poème relatif à la bataille de Waterloo.

Morne graphe que celui que l'Or en € nous propose.

On passe sous le nuage après avoir cassé deux supports celui des 2881 € et maintenant celui des 2866 € cette dernière cassure, si elle était confirmée, nous ferait passer baissier en journalier.

En-dessous, celui des 2846 €, s'il était cassé ( nb : 3 extensions de plats de kijun ) est susceptible de nous envoyer direct sur une zone de support des 2793 € - 2791 € 2783 €.

L'actualité est toute tournée vers l'Alaska où le prince de la diplomatie russe et internationale, Sergueï Lavrov est arrivé sur place habillé d'un sweat shirt portant les mots écrits en russe : " URSS "

Comme entrée en matière on ne peut faire plus provocateur vis à vis de l'Ukraine.

Bien franchement je ne vois pas Poutine lâcher la proie alors que celle-ci est en bien mauvaise posture sur le terrain.

Poutine a appelé le dirigeant nord coréen KIM avant la réunion d'Ankara.

Anodin ?

Et bien attendons de voir si la guerre en Ukraine se terminerait. Ce qui pourrait être un tantinet délicat pour l'Or.


  
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MITTE MITTE
13/08/2025 19:37:06
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L'Or c'est compliqué

L'or est un investissement stratégique clé malgré la résilience des États-Unis et la hausse du Bitcoin – Balfour de Rothschild
Kitco Media
Par Ernest Hoffman
Publié :
17:32
Mis à jour :
18:23


(Kitco News) – Les adeptes de l'or sont de retour, mais les gains du métal jaune ne proviennent pas de ses moteurs habituels, selon Victor Balfour, stratégiste en investissement chez Rothschild & Co Wealth Management.

Balfour a noté dans une analyse publiée mardi que l'or traverse une nouvelle année exceptionnelle. « Le métal précieux a progressé de plus d'un quart en 2025 et est en bonne voie pour une troisième année consécutive de rendements à deux chiffres – une série de gains jamais vue depuis le milieu des années 2000 », a-t-il déclaré.

Mais Balfour a déclaré que la récente hausse n'était ni stable ni prévisible. « L'or a perdu le contact avec ses moteurs traditionnels, comme les rendements réels et le dollar, la demande étant influencée par le tourbillon géopolitique, notamment le protectionnisme et les conflits plus larges », a-t-il écrit. « Pourtant, malgré les tentatives continues de remodeler le commerce mondial – et même les rumeurs d'un nouvel arbitrage sur l'or – les prix stagnent depuis plusieurs mois.»

Il a ajouté que cela rend plus difficile l'évaluation du rôle de l'or dans les portefeuilles des investisseurs.

« De toute évidence, l'or (plus que les autres métaux précieux) a joué un rôle important en matière d'investissement. Historiquement, il a constitué une réserve de valeur à long terme pendant plusieurs millénaires, conférant aux institutions monétaires leur crédibilité (plutôt que l'inverse) et servant de moyen essentiel de protection du patrimoine réel », a noté Balfour. « Il peut également servir de bouton de panique financière, une sorte d'actif de dernier recours en temps de crise. Face aux craintes d'un défaut de paiement américain (comme en 2011), d'un effondrement bancaire (2008) ou d'une inflation galopante (1979), il a largement surperformé les marchés boursiers.»

Malgré ces antécédents, il a déclaré que l'or reste impossible à évaluer objectivement.

« Cela est sans doute vrai pour tous les actifs, mais l'absence de rendement rend la situation particulièrement difficile pour l'or et les autres matières premières : l'analyse des flux de trésorerie actualisés est par conséquent impossible », a-t-il souligné. « Cela pourrait être sans importance si le prix réel était stable, mais ce n'est pas le cas. Les coûts miniers actuels ne constituent pas un indicateur fiable de la valeur : l'offre est inélastique et la majeure partie de l'or négocié est déjà hors sol. »

Balfour a souligné que les taux d'intérêt élevés nuisent généralement à la demande d'or en raison de son manque de rendement. « Intuitivement, cela reflète le coût d'opportunité de la détention d'or par rapport à d'autres actifs « sans risque » tels que les bons du Trésor », a-t-il écrit. « Mais cela n'a pas souvent été le cas ces dernières années, l'or ayant connu une hausse inhabituelle parallèlement à la hausse des rendements. La relation de l'or avec le dollar n'est pas non plus toujours utile : la faiblesse du dollar cette année pourrait expliquer en partie sa hausse, mais on ne peut pas en dire autant de fin 2024, où la vigueur générale du dollar aurait dû constituer un obstacle, mais où l'or a continué de grimper (par rapport à toutes les principales devises). »

Balfour cite le risque géopolitique et les achats des banques centrales comme d'autres facteurs plus qualitatifs ayant dopé le prix de l'or.

« Un certain nombre d'économies, principalement émergentes, notamment la Chine, ont été de gros acheteurs d'or ces dernières années, cherchant à se dédollariser », a-t-il noté. « À cet égard, un président Trump perturbateur laisse entendre que l'or restera un élément crucial de diversification des devises à l'avenir. »

Il prévient toutefois que deux obstacles potentiels devraient inquiéter les investisseurs.

« Premièrement, le contexte économique reste positif : nous ne pensons pas qu’une stagflation ou un ralentissement économique majeur soient probables ou imminents – deux scénarios qui profiteraient significativement à l’or », a-t-il déclaré. « La croissance américaine est (toujours) respectable et, bien que l’inflation ait commencé à augmenter légèrement, hormis les droits de douane, elle restera probablement gérable. Cela nous suggère que le cycle d’assouplissement de la Fed devrait être relativement court à partir de maintenant.

L’idée actuelle de taux « plus élevés pour une durée prolongée » laisse présager des rendements réels élevés et, à terme (éventuellement), un rebond du dollar, ce qui pourrait temporairement freiner la progression de l’or.»

Le deuxième risque lié à la hausse de l'or réside dans l'essor du Bitcoin et des autres cryptomonnaies, qui constituent des instruments de couverture contre la dépréciation à part entière, même si Balfour les juge peu convaincants.

« La législation américaine récemment adoptée devrait légitimer davantage les stablecoins, ce qui pourrait susciter un enthousiasme accru pour les cryptomonnaies non garanties », a-t-il noté. « Mais dans le débat Bitcoin vs or, nous privilégions largement la seconde option : nous considérons que notre rôle de conseiller en investissement n'est pas d'aider nos clients à s'enrichir rapidement, mais plutôt à le rester.»

Balfour conclut que l'intérêt stratégique de détenir de l'or reste fort. « Et malgré sa hausse visible ces dernières années, nous maintenons une légère surpondération dans le contexte d'un portefeuille, compte tenu de son rôle de diversificateur de portefeuille liquide et de source potentielle de résilience en période de tensions sur les marchés », a-t-il déclaré.

Kitco Media
Ernest Hoffman

  
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MITTE MITTE
13/08/2025 19:25:14
0

Ça ira ( toujours ) mieux demain.

Et ce d'autant plus que les bonnes raisons seront là.

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Le prix de l'or pourrait doubler d'ici 5 à 10 ans, les investisseurs devenant sceptiques à l'égard des monnaies fiduciaires - Thorsten Polleit
Kitco Media
Par Neils Christensen
Publié :
16:55
Mis à jour :
17:02


(Kitco News) - Les consommateurs continuent de faire face à des pressions inflationnistes élevées, l'indice des prix à la consommation de base ayant affiché une hausse annuelle de 3,1 % en juillet. Toutefois, cette inflation n'est qu'une infime partie d'un tableau beaucoup plus large de l'affaiblissement du pouvoir d'achat des monnaies fiduciaires, qui continuera de soutenir la demande d'or à long terme, selon un analyste de marché.

Dans une récente interview accordée à Kitco News, Thorsten Polleit, professeur honoraire d'économie à l'Université de Bayreuth et éditeur du BOOM & BUST REPORT, a déclaré que l'or et l'argent étaient sur le point de connaître d'importantes ruptures structurelles en raison de la croissance effrénée du système monétaire fiduciaire.

« On assiste à une tentative désespérée de sécuriser les actifs refuges », a-t-il déclaré. « Les gens deviennent sceptiques quant au pouvoir d'achat de toutes les monnaies fiduciaires, et nous le constatons sur le marché mondial de l'or. »

Non seulement l'or enregistre de solides gains au-dessus de 3 300 dollars l'once, mais il s'échange à des niveaux records face au yen japonais et à des niveaux proches de records face à la livre sterling, à l'euro, au dollar canadien et au franc suisse, pour ne citer que quelques devises majeures.

« La dette mondiale augmente partout, ce qui alimente l'inflation. » « Ce n'est pas seulement aux États-Unis. La dette publique augmente au Canada, au Royaume-Uni et en Europe », a-t-il déclaré.

Polleit a souligné que dans ce contexte, il est impossible pour les banques centrales de relever les taux d'intérêt, car cela augmenterait le coût du service de la dette, ce qui freinerait la croissance économique.

Mais ce n'est qu'un début; Polleit a déclaré qu'il s'attend non seulement à ce que les banques centrales baissent leurs taux cette année, mais qu'il anticipe également un retour de la répression financière et potentiellement un contrôle de la courbe des taux.

La répression financière est un moyen indirect pour les gouvernements d'utiliser l'argent du secteur privé pour rembourser la dette publique. Un gouvernement utilise des outils subtils comme les taux d'intérêt zéro et les politiques inflationnistes pour réduire sa propre dette.

Les perspectives accommodantes de Polleit interviennent alors que la Réserve fédérale s'est démarquée de la plupart des grandes banques centrales, maintenant une politique monétaire neutre tout au long du premier semestre.

Les marchés anticipent désormais une baisse de 25 points de base le mois prochain et estiment la probabilité qu'elle intervienne à 60 %. de deux nouvelles baisses de taux avant la fin de l'année. Si les anticipations d'assouplissement se sont renforcées ces dernières semaines, le rendement des obligations à 10 ans est resté relativement élevé, maintenant un support clé au-dessus de 4 %.

Polleit a déclaré qu'il n'était pas surprenant que les rendements soient restés élevés, car les investisseurs ont besoin d'une meilleure rémunération face au risque d'augmentation de la dette. Il a toutefois ajouté qu'il entrevoyait une limite pour les obligations à 10 ans ; il ne s'attend pas à ce que le rendement dépasse 5 %.

Polleit a déclaré que la Réserve fédérale espère probablement que les baisses de taux à court terme feront également baisser la partie longue de la courbe.

« Si cela ne fonctionne pas, si les taux d'intérêt à long terme ne baissent pas, je pense qu'il est tout à fait plausible de supposer que les banques centrales recommenceront à acheter », a-t-il déclaré. « Une fois les rendements baissés, le prix de l'or continuera de s'apprécier.

Le potentiel et la dynamique de l'or sont tels que je m'attends à une hausse des prix avant la fin de l'année. »

À long terme, Polleit a déclaré qu'il ne serait pas surpris de voir le prix de l'or doubler au cours des cinq à dix prochaines années.

Kitco Media
Neils Christensen



  
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MITTE MITTE
13/08/2025 19:17:29
0

Exprimées en dollars :

L'or et l'argent progressent dans un contexte de baisse de l'USDX et de baisse des rendements obligataires
Kitco Media
Par Jim Wyckoff
Publié :
17:18
Mis à jour :
17:24

(Kitco News) - Les cours de l'or se raffermissent et ceux de l'argent sont en forte hausse mercredi à la mi-journée aux États-Unis. Les deux métaux précieux sont soutenus par la baisse de l'indice du dollar américain, qui a atteint aujourd'hui son plus bas niveau en trois semaines, et par la baisse des rendements des bons du Trésor américain en milieu de semaine. L'or de décembre était en hausse de 13,80 $ à 3 412,30 $. Le cours de l'argent de septembre a progressé de 0,553 $ à 38,55 $.

Les marchés de l'or et de l'argent connaissent également un regain d'intérêt, car de plus en plus d'investisseurs de Wall Street anticipent une baisse des taux d'intérêt américains par la Réserve fédérale en septembre, face à l'affaiblissement du marché du travail et à une inflation relativement modérée. La Fed devrait abaisser son principal taux directeur de 25 points de base lors de la réunion du FOMC de septembre, puis deux autres baisses en décembre et en mars, prévoient les économistes de Nomura. Les marchés anticipent également des baisses de taux de la Fed, indiquant une baisse en septembre et se positionnant pour une nouvelle baisse en décembre. Les données des prix à la consommation américaines publiées mardi ont montré que l'indice de base (hors alimentation et énergie) a augmenté de 3,1 % en juillet sur un an, un chiffre légèrement supérieur aux attentes du marché, mais non considéré comme problématique.

La Banque de Thaïlande a abaissé aujourd'hui son taux directeur et a indiqué qu'elle resterait accommodante, la hausse des droits de douane américains risquant de déclencher une période prolongée de faiblesse économique. Le Comité de politique monétaire de la banque centrale a voté à l'unanimité mercredi une baisse de 25 points de base du taux de rachat à un jour, à 1,5 %. Cette décision n'a pas été une surprise. La BOT a désormais procédé à un total de 100 points de base de baisses de taux dans le cadre d'un cycle d'assouplissement entamé en octobre dernier.

Les principaux marchés extérieurs observent aujourd'hui une baisse de l'indice du dollar américain, avec un léger repli des prix du pétrole brut, qui s'échangent autour de 62,25 dollars le baril. Le rendement de l'obligation de référence du Trésor américain à 10 ans se situe actuellement autour de 4,23 %.

Techniquement, les haussiers des contrats à terme sur l'or de décembre bénéficient d'un solide avantage technique à court terme. Leur prochain objectif de hausse est de clôturer au-dessus de la résistance solide des 3 500 dollars. Le prochain objectif de baisse à court terme des baissiers est de pousser les prix des contrats à terme sous le solide support technique du plus bas de juillet à 3 319,20 $. La première résistance se situe à 3 425,00 $, puis à 3 450,00 $. Le premier support se situe au plus bas de cette semaine à 3 379,10 $, puis à 3 350,00 $. Note de marché de Wyckoff : 7,0.

Les haussiers des contrats à terme sur l'argent de septembre bénéficient d'un solide avantage technique à court terme. Le prochain objectif de hausse des haussiers est de clôturer au-dessus de la solide résistance technique du plus haut de juillet à 39,91 $. Le prochain objectif de baisse des baissiers est de clôturer sous le solide support du plus bas de juillet à 36,28 $. La première résistance se situe au plus haut de la semaine dernière à 38,875 $, puis à 39,00 $. Le prochain support se situe à 38,00 $, puis au plus bas de cette semaine à 37,515 $. Note boursière de Wyckoff : 7,0.

Kitco Media
Jim Wyckoff





  
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fipuaa fipuaa
13/08/2025 19:13:52
0

les bons du trésor vont être refilés au privé avec les nouvelles monnaies dans une pyramide de Ponzi

  
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MITTE MITTE
13/08/2025 19:06:15
0

Histoire de prendre date.


Le déficit budgétaire américain se creuse dangereusement malgré les recettes record des droits de douane

Les tarifs douaniers américains ont rapporté 28 milliards de dollars sur le seul mois de juillet, soit une hausse de 273 %. Ces recettes restent toutefois insuffisantes pour compenser les dépenses, alors que le coût de la dette s'envole.

Par Julien Boitel
Publié le 13 août 2025 à 15:34Mis à jour le 13 août 2025 à 16:02

Donald Trump a beau vanter les milliards de dollars qui affluent dans les caisses américaines grâce à ses tarifs douaniers, le déficit budgétaire américain continue de se creuser. En juillet, il a atteint 291 milliards de dollars, selon les données du Trésor américain publiées mardi, soit 10 % de plus qu'au même mois de l'année précédente, en tenant compte des différences de calendrier avec moins de jours ouvrables cette année.

Alors que l'inflation américaine a confirmé son rebond mardi, sans toutefois accélérer, les Etats-Unis se dirigent vers un nouveau déficit abyssal à la fin de l'année fiscale américaine, fin septembre. Les résultats budgétaires cumulés depuis le début de l'année fiscale (sur dix mois) montrent un déficit de 1.629 milliards de dollars, en hausse de 7 %, soit 112 milliards de dollars, par rapport à la même période de l'année précédente. L'année dernière, le déficit final avait dépassé 1.800 milliards, soit 6 % du PIB.

La politique tarifaire et les coupes budgétaires de l'administration Trump ne parviennent pas, pour l'instant, à redresser la barre. La dette nationale brute atteint désormais le chiffre vertigineux de 37.000 milliards de dollars, soit plus de 100.000 dollars par habitant. Face à la dégradation continue du déficit, l'agence américaine de notation Moody's avait abaissé la note de crédit à Aa1, en mai.
300 milliards de dollars de droits de douane espérés

Pourtant, les recettes douanières américaines ont atteint un nouveau record mensuel en juillet : 28 milliards de dollars, soit une hausse de 273 % par rapport à juillet 2024, selon le Trésor. En juin, l'augmentation des taxes douanières avait déjà permis au gouvernement d'enregistrer un rare excédent mensuel de 27 milliards de dollars, le premier mois de juin positif depuis 2015.

Depuis le début de l'exercice, les droits de douane ont rapporté 142 milliards de dollars à l'administration américaine. Le secrétaire au Trésor Scott Bessent espère récolter au total en 2025 environ 300 milliards de dollars. « Il est possible que ce chiffre soit plus élevé » en 2026, a-t-il même déclaré sur MSNBC le 7 août.

Cette situation paradoxale s'explique par des dépenses qui augmentent plus vite que les recettes. Elles ont en effet bondi de 10 % en juillet, pour atteindre 630 milliards de dollars, un record pour le mois. Les recettes cumulées depuis le début de l'année ont progressé de 6 %, soit 262 milliards de dollars, pour atteindre 4.347 milliards de dollars, un record sur 10 mois, tandis que les dépenses ont progressé de 7 %, soit 374 milliards de dollars, pour atteindre 5.975 milliards de dollars, un autre record sur 10 mois.

Coût de la dette : 1.010 milliards en dix mois !

La hausse des dépenses a notamment été alimentée par l'augmentation des intérêts sur la dette publique, qui ont atteint 1.010 milliards de dollars sur les dix premiers mois de l'année fiscale. Les coûts de la Sécurité sociale et des programmes de santé, Medicare pour les personnes âgées et Medicaid pour les plus défavorisés, qui ne cessent de croître, y participent également.

En juin, l'agence fédérale du Congressional Budget Office estimait pourtant que le vaste plan de taxes douanières réduirait le déficit de 2.800 milliards de dollars sur dix ans. D'autres économistes, comme Kent Smetters de l'université de Pennsylvanie, affirment, eux, que les tarifs douaniers ne devraient entraîner « que de modestes réductions de la dette fédérale ».

La politique tarifaire agressive de Donald Trump n'est pas sans conséquence pour les Américains. Les entreprises importatrices répercutent certains coûts sur les consommateurs. Les données de l'indice des prix à la consommation publiées mardi montrent en effet une augmentation des prix de certains biens sensibles aux tarifs douaniers comme les meubles, les chaussures et les pièces automobiles. Au risque de peser sur la croissance, et donc les recettes fiscales.

Par ailleurs, il reste difficile de prévoir l'impact des recettes des tarifs douaniers sur la dette tant les règles du jeu imposées par l'administration Trump peuvent rapidement et radicalement évoluer en fonction des sautes d'humeur du président américain et des accords noués avec les partenaires commerciaux des Américains.

Mais si les droits de douane ne parviennent pas à tenir la promesse de Trump d'améliorer le bilan du gouvernement, les Américains pourraient se retrouver confrontés à une diminution des opportunités d'emploi, à des pressions inflationnistes et à une hausse des taux d'intérêt sur les prêts. Un scénario noir que le président refuse d'imaginer.

Julien Boitel

  
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MITTE MITTE
13/08/2025 07:52:57
0

On a cassé les 2881 €. Se faisant, à moins d'un sursaut dans les jours qui viennent on passerait sous le nuage, donc globalement baissier en journalier.

Le fondamental ne délivrant pour le moment pas trop de nouvelles positives pour l'Or la tendance serait plutôt à une poursuite de cette respiration. Le report des décisions sino-américaines sur les tarifs douaniers et des stats économiques us " apparemment " plutôt bonnes, si ce n'est conformes aux prévisions, redonnent aux marchés actions un appétit pour le risque qui ne favorise pas l'Or. Ceci étant les évènements sont ces temps-ci assez changeants et imprévisibles.

Une véritable détente du côté du sommet Trump/Poutine ce 15 août serait susceptible d'accentuer la tendance en cours. Toutefois et là encore qui connaît les intentions réelles du maître du Kremlin qui voit certes ses usines pétro-chimiques et de pointes être bombardées par les drones ukrainiens mais dont les troupes avancent sur le terrain, encore soutenues par une machine de guerre russe qui commencerait cependant selon certains à montrer de réels signes de faiblesse dus à une baisse constante des recettes pétrolières.

Encore en baisse ce matin de 0,05 % sur les 2866 €, assis sur la kijun jour qui sert maintenant de support.


  
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MITTE MITTE
12/08/2025 11:36:39
0

L'Or en € et en ut jour continue de tester le support des 2881 € ( extension de plat de kijun ).

  
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fipuaa fipuaa
12/08/2025 08:11:05
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merci pour ta réponse, la construction de la figure ne me parait pas opportune de toute façon

j'en reste à ce cours bloqué depuis des lustres entre une forte résistance et un fort support

quand on sort d'un canal où la tension est si forte ça va vite (à la baisse ou à la hausse)

sinon la Chine continue de stocker de l'or comme jamais et les US en ont besoin aussi pour "assurer" la dette qui assure les stablecoins (résumé court!) donc c'est plutôt positif pour un bull moyen

  
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